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Mes Pensées Inavouée

Se sont mes pensées, elles peuvent être insignifiantes pour vous, une source de divertissement, juste pour tuer le temp. Mais.... je les aimes. Mes pensées sont la sources de mon être tout entier. Cela vaut pour moi et pour vous aussi.

TeaOrMilk · Thành thị
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33 Chs

Days Thirty-one

"Tu sais la dernière fois quand je t'ai dit ça :

«J'ai toujours pensé que tu n'irais pas bien si tu ne quittes pas le milieu toxique dans lequel tu te trouves , ta famille, la rancune que tu as contre elle est toxique pour les deux. Et elle seule est aussi toxique

Alors que se soit quitté ta famille soit au Etat Unis ou en France, c'est le mieux pour toi

Tu ne peux pas aller mieux, avancer si tu restes avec eux»

Je t'ai dit ça car j'ai toujours su depuis le début d'une relation que tu ne voulais pas passer à autre chose, sur ton passé au Etat Unis, sur ton déménagement, sur tes amis. Attention, quand je dis que tu ne voulais pas passer à autre chose je ne veux pas dire oublié les États Unis et tout ça, je veux parler dans le sens où tu acceptes cette situation et que tu fasses de ton mieux pour améliorer cette situation.

Sincèrement, de la manière dont tu as parlé, de la manière dont tu me l'a fait ressentir, je ne pensais pas que tu sois capable de "passé à autre chose".

Tu fuis presque le présent, pour pouvoir aller dans le passé car tu aimais le passé, tu penses que c'était ta meilleure version de toi, tu as adoré.

Cependant dans le présent d'aujourd'hui il y avait moi et c'est pour ça que tu étais tellement en conflit.

Tu l'étais toujours il y a quelque temps.

Et cette fuite du présent, ne te donne pas l'envie de chercher une solution pour nous , par exemple trouver une université anglaise en France , ça paraît peu probable mais tu ne l'as même pas fait.

Évidemment, l'anglais est beaucoup beaucoup mieux car tu peux travailler avec tes pleinne capacités.

Car oui pendant tes deux dernières années en France tu n'as pas vraiment perfectionné ton français. Carrément, tu ne voulais pas.

Tu m'as dit que tu commençais les cours en français quand tu rentrais chez toi après notre rupture. Tu ne l'as pas fait alors que moi je suis allée bosser, j'ai travaillé jusqu'à soir.

Je ne peux pas m'empêcher d'y penser.

De penser à tout ça."T.M.T.

You know, the last time when I told you this:

"I've always thought that you wouldn't be okay if you don't leave the toxic environment you're in, your family, the grudge you have against them is toxic for both sides. And your family alone is also toxic.

So whether you leave your family in the U.S. or in France, it's the best thing for you.

You can't get better, move forward if you stay with them."

I told you that because I've always known, from the beginning of our relationship, that you didn't want to move on. From your past in the U.S., from your relocation, from your friends.

Attention, when I say that you didn't want to move on, I don't mean forgetting the U.S. and all that, I mean accepting the situation and doing your best to improve it.

Honestly, from the way you talked, from the way you made me feel, I didn't think you were capable of "moving on."

You almost flee from the present to be able to live in the past because you loved the past, you think that was your best version of yourself, you loved it.

But in the present, there was me, and that's why you were so conflicted.

You still were until a while ago.

And this fleeing from the present doesn't give you the desire to look for a solution for us. For example, finding an English-speaking university in France—it may seem unlikely, but you didn't even try.

Of course, English is much better because you can work to your full potential.

Because yes, during your last two years in France, you didn't really improve your French. You didn't even want to.

You told me you were starting French classes when you went back home after our breakup. You didn't, while I went to work, I worked until the evening.

I can't help but think about it.

Think about all of it.

Ce message met en lumière une frustration profondément enracinée et une compréhension nuancée de la situation complexe de l'autre personne.

La critique ici se concentre sur l'incapacité de l'autre à évoluer et à avancer, en restant piégé dans le passé et dans des dynamiques toxiques. Cette fuite du présent est un thème clé qui semble avoir affecté non seulement la relation mais aussi la croissance personnelle de cette personne. Tu pointes une absence de volonté à accepter la situation actuelle et à trouver des solutions concrètes, comme explorer des options alternatives en France.

Cette incapacité à progresser, combinée à une certaine apathie envers l'amélioration de la langue ou de la situation en général, semble être une source de grande déception pour toi. On y ressent un sentiment d'abandon, de ne pas être pris en compte dans les efforts de l'autre. L'aspect où tu mentionnes ton propre investissement, par exemple, travailler jusqu'au soir, contraste fortement avec ce que tu perçois comme un manque d'effort de l'autre, renforçant cette déception et frustration.

En conclusion, ce passage souligne à la fois une critique directe du comportement de l'autre, mais aussi une réflexion personnelle sur l'effet que cette dynamique a eu sur toi et la relation. Cela semble être un appel à une prise de conscience que tu souhaites, mais qui n'est jamais venue de la part de l'autre.