The Fallen hero, un monde bâtis sur des cendres.
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Un monde fut déchu ainsi que son héros, mais des cendres celui-ci sont née des royaumes supérieurs, eux même peuplé de races supérieures. La technologie fut troquée contre la magie afin de lutter contre ceux ayant détruit le premier monde, mais était-ce réellement judicieux ? De ce monde déchu est constituer l'histoire. L'histoire d'une civilisation qui avait tout, ou presque. Découvrez les échos de ce monde déchus, et comment celui-ci a pu tant changer, ou même si il a réellement disparu. Suivez Reiner, un homme ayant vécu la chute de son monde, et découvrez ce qui constitue cet univers d'apparence si ordinaire. Après tout, un proverbe dit qu'à chaque chute d'une civilisation, une plus puissante émerge. Mais est-ce nécessairement le cas ? Merci à "Pythonisse le raccoon #NFLC" qui a littéralement refait ma couverture ! Aller voir son compte et lisez ce qui est dessus!
La destruction. Voilà ce qui correspondait le mieux au paysage que laissaient paraître ces terres en ruine. La guerre était passée par là, encore et encore. Les immenses gratte-ciel qui constituaient l'une des nombreuses villes existantes, étaient en ruine, allonger sur le sol, brisé, et couvert de végétation.
Tout n'était plus que ruines abandonner par le temps, servant de refuge à des humains inerte. Le temps semblait s'être arrêté pour eux alors que l'étonnement et la terreur se lisaient sur leurs visages. Leurs vêtements étaient usés et marquer par le temps, signe qu'ils étaient restés ainsi bien plus longtemps qu'une simple année.
Cependant, ils se faisaient anéantir sans même le savoir. Les débris de verre éparpillés dans les flammes reflétaient l'effroi de la scène. Les bâtiments détruits involontairement par d'immenses créatures. Les flammes dévorant le paysage. Des êtres informent d'un blanc pur essayant de les contenir, sans succès.
Le monde moderne c'était effondré depuis leur arriver. Seuls les rares vestiges mécaniques de cette civilisation leur avaient résisté. Mais le résultat était là. Ces synthétiques n'avaient rien pu faire, s'étant terré dans des abris de fortune avec l'espoir de ne pas se faire anéantir, une fois que tout fut perdu. Désormais, seuls ces synthétiques vivants cachés, et ces ruines, subsistait comme dernière trace de la glorieuse et florissante civilisation qu'avait créée l'humanité.
Au milieu de ce paysage si animé, et pourtant si morne, seul la lamentation silencieuse d'un être informe plus noir que la nuit, comportant quelques cicatrices visible sur son corps résonna. Il s'approchait du champ de bataille, ignorant ses camarades en difficulté, fixant un point bien précis, difficile à discerner tant il était lointain.
« Je vous avais prévenu des conséquences que pourraient apporter leurs créations. »
En réponse, une voix éthérée provenant d'une autre silhouette d'un blanc pure résonna. Elle portait également des cicatrices, signe qu'il était différent des autres.
« Silence ! Nous pourrons les contrôler ! Sans eux, tout ce que nous avons fait perdrait son sens. Nous avons besoin de plus de puissance pour les sauvé ! »
Au centre de cette scène, seuls quelques laboratoires semblaient intacte, du moins, jusqu'au moment où d'imposantes créatures ne pouvant qu'être appeler dragon les détruisirent, libérant parfois d'autres membres de leurs espèces.
Ceux ayant anéanti ce monde, ces silhouettes informent, avaient créé des abominations dont ils n'avaient pas le contrôle, ces dragons. Ils avaient créé toutes sortes de monstres dignes des univers les plus dystopique de dark fantaisie, mais l'espèce la plus puissante avait échapper à leur contrôle. Ils leur avaient insufflé tout le pouvoir qu'ils possédaient afin de créer des êtres surpuissants, pouvant les protéger d'une menace bien plus terrifiante qu'eux même. Pourtant, tout ce qu'ils avaient préservé en dépits de la ruine, les humains dont ils avaient précipité la chute, se faisaient tuer par leur création enragé sous leurs propres yeux, impuissants.
Alors que la silhouette noire s'avançait seule, une multitude de murmures furent laissés derrière lui.
« L'hybride a osé critiquer un ancien ! »
« Il aurait dû être tuée bien avant. »
Cependant, la silhouette bordée de cicatrice, l'ancien, parla d'une voix plus forte encore.
« Arrêter ! On doit les stopper, pas se battre entre nous ! »
En réponse, les êtres informent qui avaient crée ces dragons firent démonstration d'un pouvoir terrifiant. Ils firent s'abattre toutes sortes de calamité sur leur adversaire. Un acide rongeant la terre jusqu'à son centre au moindre contact, un magma plus chaud que le soleil lui-même, des rafales glacial atteignant sans difficulté le zéro absolu.
Toutefois, celui qui était plus noir que la nuit arrivait même à réaliser l'impensable alors que les immenses dragons s'approchant de lui se décomposaient dû à sa simple volonté. Même le temps se pliait aux règles de ces êtres, régressant selon leur volonté quand l'un de leur camarade se faisait brûler au point de ne laisser aucune trace, ou déchiqueté d'un simple coup de griffe. Pourtant, rien n'y faisait.
Les seules conséquences de ces affrontements gargantuesques étaient la destruction. Même les ruines ou la végétation avait repris ses droits semblait s'effacer au moindre touché. Aucun des camps ne perdait du terrain. Pourtant, ces sortes de dragon ne se comptaient que d'à peine plus d'une dizaine de membres, qui n'étaient même pas encore adulte, là où les silhouettes informent se comptait environ au nombre d'une centaine.
[ Ce n'est que des foutaises. Vous n'avez rien appris de notre calvaire en tant qu'esclave. ]
Pensa la silhouette noire, l'hybride. Il semblait si obscure et morne, contrastant avec la majesté éblouissante que possédaient les dragons. Leurs écailles semblaient tout aussi indestructible que leur volonté alors qu'ils semaient le chaos par les flammes, l'acide, ou la glace. Tout comme leurs créateurs. Ils étaient tout le contraire des humains immobile qu'ils piétinaient comme des fourmis, sans même se rendre compte de leur existence. Après tout, qui pourrait se vanter de connaître le nombre exact d'insectes qu'il avait écrasé dans sa vie, et quand c'est arrivé ?
[ Si seulement ces affrontements n'étaient que le début de toute chose... ]
Continua de penser l'hybride, en continuant sa marche intrépide vers le plus misérable des dragons, qui semblait pourtant détruire plus efficacement encore le paysage autour de lui, sans même usée de magie.
Tout cela était, en effet, loin d'être le début. Ce n'était que la conclusion du première acte que connaissait cette planète, la terre. Tout cela n'était pas la cause de mystérieux portails menant à d'autres univers, ou l'apparition inexpliqué de donjon et de magie dans le monde, loin de là. L'idée même que cela soit possible avait été rejeté il y à plusieurs siècles de cela.
Ces affrontements étaient causés par la peur des créatures informe, semblable à des dieux tant leur maîtrise de ce monde était parfaite. La peur d'à nouveau devenir esclave de bien plus terrifiant qu'eux. La peur qui les avaient poussées à trahir leurs amis malgré la victoire certaine. La peur qui a poussé à créer ces immenses et majestueuses créatures qu'était les dragons. La peur que leur magie ne soit à nouveau pas suffisante.
Au milieu de ce chaos, seul le murmure solitaire l'hybride résonnait dans son environnement sans vie, ou tout se décomposait. Il faisait désormais face à l'unique dragon sans écaille existant, pourtant, il se permettait avec aisance de parlé au lieu de l'affronter pleinement.
« Nous avons raison...et pourtant... faire l'erreur de croire Reiner aurait peut-être été notre rédemption. Désormais, nous empruntons un chemin dont nous ne pouvons revenir. Tout cela pour tous les sauvées, même si nous devons tuer ces mêmes sauveurs de nos mains afin de préserver leur espèce, et leur évité de subir le même sort que le nôtre. »
Son corps ne possédait aucun orifice, aucun œil. Mais il semblait pourtant fixer ses cicatrices. Il continua son avancée destructrice dans l'espoir de faire reculer son opposant, alors que les ruines et la terre tout autour de lui s'effondrait comme de vulgaire châteaux de cartes à la moindre répercutions des affrontements qu'il délivrait contre son imposant adversaire.
