Groupe

Note de l'auteur: Je vais modifier ma méthode d'écriture dans ce chapitre, si vous voulez que je revienne à l'ancienne version écrivez le dans les commentaires

''Alors, la salle du personnel était l'endroit où tu voulais aller?'' demanda Aurélien à Shizuka alors qu'ils quittaient le bureau et marchaient rapidement dans le couloir. Saeko avait pris la tête du groupe suivit par Shizuka, puis Aurélien qui fermait la marche. Au lieu de tuer les zombies, Saeko les a simplement renversés dégageant facilement le chemin. Aurélien les poignardaient rapidement dans la tête par la suite ne voulant pas voir la possibilité d'une horde qui se forme derrière eux. Il avait également une autre raison de poursuivre cet objectif.

[ Quête en cour: éliminer 100 morts-vivants (14/100) ]

Il avait reçu cette quête après avoir tué son premier zombi. La méthode d'élimination des deux combattants était rapide et efficace ce qui permit au groupe de poursuivre une avancé constante.

"C'est là que tout le personnel garde leurs clés de voiture", a répondu Shizuka. Au même moment elle trébucha sur l'un des corps immobile sur le sol, sa jupe serré l'empêcha de reprendre pied.

'' Oh, merde ! ​​Qu'est-ce que c'est ? '' Shizuka se plaignit dans un gémissement irrité, se frottant la tête d'une main.

Saeko s'est agenouillé à côté de Shizuka et a dit: "Ces vêtements ne conviennent pas pour courir." Avec une prise ferme, Saeko déchira une partie de la jupe de Shizuka, montrant un soupçon du string violet lavande qu'elle portait en dessous. Aurélien se retourna et se força à ne pas regarder, respectant l'éthique d'un gentleman.

"Tu sais combien elle ma coûté !" Shizuka protesta.

"Qu'est-ce qui est le plus important ? Ta vie, ou tes vêtements ?" lui dit Saeko.

Shizuka fit la moue avant de dire "Les deux !" Puis un grand cri qui était résolument humain sortit de l'une des salles de classe. Il y avait aussi le bruit de quelque chose qui tirait.

"Quel est ce son?" demanda Shizuka en se levant.

"Cela ressemble à un pistolet à clous", a fait remarquer Aurélien.

''Était-ce de la salle des professeurs ?'' demanda Saeko alors qu'ils se dépêchaient d'avancer. En entrant dans le couloir devant la salle des professeur, Aurélien a vu un deuxième année un peu en surpoids et à lunette, armé d'un pistolet à clous qui avait été modifié, tuant quelques-uns des zombies tandis qu'une fille aux longs cheveux roses coiffés en nattes utilisait une perceuse électrique pour percer la tête d'un zombie.

"Je vais prendre à droite !" dit Saeko à Aurélien. Avec un bruit de métal grattant contre le cuir et le bois, l'épée d'Aurélien reflétait la lumière alors qu'il se mettait au travail pour découper les zombies pendant que Saeko travaillait pour tuer les siens. Puis arrivant par le couloir opposé, un garçon aux cheveux brun foncé armé d'une batte de baseball et une fille de l'âge de Saeko et d'Aurélien armée des restes d'un manche de vadrouille se joignirent au conflit.

La fille aux cheveux roses avait tué le zombie et était un désordre tremblant. Le garçon s'est approché d'elle et a dit : ''Takagi ? Ça va ?''

"NON ! JE NE VAIS PAS BIEN !" a crié Takagi et elle est devenue complètement hystérique et elle ne semblait pas vouloir se calmer. Aurélien soupira, ayant vu trop d'étudiant envahit par ce sentiment aujourd'hui, avant de s'approcher et d'un léger balancement, il gifla la fille sur la joue.

'' Calmez-vous ! L'hystérie ne servira à rien !'' lui dit-il. La douleur soudaine a choqué la fille aux cheveux roses qui s'est alors mise à pleurer : « Regarde mes vêtements… Maman devra les apporter au pressing ! elle s'est plainte.

"Génial, une autre plus inquiète pour ses vêtements que pour sa propre vie," marmonna Aurélien avec fatigue et Saeko laissa échapper un bref rire.

Aegon a regardé le garçon en surpoid et lui a dit: "Gamin? Est-ce l'un des pistolets à clous de l'école?" demanda-t-il au garçon potelé qui avait l'air un peu penaud.

"Je l'empruntais juste," dit timidement le garçon à lunettes. Il avait l'impression d'avoir déjà vu cet élève, mais il n'arrivait pas à s'en souvenir.

"Ne t'inquiète pas, mon gars, tu t'en sors bien mieux que la plupart dans cette situation", le rassura Aurélien, puis il regarda les nouveaux arrivants et leur dit : "Hélas, je ne vous connais ni l'un ni l'autre."

"Takashi Komuro, Classe 3B," le garçon se présenta et la fille à côté de lui parla. "Rei Miyamoto, Classe 2A," dit-elle.

"Saeko Busujima, Classe 3A," Saeko s'est également présentée.

"Je suis Kohta Hirano, de la classe 2B", a déclaré le gamin à lunette nerveusement comme s'il avait peur de s'immiscer.

"Ravi de vous rencontrer, je suis Aurélien Yamamoto, Classe 3A. ", a déclaré Aurélien

"Docteur Shizuka Marikawa," dit Shizuka. "C'est un plaisir de vous rencontrer tous !" elle a ajouté.

Puis la fille aux cheveux roses parla d'une voix irritée. « Pourquoi êtes-vous tous si polis ?! demanda-t-elle.

"Les choses ont peut-être mal tourné, mais ce serait vraiment stupide de ne pas se connaître", lui a rappelé Aurélien. "Et je ne connais pas encore ton nom," dit-il ostensiblement à la fille légèrement intimidé face au ton sévère de la voix d'Aurélien.

"Saya Takagi de classe 2B," marmonna-t-elle d'un air maussade.

"Eh bien, maintenant que nous nous sommes tous présentés, comparons les notes de ce qui nous est arrivé", a déclaré Aurélien. Disant cela, il entra dans le local des professeurs, qui heureusement était vide. Les autres suivirent derrière et verrouillèrent la porte.

"Moi et Rei sommes venus parce que nous avons entendu crier Takagi", a déclaré Takashi. "Mais d'abord, nous devons bloquer les sorties au cas où ils entreraient d'une manière ou d'une autre", a-t-il suggéré.

Aurélien, Takashi et Kohta ont ensuite déplacé des classeurs pour bloquer les portes. C'était une mesure temporaire certes, mais c'était mieux que de laisser les portes grandes ouvertes.

Takashi observa la tenu d'Aurélien trouvant qu'elle était étrange même s'il ne pouvait nié qu'elle lui apportait un certain style. '' Pourquoi est-ce que tu porte ce manteau digne d'un livre d'histoire?''

Aurélien le regarda comme s'il venait d'entendre une hérésie. '' Ce n'est pas parce que c'est la fin du monde que l'ont doit perdre son sens de l'esthétique. La vie serait bien trop triste sans fantaisie.'' En disant cela il porta son poing en l'air comme s'il révélait l'un des secrets de la vie.

Le visage de Kohta s'illumina.'' Ah, je me souvient maintenant! J'ai déjà vu Senpai dans des pièces de théâtres de l'école. Tu interprétais toujours des rôles de personnages sombres et mystérieux dont leur dialogues étaient bourrés de discours philosophique et de satyre. C'est pour ça que tu agis ainsi Senpai?'' La dernière question était dites avec une expression complètement innocente, mais cela déclencha l'hilarité dans la pièce, même la froide Saeko avait une main devant sa bouche pour cacher son amusement.

L'expression d'Aurélien se dégonflât à cette remarque. '' Stupides kōhai, qui ne comprennent rien à l'importance d'avoir un bon sens de la théâtralité.'' marmonna-t-il

Cette blague détendit l'atmosphère angoissante entourant les étudiants depuis le début de la crise.

Shizuka fouilla dans les tiroirs. "Mes clés de voiture devraient être ici quelque part," marmonna-t-elle.

"Est-ce que ta voiture nous conviendra même tous dedans ?" Saeko lui a demandé.

« Maintenant que tu le dis… » Shizuka posa un doigt sur son menton en réfléchissant.

"On pourrait prendre l'un des minibus ?" dit utilement Aurélien, essayant de faire oublié son embarra précédant. "Les clés devraient être ici, et il semble peu probable qu'elles aient déjà été prises", a-t-il ajouté.

"Tu as raison, ils sont toujours là", a lancé Kohta en regardant par la fenêtre du parking de l'école.

« Mais où irions-nous même ? demanda Shizuka.

"Nous allons vérifier nos familles," lui dit Takashi. "Nous nous arrêterons chez tout le monde, du plus proche au plus loin. Aussi si nous le pouvons, nous sauverons également nos familles. Après cela, nous trouverons un endroit sûr où rester", a-t-il déclaré.

"Un plan assez solide, mais il y a quelques défauts", a déclaré Aurélien à Takashi. "Mais nous les découvrirons au fur et à mesure," ajouta-t-il diplomatiquement.

"Euh… je pense que nous devrions jeter un œil à ça," dit soudain Rei en regardant la télé qui diffusait un reportage.