Une semaine était passé depuis mon réveil, une semaine ou je cohabitais avec le père Michael. C'était la première personne que je vis à mon réveil, il était penché au dessus de moi le regard inquiet. Je me souvient encore de ses premier mots :
-Enfin, te voila de nouveau parmi nous !
Je le regardais totalement déboussolée. Où était je ? Et surtout qui était-je ?
Ma mémoire, mes souvenirs avait comme ... disparus.
J'avais beau essayée, rien.Juste le néant.
Age, prénom... même ça m'avait été retirée.
L'homme ne m'avait pas bousculé plus que ça, au contraire il laissait a mon esprit le temps de se posé et de comprendre la situation, bien que celle ci était totalement inexplicable.
La chambre ou je m'était éveillée était des plus basique, un lit, une armoire, et un lavabo en plâtre, au dessus de mon lit était solidement attaché, un crucifix.
Je passais mon temps à le regarder.
L' Ecclésiastique ne me donna jamais d'explication, et cela me convenais parfaitement, bien sur j'aurais aimer me souvenir du passer et de mon prénom, mais comme me répétait souvent le père Micheal « tout arrive pour une raison, est foi dans le seigneur ! »
Avoir la foi était une chose que beaucoup ne comprenait pas, mais pour moi cela était une évidence, auprès du seigneur je me sentait si bien... apaisée.
Je vivais avec le père et les sœurs de l'église St Maurice, et très rapidement ils c'était tous mis d'accord pour m'enseigner les préceptes de la foi catholique.
Les bases les plus fondamental se trouvais dans la bible, je commençais donc chaque matin par lire un verset du livre sacré avant d'allée aider les sœurs dans leurs tâches quotidienne. Je me plaisait énormément dans cette vie monotone, bercé par les cantiques des sœurs qui chantait en chœurs pour notre seigneur et nos paroissiens.
Mais... au bout de quelques semaine de nombreuse personne ont commencé à jaser. Une jeune enfant vivant jour et nuit avec un prêtre... cela faisait beaucoup parler les bonne femme du coin, les hommes de dieux avait cette étiquette de prédateur, mais je savais que le père Michael n'était pas un homme au mœurs douteuse ! Mais les rumeurs se sont propagé si vite, que les banc de l'église furent bientôt remplie de commère.
J'étais attelé à la création de petit trou dans le potager quand le père Michael, vient me trouver, les mains dans la terre,appréciant la douceur et la chaleur de mère nature, je ne m'attendais absolument pas à la nouvelle qui m'attendais.
- Mon enfant, j'ai une bien triste nouvelle à t'annoncer.
Mon regard se posa sur l'homme d'église. J'avais beau avoir passé une longue semaine avec lui et les sœurs, je ne pouvait m'empêcher de le dévisager.
C'était un homme d'une quarantaine d'année, au corps endurcie par les épreuves de la vie, c'était un homme robuste au épaule large. Ses cheveux coiffé en broche arborais déjà une couleur poivre et sel,et ses yeux avait une teinte bien distincte : bleu au paillette verte.
De cette homme se dégageait une bonté...qui n'avait pas d'égale, a mes yeux du moins.
- Mon père ?
Il ce mit a ma hauteur, posant un genoux à terre, avant de venir poser sa main sur mon épaule, il etait triste.
-Tu va devoir quitter l'église pour partir dans le couvent des sœurs de St Madeleine...
La surprise m'assaillit. Pourquoi devais je partir ? Avais je commis une faute ?
-Mon père, si j'ai fauté je me rattraperais ! S'il vous plais laissée moi une chance .. Je..
Le prêtre secouais la tête.
- Mon enfant, tu n'a rien fait de mal ! Au contraire, ce sont les femmes du village qui sont la cause de ton départ, toi tu n'y est absolument pour rien. Mais je pense sincèrement que le temps passé au couvent te sera bénéfique.
Mon regard se posa sur les rosiers planté la veille, je m'était donnée du mal, et avais hâte de les voire éclore, hors cette nouvelle m'indiquait que ceci ne serais plus possible. J'étais triste et bouleversée, une semaine n'était rien dans une vie, mais la mienne avait commencer avec le père Michael et les sœurs, être loin d'eux... être loin de sa famille me brisais le cœur.
- Je ne veux pas !
- Je te promet de venir te voir toute les semaines après mon office, le couvent n'est qu'à une heure de route.
Je comprenais le dilemme qui tiraillait mon protecteur mais ne voulais pas l'accepter, ma vie était ici, et non dans un couvent, avec des personnes inconnues !
L'inconnu me terrifiais et cela n'échappait pas à mon interlocuteur.
Les mains toujours enfouie dans la terre, la serrant fortement entre mes doigts sentant la tristesse laissez place à la colère.
- Les sœurs de St Madeleine seront te guider dans la foi, bien mieux que moi. Fait moi confiance..
- Pourquoi je dois payer pour les mots des femmes du village ? Je ne leurs est jamais rien fait, jamais parler, je me contentait d'aider tout le monde à l'église !
- Aucun membre de l'église ne remet en question ta dévotion pour le seigneur et encore moins tes efforts, tu fait partie de notre communauté, que tu sois ici ou ailleurs. Tu pourra toujours revenir quand tu auras la permission de l'Abbesse.
Je n'avais donc vraiment pas le choix. Les mots, les rumeurs d'inconnue avait chamboulée ma vie.
- Je dois préparer mes affaires pour quand ?
- Maintenant, une sœur viendras te chercher d'ici une heures au plus tard..
Mes affaires prête, et mise dans la petite clio rouge de la religieuse, je fit mes derniers au revoir au membre de la paroisse, tous me souhaitais bon voyage.
- N'oublie pas, je viendrais te rendre visite, chaque Vendredi, après l'office du matin. Sois aussi consciencieuse et fidèle au seigneur que tu l'était ici et tout se passera bien.
Un dernier regard sur la bâtisse, me repassant les dernier événement.
Ce n'était pas la fin d'un chapitre, juste une petite pause.
A l'ombre d'un grand chêne à quelques mètre du parvis de l'église, une ombre se dissimulait. Je l'avais quelques fois aperçu lorsque je devais allez faire des courses en villes mais jamais elle ne m'avais approcher, elle restait à l'écart, m'observant en silence. Je n'avais jamais éprouvée le besoin d'allée vers elle, je savais qu'elle était la et cela me suffisait amplement. Comme disait l'adage : la curiosité est un vilain défaut.
Le couvent de St Madeleine était un immense monastère à l'architecture gothique, dont deux gargouille surplombais l'entré. Le tout était entouré par une forêt de conifère, si je trouvais l'église du père Michael isolé , le couvent l'était toute autant ! Mais cela donnait au lieu un charme bien à lui.
Une femme vêtue d'une longue robe noir décoré par un collier de perle qui entourais sa taille. Sa coiffe bien représentatif des religieuse, ne montrait que son visage, un visage autoritaire certes mais au regard doux.
A coté d'elle ce tenait une autre religieuse qui ne portait pas encore le voile,ce qui m'indiquais qu'elle était novice : une religieuse qui n'avait pas encore prononcée ses vœux.
La voiture s'arrêtait dans un petit brouhaha,le gravier éclaboussant légèrement les pieds des deux femmes.
Descendant de l'auto silencieusement, jetant des regard fuyant au deux religieuse, elle m'intimidait, tout ce que je ne connaissais pas m'intimidais.
- Je suis l' Abbesse de ce couvent, Mère Fran, et voici sœur Lucie, elle sera ton repère..
Elle attendait quelques chose certainement une réponse, mais aucune ne me vient.
- Père Michael ne nous à pas donnée ton prénom, en n'a tu un ?
Un simple hochement de la tête négatif comme réponse, et la mère supérieure se mit a soupirer.
- Nous allons t'en trouver un « temporaire » tu le choisira bien entendue.
Sors tes affaires du coffre et suis Lucie, elle te montrera ta chambre et les lieux important.
Sois la bienvenue mon enfant.
La vie au couvent n'était pas différente de celle à l'église, seul quelques petit détaille changeais, notamment le nombre de prière et les moments de silence, mais les tâches était similaire.
Mère Fran était une femme strict, mais au cœur charitable, elle aimait toute ses filles de la même manière et aidait au tâches bien que cela ne sois pas son rôle, elle était tout comme le père Michael un être empli de bonté. Quelques mois après mon arrivé elle me fit faire un chapelet, les perles était en bois de cerisier et la croix en argent.
« Chaque nouvelle sœur, en reçois un, tu fait partie du couvent Marie. »
Pour mon prénom d'emprunt je n'était pas allée cherchée bien loin, c'était vrais, mais il me convenait. Je chérissait l'objet et priait avec bien plus de ferveur.
Tout les Vendredi, comme promis le père venait me rendre visite, nous prenions le thé dans le petit jardin, réservée au invité, car les hommes ne pouvait rentrer dans l'enceinte du couvent, quand l'air était froid la mère supérieure nous autorisait a prendre place dans les cuisines, ces petits moments était toujours attendue, je racontais mes journées , mes apprentissages de la foi.. Des banalités pour un homme de dieu, mais qui semblait rassuré l'homme.
Le temps filait et ma foi devenais de plus en plus importante, priant matin et soir, jeûnant même lorsque cela n'était pas nécessaire me donnant corps et âme au seigneur.
Je devais tant au seigneur... Que tout ce que je faisait me semblait totalement dérisoire.
Mais une ombre venait s'immiscer peut a peu dans mes prière, au début elle était une simple gène qui disparaissait des le début de mes prières, mais plus le temps passait et plus elle me parasitait. Quelques chose n'allais plus, quelques chose en moi grandissait, une chose qui ne voulait pas de mes prières.
Un soir pendant la dernière prière, cette ombre surgit, plus forte que jamais, elle envahissait ma tête, comme un essaim furieux, prier était devenue si compliquer... Des murmures inaudible, voila ce qui m'empêchait de me concentrer.
Je ne devais pas les écoutés, je le savait au plus profond de moi !
Prie, PRIE PLUS FORT !
Plus je me répétait cette phrase, plus je serrais entre mes doigts le chapelet qui s'enfonçait peu à peu dans mes chaires. La douleur me permis de me concentrer et de prier encore et encore, suppliant le seigneur de m'aider.
Seigneur, protéger votre humble serviteur, quelques chose me tourmente, tourmente mes prières, je prie plus fort chaque jours mais celle ci gagne en puissance. Aidez moi a surmonté cette épreuve... Je vous en supplie seigneur...
Quand j'ouvris les yeux, mes sœurs était autours de moi toute affolé. La croix de mon chapelet était entièrement entrer dans ma paume.
- Mon enfant, j'ai eu vent de l'incident, veux tu m'en parler ?
Le père et moi marchions sur le petit chemin de terre qui bordait le jardin, l'hiver commençait et l'air était froid, pourtant il avait insisté pour une promenade.
Les mains encore bander, je ne su réprimer un soupir d'angoisse, qu'allait il pensé de moi ? Moi qui prie comme une forcené pour repousser quelques chose , dont je sais la nature horrible.
-Mon père, si je vous parler , promettez vous, de ne pas me traité d'hérétique ?
Le père ne pu réprimer un petit rire.
- Une hérétique ? En 2012 cela n'existe plus ! Et quand bien même qui suis je pour te juger, je laisse ça a notre seigneur. Parle sans crainte.
-Et bien... Vous savez que j'ai pour vocation de devenir moi même une sœur, de ce souhait je met toute en œuvre pour.. mais... quelques chose me tourmente lors de mes prières..
- Qu'est ce donc ?
- Des murmures mon père... dès que je prie, elle parasite mes pensées et me pousse à arrêter , alors je prie encore plus fort ! Mais j'ai beau prier encore et encore ... elles reviennent toujours !
- Comprend tu les murmures ?
L'inquiétude commençais à ce lire sur le visage de l'homme.
- Non, et je ne veux pas les comprendre. Je les repousses grâce à la prière mais j'ai la crainte que cela ne s'arrête jamais.
Il croisait les bras, et pris une profonde inspiration. Seul le bruit de nos pas sur le sol glacé ce faisait entendre.
Quand il rompit le silence, je pouvait sentir le poids de son regard sur moi.
- Ne t'en fait pas, le seigneur est la près de toi, il te protégera. Je dois prendre congé, mais quand je reviendrais , je te promet que j'aurais une solution a ton problème.
- Mon père, pensez vous que je le seigneur me met à l'épreuve ?
-Tu est une enfant,le seigneur ne te ferais jamais cela... Continue de prier avec tes sœurs et demande l'aide de la mère supérieure quand tu te sens submerger par ces murmures, tu n'est pas seul, n'oublie jamais cela.
Mon regard se posa sur une ombre, cette ombre. On se regardait, pourtant je n'arrivais pas à la distingué de la ou j'étais. Qui est tu ? Cette question me trottait dans la tête depuis quelques temps, mais dès que je m'approchait la personnes disparaissait, décidément cette « ombre » voulais rester dans l'ombre.
Trois semaine était passé depuis la dernière visite du père Michael. J'étais inquiète de ne pas avoir de nouvelle, mais Mère Fran m'avait assuré que celui ci allait très bien,qu'il était simplement en mission pour l'église et qu'il viendrais bientôt .
J'étais dans la serre quand deux homme habillé en noir se postèrent devant moi. Ils était aussi expressif que des poupée de chiffons et se ressemblait tellement, qu'ils auraient put être jumeaux.
- Vous êtes la protéger du Père Michael ? Nous somme envoyé par le conseil pour vous escorté jusqu'au Vatican.
Je n'était qu'une enfant et la notion même de suivre des inconnue qui ce disait « envoyé » par un conseil inconnue me terrifiait, je reculais prudemment vers le fond de la serre, lorsque la voix douce et paternelle du prêtre ce fit entendre.
- Elle ne vous suivra jamais si vous l'intimidé de la sorte cher amis !
Je suis heureux de te revoir mon enfant, et navré aussi de ne pas avoir pu te donner de nouvelles durant ces dernière semaines.
- Mon père vous allé bien !?
Sans réfléchir j'étais déjà dans les bras de l'homme de dieu,il me serra chaleureusement contre lui pendant quelques seconde avant de relâcher la prise.
- Désolé de t'avoir inquiété, mais tu va devoir me faire confiance une nouvelle fois...
- Pourquoi ces hommes veulent il m'emmener au Vatican ? Je ne veux pas à nouveau quitter mon chez moi !
- Je sais mais ... Tu dois pourtant le faire. Ce que tu ma raconté n'a rien d'anodin, quelques chose cherche à te détourner du seigneur et je ne sais pas comment mais ... tu arrive à t'en protéger !
J'ai parler de toi à l'évêque du diocèses qui en n'en parler au cardinal Donovan, je l'est convaincu de te laisser entrer dans les ordres sacrée de la trinité ... Tu va apprendre et devenir une pièce majeur pour le seigneur..
- Mais ...
- Je sais que tu as peur de tout ça et que tu prie comme une archarnée, jamais ne douterais de ta foi et personne ne le feras, mais tu dois me faire confiance.
Encore une fois je n'avais pas le choix, mais je devais le faire pour le père Michael, il c'était donné du mal pour m'aider..
-Combien de temps .. je partirait ?
- Je ne sais pas..
- dix ans, elle seras formée pendant dix ans au saint siège.
La réponse de l'homme me fit presque chancelé, mon rêve de rentrer dans les ordres était anéantie d'une certaine manière... Je quitterais Mère Fran et manquerais les vœux de sœurs Lucie.. tout comme j'ai loupée l'éclosion de mes rosiers un ans plus tôt.
- Hatont nous, l'avion dois partir dans peu de temps, les sœurs on déjà tout préparer, dite en revoir à l'enfant.
Le père me regarda une dernière fois avant de quitter la pièce, les larmes au coin des yeux.
Je ne pouvais dire adieux a mes sœurs. Je partais, comme une voleuse.
Sur le chemin du retour le prêtre ne pouvait que ce demander si son choix était le bon, le cardinal avait pas vraiment eu l'air enchanté de la venue au Vatican d'une enfant. Le cardinal pensait que la petite fille mentait et profitait de l'attention du prêtre...
Il relevais les yeux vers la ciel nocturne avant d'enfoncer le bas de ses joues dans le col de sa veste.
Crac
Il releva le regard, sa voiture n'était pas loin et pourtant elle lui paraissait si éloigné. Le bruit ce répétait , quelques chose tournait dans les bois, tournait autours de lui.
- Qui est la ?!
Il n'avait pas envie de jouer, la journée avait été longue, et la perte de sa petite protéger l'affectait bien plus , qu'il ne l'aurait pensé.
Il se stoppa net lorsque quelqu'un ce posta devant lui, la nuit semblait se couvrir d'un linceul ténébreux, il sentait que quelques chose n'allait pas , mais il ne savait pas quoi.
Je te l'avait confier !
-Qui êtes vous ! Montré vous !
JE TE L'AVAIT CONFIER ET TU LEURS AS LIVRE !
Son cœur manquais un battement lorsque la lune ce mit a dévoiler un être qui n'aurait jamais du foulé la terre du seigneur. Un être que l'homme avait mainte et mainte fois combattue au fils des années.. Mais qui n'avait jamais pris formes.
La créature faisait deux fois la taille des hommes, sa peau avait la couleur du charbon brûlée, aussi noir que la nuit. Deux grande aile mutilée par le feu le surplombais, tels des bouclier impénétrable. Ses yeux au couleurs du soleil, se reflétait dans les rayons froid de la lune.
L'homme de dieu ce mit à prononcer ses prière mais cela n'affectait pas le monstre, au contraire, il s'énervait de plus belle .
Cela n'a aucun effet sur moi, Cureton ! Pourquoi as tu confier l'enfant ?!
- Je l'est mise en sécurité car elle était tourmenté par l'enfer ! Je n'est fait que la protéger !
La protéger ?! JE L'EST PROTÉGER ! Je te l'est confier apres son reveil, car tu avait un coeur bon,quand tu la confier au sœur, j'était la, la surveillant. J'était toujours la !
- Mensonge, un démon ne peut..
Garde ta salive,prêtre ! Ton discours sur le mal est biaisé ! Tu as conduit ma protéger dans la gueule du loup !
- De quoi parle tu ? Tu est née pour corrompre et pour blesser ! Protéger n'est pas dans ta nature !
Il est vrais que certain de mes frères se complète dans le mal, mais pas moi. Quelques chose ma liée à cette enfant et me pousse à la protéger. C'est mon devoir ! MA RAISON DE VIVRE !
Devant l'homme ne ce tenait plus une créature démoniaque, mais un jeune homme, au aile toujours arraché et brûlé, il aurait pu être un ange... il en avait été un avant.
L'homme restait muet, choqué par ce qu'il venait de voir car devant lui ce tenait le vide. La créature avait disparue seul un écho subsistait dans le vent, un écho remplis de tristesse.
Tu la conduis au homme en noir... pourquoi ... ?