Une politique de non-ingérence

Abaddon regarda autour de lui le champ de bataille détruit et secoua la tête intérieurement.

Pour la plupart, son armée s'en sortait plutôt bien.

Bien qu'il avait perdu une partie de ses forces ; celles de Samyaza étaient indéniablement plus grandes, ce qui était révélateur puisqu'ils avaient commencé avec plus au départ.

Le problème avec cette image était que les troupes exceptionnelles que Samyaza avait étaient vraiment exceptionnelles ; assez pour submerger même ses élus.

Ses soldats ne luttaient que contre ces deux adversaires spécifiques.

Ils étaient des monstres, faute de meilleur terme.

Mais son père et Erica n'étaient-ils pas aussi ?

Peut-être ce qui leur manquait n'était pas en capacité, mais quelque chose d'autre entièrement.

Tandis qu'il réfléchissait à toutes ces choses à un niveau super calculatif, Samyaza sortit de la salle de visualisation et flotta dans l'air comme un dieu descendant sur la terre.