Ils sont partis pour les vacances de Noël chacun chez soi pour les fêter avec leurs famille quand Ron, Ginny et Harry sont arrivés au manoir, ils y ont vu tout le monde.
Le manoir bien que de taille moyenne à l'extérieur était gigantesque à l'intérieur grâce aux enchantements, , ce qui a permis à la famille d'accueillir sans soucis énormément de monde.
Les compagnons de l'ordre du phénix pouvaient y demeurer sans aucun problème car la famille avait fait du manoir le quartier général de l'ordre.
Ils ont salué tout le monde et Ron a embrassé ses parents.
Le lendemain de leur retour à la maison, Ronald s'est rendu au domicile des Lovegood car Luna lui avait dit par télépathie que son père désirai le voir.
Ron a un peu stressé, il savait que Luna comme son père avait des facultés de perceptions assez spéciales et il s'est dit que par un moyen inconnu, Xenophilius était au courant que sa fille n'était plus vierge.
Il est allé chez eux et dès que Luna lui a ouvert la porte, elle l'a embrassé sur la bouche et ensuite Xenophilius a salué Ron avec beaucoup d'enthousiasme.
Xenophilius : Ah Ronald, tu es enfin là. Prends place je te prie…fais comme…chez toi…
Ron : Je vous remercie monsieur Lovegood.
Xenophilius : Roh tu peux très bien m'appeler papa, beau-père ou même par mon prénom puisque tu es l'homme de ma fille…
Ron : Je vous remercie de m'accorder tant de considération, j'aime vraiment Luna depuis plus longtemps qu'elle ne le pense…
Xenophilius : Sa mère, ma femme Pandora me le disait quand vous vous voyez étant enfants. Molly et elle en riaient de temps en temps mais Pandora avait l'air de le savoir vraiment.
Ron : Elle devait être une femme extraordinaire, je ne l'ai connu que de peu mais je me souviens assez bien de son visage et Luna lui ressemble beaucoup.
Xenophilius : Ta mémoire est très bonne mon petit…Luna est le portrait de sa mère. Si j'ai demandé à te voir maintenant c'est pour te remercier.
Luna est venue avec du thé et s'est assise près de Ron où ils se sont tenu la main.
Luna : Les ventes hebdomadaires du journal de papa se sont envolées depuis que tu as parlé de son journal et dit qu'il était digne de confiance, il prend de plus en plus de notoriété maintenant.
Ron : Ce n'est rien, je n'ai fait que dire la vérité sur ce que vous avez écrit Xenophilius.
Xenophilius : Cela signifie beaucoup pour moi, Ronald.
Ron : En fait j'avais pensé à vous faire une proposition. Vous savez certainement que ma famille possède une galerie commerciale qui fonctionne très bien. Je me demandais si vous accepteriez que nous y ouvrirons un magasin pour en faire le point de vente officiel de votre journal. Vous n'aurez rien à dépenser, voyez ça comme un cadeau de Noël.
Xenophilius : Je ne sais pas si je pourrais accepter…c'est beaucoup trop. Vôtre galerie est extrêmement célèbre.
« Ça nous ferait très plaisir papa… » Luna a dit sèchement avant que Ron ne fasse passer sa main sur ses épaules pour qu'ils se rapprochent.
Xenophilius : Ronald, tu as fait grandir ma fille si vite. Maintenant que vous ne faites plus qu'un, vous devez être plus prudents…
Ron a failli immédiatement recracher son thé et il en avait même dans le nez.
Ron : Vous savez… ?
Xenophilius : Je l'ai vu naître fils, je la connais et quand tu es là, il n'y plus de bourdonnement dans sa tête…
Ron :…Je…laissez tomber, je ne vais même pas essayer de savoir ce que cela signifie. Je vous demande pardon pour ce qui est arrivé, c'était incontrôlable. Luna et moi-(interrompu)
Xenophilius : C'était comme un feu dévorant ? Une soif folle de l'un pour l'autre ?
Ron + Luna : Oui.
Xenophilius : J'ai vécu la même chose avec sa mère et mon père m'a également raconté la même chose. Il y a ce phénomène dans notre famille depuis des générations, quand un Lovegood aime quelqu'un profondément et que le sentiment est réciproque, il y'a comme une chaîne qui vient lier leurs magies pour créer un besoin permanent de l'un pour l'autre. Le plus fort est que ce lien magique grandi avec le temps .
Luna : Tu ne m'en avais jamais parlé.
Xenophilius : Parce que c'est beaucoup mieux de le découvrir, ton arrière grand-père disait que c'était une magie très ancienne. C'est un peu pour ça que notre famille porte ce nom.
Ron : Si ce que vous nous dites est vrai alors je n'ose même pas imaginer votre douleur depuis le décès de votre femme. Je suis de tout cœur désolé pour ça Xenophilius.
Xenophilius : Il y a un avantage dans cette magie, même si ma femme a cessé de vivre, elle ne m'a jamais quitté. Vous saurez certainement de quoi je parle un jour.
« C'est la première fois que je te vois parler d'une manière aussi fluide depuis longtemps. » Luna a dit à son père et ils ont continué à discuter encore, ils lui ont même raconté certaines choses à propos de l'école.
Luna et Ron ne voulaient pas se laisser mais il a dû repartir, il se sont embrassé devant la porte, ils ont convenu de dormir ensemble ce soir.
Un soir, Ron, ses parents et les autres membres de l'ordre y compris Amelia Bones qui les a rejoint discutaient des agissements des death eaters et des disparitions de plus en plus nombreuses à l'impuissance du ministère.
Cornelius Fudge avait pris sa retraite avant de disparaître mystérieusement comme les autres, le nouveau ministre Rufus Scrimgeour essayait de se battre mais il était débordé avec toutes les bêtises laissées par Fudge.
Ils ont discuté un peu quand il y a eu une agitation dehors et ils sont sortis pour voir Bill et Fleur Delacour, ils s'étaient mis en couple et la famille les attendait pour les vacances mais ils avaient l'air d'être poursuivis.
Bill : Les death eaters…ils sont derrière nous. Nous leur avons échappé de peu…
Fleur : Ils nous ont suivi dès que nous sommes arrivés à Londres. Ma baguette a été détruite…
Arthur : C'est bon, vous êtes en sécurité maintenant.
Molly : Vous êtes chez vous les enfants, ils ne peuvent rien vous faire ici.
Fleur : Madame Weasley, vous ne comprenez pas…
« ILS SONT LÀ… ! » Bill a alerté tout le monde et a vu son père regarder vers le ciel avec ses mains dans les poches.
9 silhouettes faites de fumée noire volaient en se précipitant vers le manoir mais il ils ont été stoppé par une barrière magique translucide.
Ils ont essayé plusieurs attaques mais la protection semblait devenir encore plus forte car les runes de Ron ont absorbé la magie de leurs attaques pour alimenter le sort.
Ils ont tourné autour de la propriété quand deux d'entre eux ont eu la brillante idée de transplaner (apparate) de l'autre côté de la barrière près du manoir mais aussitôt, une force invisible les a projeté de façon très violente hors de la barrière du périmètre de la protection, ils ont été blessés avec une ou deux fractures ouvertes.
Arthur : Vous voyez les enfants ? Vous ne risquez rien ici, une chambre vous attend, la maison est assez grande et vous pouvez rester autant de temps que vous le souhaitez.
Molly : Vous êtes chez vous…
Bill : Ce sort de protection, je n'ai jamais rien vu de tel ! Qui l'a placé ici ?
« Je suis l'auteur de cette petite merveille… » Ron a dit en sortant alors qu'il mangeait un cookie. Bill et lui ont sourit l'un à l'autre et ils se sont précipité pour se faire un câlin.
Bill : Tu as encore grandi ! La dernière fois que je t'ai vu tu gagnais une certaine coupe du monde.
Ron : Elles ont du style tes cicatrices au visage.
Bill : Je les dois à un certain Fenrir Greyback, je lui rendrai la politesse. (Montre Fleur) Tu connais Fleur n'est-pas ? Elle et moi sommes fiancés.
Ron : Bien évidemment, c'était une championne de la dernière coupe des trois sorciers.
« Enchantée Ronald… » Fleur a serré la main de Ron et lui a fait la bise.
Ron : Tu peux m'appeler Ron. Tu te souviens de moi ? Ça fait plaisir…
Fleur : Le plus jeune champion du monde de Quidditch, le meilleur élève de Poudlard depuis 6 ans maintenant et le créateur du premier sort de résurrection. Presque toutes les jeunes sorcières de France rêvent littéralement de toi.
Ron :Je suis si célèbre que ça ?!!!!
« Tu n'as même pas idée Ronny... » Ils se sont tous retourné pour regarder Charlie qui venait de parler .
Molly : Mon gros bébé !
« Salut maman… » Charlie est venu faire un câlin à sa mère.
Fred : Quand es-tu arrivé frangin ?
Georges : Et par où ?
Charlie : À peine et par la cheminée depuis le chaudron baveur, il y'a des partisans de vous savez qui partout et ils avaient l'air de me prendre pour cible.
Ron : Je vois, c'est peut-être à cause de moi. Voldemort a envoyé Malfoy me demander de rejoindre son camp sous menace de s'en prendre à mes proches et donc vous. Je suis désolé tout le monde.
Bill : De quoi ? De rester fidèle aux principes de la famille ?! Si tu savais seulement à quel point tu nous rends tous fiers.
Charlie : C'est vrai Ronny, on est tous très fiers de toi, même si mon travail est gâché à cause de toi en Roumanie. Je ne peux plus travailler en paix depuis qu'ils savent tous que je suis ton grand frère, tout le monde veut te rencontrer ou savoir des choses sur toi.
Ils sont tous rentrés pour aller manger et discuter à l'intérieur, Bill et Charlie ont vu Harry l'ont salué comme leur propre petit frère avant de le taquiner quand Fred et Georges ont vendu l'information de son couple avec Hermione.
Harry était gêné, Molly, Arthur et Sirius étaient assez fiers de lui alors que Ron riait dans son coin.
~Je suis là~
Ron a entendu la voix de Luna dans sa tête et est allé dans sa chambre pour la trouver assise sur le lit et ils ont commencé à sourire à la vue de l'un et de l'autre avant de finir dans le lit pour une longue nuit passionnée.
Le lendemain, il sont descendus tous les deux pour prendre leur petit déjeuner avec les autres qui ont été surpris de voir Luna sauf Molly qui préparait le petit déjeuner dans la cuisine avec les autres femmes, Arthur absent et quelques autres qui dormaient encore .
Les frères de Ron (Harry y compris) se sont regardés comme s'ils avaient deviné quelque chose et ils l'ont regardé avec un certain choc.
« Mes 100 gallions mon ami… » Georges a tendu la main vers Fred qui a commencé à râler.
Percy : Quels 100 gallions ?
Georges : On avait parié que ces deux-là feraient la chose avant l'âge de la majorité et j'ai gagné.
Fred : On a aucune confirmation , ne crie pas victoire trop vite.
« Salut Georges, salut Fred, Bonjour Percy, bonjour Charlie, bonjour Bill, et bonjour Harry… » Luna a dit de façon directe avec sa petite voix.
Fred : Salut petite belle-sœur…
Georges :…on espère que tu as bien dormi.
Ron : Arrêtez vous deux…
Luna : Ils veulent savoir si toi et moi avons couché ensemble.
Ron : Je sais ma belle. (regarde ses frères) Oui, on l'a déjà fait et son père est au courant. Gardez ça pour vous et ne dites rien à maman, elle n'est pas prête à savoir que son fils a déjà grandi à ce point.
Bill : Xenophilius est au courant ?! Et il ne t'a pas tué ?
Ron : Il le comprend plutôt très bien au contraire. Où est maman ?
Bill : Elle prépare le petit déjeuner avec madame Bones, Fleur, mademoiselle Tonks et Ginny.
« Je vais les aider… » Luna a dit en partant vers la cuisine où ils ont entendu la voix de Molly qui était agréablement surprise de la voir.
Charlie : Je savais que tu étais fort Ronny mais là je suis épaté, soyez très prudent tous les deux.
Bill : Fleur et moi le faisons à peine…
Les autres : On ne veut pas le savoir !!!
Harry : Bon sang, Bill !!!!
Bill : Quand c'était Ron vous vouliez tous savoir !
Ron : Au fait, Charlie et Bill ne connaissent pas la chambre noire pour s'entraîner aux duels ou essayer de nouveaux sorts. J'irai à la galerie avec Luna tout à l'heure alors je ne pourrais pas leur montrer. Fred, Georges vous pourrez peut-être le faire…
Fred : On a un magasin aussi à gérer Ron…
Georges : Oui, on a un magasin à gérer Ron…
Percy : Je pourrais le faire si tu veux.
Ron : Tu fais ce que tu veux, je m'en fiche.
Fred + Georges : Et c'est reparti !
Charlie : Vous deux, ça ne s'est pas encore arrangé ?
Percy :…
Bill : Apparemment pas…
Ils ont entendu du bruit dehors et ont regardé par la fenêtre pour y voir la voiture noire ensorcelée d'Arthur se poser alors que Xenophilius , Amos et Cédric sont descendus du véhicule.
Arthur : Bonjour les garçons…
Eux : Bonjour papa ! Bonjour oncle Arthur (Harry).
Amos : Bonjour les garçons.
Eux : Bonjour monsieur Diggory.
Xenophilius : Bonjour mes garçons.
Eux : Bonjour monsieur Lovegood.
Xenophilius : Bonjour les Weasley. Ronald…
Ron : Xenophilius, votre fille est avec maman et les autres filles pour faire le déjeuner.
Xenophilius : C'est bien alors, elle est heureuse. J'ai décidé de rejoindre l'ordre.
Ron : Content de vous compter dans nos rangs.
Xenophilius : Le plaisir est pour moi mon gendre, le plaisir est pour moi.
Il a continué avec Arthur et Amos pour aller rire et discuter dans l'un des salons où ils ont été rejoints par Lupin et Sirius réveillés.
Cédric : Salut les gars.
Bill : C'est fou à quel point ils grandissent tous…
Charlie : Bonjour Cédric. Billy a raison, vous grandissez tous de façon alarmante.
Il a salué tout le monde dans le rire et la bonne humeur avant de s'asseoir juste à côté de Ron.
Cédric : Ça m'étonne que tu sois seul. Luna a enfin décidé de s'éloigner d'un insolent comme toi. (aux autres) Ils étaient totalement inséparables à l'école quand j'y étais.
Charlie : Si tu savais seulement à quel point…
Ron : (à Charlie) Sérieusement ?!
Charlie : Ahahahah, c'est bon Ronny je rigole.
Cédric : Ne me dites pas que… RON !!?
Ron : Laisse tomber. Une compétition dans la chambre noire tout à l'heure, ça te tente ?!
Cédric : Ne change pas de sujet…et je suis partant pour une compétition.
Harry : J'en suis.
Fred et Georges : On vient ! Quelle est la mise ?!
Ron : Vous voulez vraiment parier dans une compétition contre moi ? Et vous disiez tout à l'heure devoir aller à votre boutique.
Fred : Qui a dit qu'on allait parier contre toi ?!
Georges : Et c'est notre boutique, on l'ouvre à l'heure que nous souhaitons.
Bill : Au fait, c'est quoi cette chambre noire ?
Ron : Tu verras tout à l'heure.
« Regardez-moi cette assemblée de beaux garçons… » Molly a dit en sortant de la cuisine avec Amelia Bones, Ginny, Luna, Nymphadora et Fleur alors que plusieurs assiettes, tasses et plats flottaient dans le vide avec l'aide de Dobby.
Cédric : Je savais que Luna ne serait pas loin.
Ron : D'ailleurs change de place, c'est la sienne.
Amelia : Molly a raison, c'est vraiment une assemblée de beaux garçons. Ne mangez pas tout, pensez aussi aux autres.
« On ne peut rien promettre… » Ils ont tous dit avant de commencer à rire.
Les plats ont été installées sur la très grande table et ils ont attendu un peu avant que les autres n'arrivent. Ils y avaient une grande quantité de nourriture pour tout le monde et ils ont tous mangé dans la bonne humeur. Il y a eu des discussions animées, des rires, des chansons et des histoires racontées. Des petites choses qui constituaient de grands moments.