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Chapitre 2- Eliot Bring

J'étais dans le salon, mon téléphone indiqué quatorze heures quarante, j'étais allongée sur le canapé puis je me lève et me dirige à l'étage, j'ouvre la porte de la pièce avec des tonnes de documents et papiers par terre, je me mets accroupi et comment a fouiller partout, soudain, je saute de joie.

- LE VOILÀ, MON SUPER LIVRE.

Je m'assois puis je commence à lire quelques pages. Il était maintenant quinze heures, j'entends toquer à la porte, je descends rapidement des escaliers puis j'ouvre la porte, Makoto était devant, je l'attrape par le bras et la mets devant le salon, je lui tourne autour, elle me regarde d'un air étonné.

- pourquoi tu me tournes autour ? Dit-elle avec les gros yeux

- je regarde si tu n'as pas de blessure ou des séquelles visibles.

- oh d'accord.

Je m'éloigne un peu, puis je croise les bras tout en affichant un visage blasé. Je soupire légèrement.

- Makoto tu as des questions à me poser, je suppose.

- oui, plein, elle était toute excitée d'abord, tu es immortel depuis longtemps, tu as quel âge, les gens qui m'ont kidnappé, c'était qui, le gun que tu as tout le temps sur toi sais quoi ? Elle respire un bon coup voilà normalement, c'est fini.

Je la regarde avec des gros yeux.

- pour commencer ça fait depuis que je enfant que je suis immortel, oui tu as bien entendu je grandis comme une personne normale, par contre je ne sais pas si un jour j'arrête de grandir et continuerai à vivre des millions d'années, du coup j'ai 16 ans, les hommes qui ton kidnapper ce sont des démons, c'était des humains qui ont atterri en enfer puis des fois ils reviennent dans cette ville, mais ne peuvent pas en sortir, aussi mon gun n'est pas à moi, je l'ai trouvé dans cette maison . Je prends mon gun dans mes mains, aussi les démons peuvent être tué que part cette arme, mais pour ça, il faut que je leur tire dans la tête, un démon s'il se fait tirer dessus, par une arme normale subite des dommages comme n'importe quelle personne, mais il guérira. Je la regarde, elle était absorbée par ce que je lui disais, tu as des questions ?

- non, c'est bon. Elle affichait un sourire rassurant.

Je me dirige à la cuisine et je prends mon gilet rouge, elle me fixe, mais ne dit rien.

- je sors tuer du revenant, je suppose que même si je te dis de ne pas me suivre, tu le fais quand même. Je la regarde avec un sourire.

Elle me sourit à son tour puis nous sortons du ranch.

Je marche dans les ruelles de la ville, comme d'habitude, elles étaient peux éclairer comme un super film d'horreur, je m'arrête et me retourne vers Makoto.

- j'ai oublié mon papier...

- ton papier ? Elle me regarde interroger.

- oui mon papier, j'en ai besoin pour savoir quel démon je dois tuer. Mon visage affiché clairement ma tristesse

- oh... Makoto fait les gros yeux.

On fait demi-tour, direction la maison à toute vitesse, j'enfonce la porte du ranch, puis je me précipite à l'étage, je fouille partout, mes papiers et classeur s'envole partout. Makoto arrive avec un visage blasé, puis elle ajouta.

- tous ses papiers rangés, dispersent aux quatre coins de la pièce, elle avait une voix si triste.

Je continue à chercher et je le trouve enfin, j'exprime ma joie, Makoto me regarde confuse, je m'avance et lui montre, c'était un journal qui devait avoir cinquante ans, il y avait inscrit un nombre de morts, soixante-dix cadavres enterrés, leurs âges était entre vingt-quatre et trente ans. Ils étaient morts tous de la même façon empoisonnés avec un ruban vert et blanc aux deux poignets, puis je lui montre un autre journal celui-ci était vieux de cent vingt ans, on pouvait remarquer le mot mort empoisonnés avec des rubans vert et blanc aux deux poignets. Makoto avait tout de suite compris et exprime aussitôt son enthousiasme.

- c'est un démon qui a fait ça.

- oui, car il y a cent cinq ans, un homme nommé Eliote Bring a été arrêté, pour avoir empoisonné des personnes âgées de vingt-quatre ans et trente ans.

On déambule dans les ruelles en espérant tomber sur cette Eliote, mais rien à faire impossible de le trouver, on décide de se poser dans un petit café pas très loin, Makoto ce mis à me poser quelques questions.

- est-ce que tu as des moyens spécifiques pour trouver un démon ?

- non, aucune

- comment on s'y prend alors ?

- un démon à une particularité, leurs yeux deviennent rouges et leur voix une peu plus grave.

- d'accord et ton arme, il peut les détecter ou les faire apparaître ?

- aucun des deux, quand un démon approche des marques jaunes, n'apparais, aussi une fois que cette arme trouve un propriétaire, plus personne ne peut tirer avec, il devient tellement lourd qu'il est impossible de le décrocher du sol, par contre quand c'est un démon, il peut le brûler cela dépend.

- c'est vraiment compliqué si tu as un problème, je ne pourrai pas l'utiliser.

- exactement, c'est un peu comme jouer aux cartes, mais qu'on savait déjà le score final, enfin, c'est ce que je pense.

- c'est une façon de voir les choses un peu bizarres.

Je souris légèrement puis je me lève de ma chaise et part, Makoto me suis derrière, on continue pendant un moment, Makoto m'agrippe le gilet, elle disait que c'était pour se sentir rassurée, car elle n'a jamais vraiment était confrontée des êtres surnaturels.

Nous voilà devant une pharmacie, elles se demandaient pourquoi nous allions à l'intérieur, je lui ai répondu que le meurtrier était peut-être un médecin, comme ça, il pourrait donner du poison à c'est victime plus facilement sans que personne ne s'en aperçoive. Nous voilà maintenant à l'intérieur, un homme étions au comptoir, il devait mesurer 1m75 pour 68 kilos, son âge était sûrement de 40 ans. L'homme lève légèrement la tête puis écarquille les yeux et ces derniers, dus à la peur, ont changé de couleur, car oui, il avait bien senti le danger arrivé. Je sors mon gun et accourt vers lui, met par malchance, il jeta des cartons du magasin ce qui me freina, Makoto quand t'a elle, c'est mis à courir, en la voyant, je ne pouvais m'empêcher de la comparer à un guépard, elle était si rapide que ça en était presque inhumain. Je les poursuis avec mon gun dans les mains, en chemin Makoto me téléphone.

- je suis derrière le démon, on approche de la place.

- Makoto, quelle heure il est ?

- quoi ?

- réponds !

- il est 16 h 59.

- c'est parfait.

Je continue à courir en direction de la place, par un incroyable destin il était presque dix-sept heures, ce qui veut dire que de nombreuses personnes déambulerons dans les rues, le pharmacien était arrivée à la place, il pensait pouvoir nous semer mais le destin fait bien les choses, une horde de personnes surgissent de partout, ce qui le bouscule et le fi tomber au sol.

La foule cacher la créature qu'il était devenue, Makoto lui saute dessus en essayant de l'immobiliser, mais rien à faire, il était bien plus fort, il l'éjecte si facilement qu'on aurait cru à une vulgaire feuille jeter. Makoto ce relève avec une rage de vaincre, elle continue de le bloquer et sans surprise rien à affaire elle était bien trop faible, mais elle ne se laisse pas décourager et continue, son corps était couvert de bleu et hématomes, vous me demandais pourquoi personne ne réagit, car c'est comme ça dans cette ville, les humain ne souhaite rien changer juste rester dans le passé et pour cela, ils n'aideront pas, juste ils ignoreront car ils on voulut ce mode de vie. Je suis arrivée à la place car je ne suis pas aussi rapide que ce guépard humain, mais je pouvais très bien le voir ce monstre qui a perdu toute humanité, Makoto était presque inconsciente, je m'approche d'elle puis lui fit une tape sur la tête avec un sourire, elle s'arrête et me regarde avancer vers le meurtrier, je le regarde allongé, fatiguée de s'être débattu, je lui demande son nom, il me disait qu'il s'appelait Eliote Bring.

En ajoutant que je pouvais crever et que c'était bien lui qui avait tué toutes, c'est personne, je lui tire dessus et il part en fumée sous aucun regard, juste sa folie pour l'accompagner. Je me dirige maintenant vers ce que je pouvais considérer comme mon amie, elle était au sol personne pour la secourir, juste moi une personne que l'on qualifiera pas d'humains aux yeux des gens, je la porte sur mon dos, c'était la première fois qu'une autre personne était portée ainsi car il y avait toujours quelqu'un, cette personne s'inquiète sûrement pour moi, je l'appelle et lui raconte tout pour le rassurer et je rentre chez moi car grâce à toi Makoto, j'ai pu l'éliminer sans aucune victime, maintenant repose toi tu la bien mérité et demain le ciel sera plus calme que aujourd'hui. J'étais rentrée. Je  regarde le canapé, il était déjà occupé du coup, je l'emmène à l'étage puis je la pose dans une chambre, je m'assois sur une chaise puis je m'endors doucement.