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Chapitre 10- Recherche d'aventure

Nous voilà dans les rues sans réel but, à nous ennuyer tous les deux, en espérant trouver un peu d'occupation, on se rend au commissariat, une fois à l'entrée le clébard rentre la première puis je la suis juste derrière. Des discussions en tout genre pouvait ce faire entendre mais au moment où nos bruits de pas ce fit entendre, tout les policiers ce tu, nous regardant ou éviter notre regard, jiyu qui était en face de moi sort son téléphone et ce mis à jouer faut dire que c'est un passe temps très régulier chez elle, les couloirs étaient très silencieux pour ce genre d'endroit car même des personnes arrêtées ne parlent plus. On était devant une porte, il y avait une plaque écrit salle des archives 002, j'ouvre la porte, cette pièce regroupée plusieurs affaires classées sans suite ou de vielles enquêtes qui datait d'environ plus de cent ans, qu'ils avaient stockées dans cette pièce, car personne ne souhaitait les brûler. Nous voilà maintenant en train de fouillés dans des vieux carton plein de poussière et classées secret défense, juste parce que les employés ont la flemme de nettoyer cette pièce, cette endroit est complètement délaissé par le commissariat, je sors plein de dossier en proposant divers enquêtes, " meurtre, tueur en série, cannibalisme, kidnapping ect" mais bon rien ne nous tapée dans l'œil mais suite à c'est recherche sans aucunes motivation nous voilà devant un carton avec une étiquette affaires sans suite , on l'ouvre comme des enfants déballant leur cadeau, plein de papiers étaient regroupés et comme par hasard illisibles, du à l'humidité de la pièce. On était dégoûtée et nous voilà partis du commissariat,toujours à marcher dans les rues que soudain un bruit sourd se fit entendre, on court vers la direction du bruit, ce n'était que des poubelles qui étaient tombés avec des chats mangeant les restes par terre, jiyu s'écroule au sol en lâchant un énorme soupir.

-Je me fais chier...

-Moi aussi, je m'assois par terre faut qu'on trouve un moyen de nous occuper, mais bon, sans psychopathe ou tueur en série, on n'a pas grand-chose à faire.

-Ouais, elle s'allongeait et regardait le ciel si j'avais su, j'aurais pris mon livre avec moi. Dit elle d'une voix monotone

--Tu as raison, ça m'étonne que tu ne l'ai toujours pas lâché. Dis-je d'une voix taquin

-Oh la ferme, dit celui qui veut se taper une meuf qui ne connaît même pas.

- Hey ! Je la bouscule bon, on repart en essayant de s'occuper.

-D'accord.

Je l'aide à ce relevé et nous voilà repartis, quelques kilomètres plus loin, un marché y était animée, je me dépêche d'y jeter un œil, mais comme à notre habitude quand le clébard se fit voir, un silence apparaît et de la crainte ce manifeste dans le regard de nombreuses personnes ainsi que des chuchotements très désagréables.

Ma journée est gâchée.

Si j'avais su, je ne serais pas venue.

Les enfants ont participé.

Maman regarde, c'est la fille méchante.

C'est la Ghost rider !

C'est un monstre.

La Del rey est la regarde discrètement

Comment ose t-elle, se montrer.

Sale monstre

Disparais.

Tu devrais mourir.

Crève

Meurs.

Tout ça, c'est de ta faute

Tu n'aurais jamais dû venir au monde.

Tout, cette phrase résonner dans nos têtes depuis qu'on est petit, ça faisait partie de notre vie, ce qui me donne envie de leur renvoyer leurs mauvaises humeurs, je m'arrête de marcher, lève ma tête et souris tout en les regardant du coin de l'œil.

-Un conseil, essayez d'être discret, car vous polluez notre belle journée avec vos phrases ridicules, qui sont dignes d'enfants de six ans.

Les personnes du marché stupéfié de ma réaction étaient bouche bée et d'autres énervés en nous demandant de partir. Ce que nous nous apprêtons à faire aussi tôt étant donné leur super bonne humeur, sans le vouloir nous avons quitté les limite de la ville a l'Est quelques heures plus loin, on était devants une grille en métal qui s'étant à des kilomètres à la ronde, la fille au cheveux noir, longue le long de cette grillage, je la suis puis cinq petits minutes plus tard, elle s'arrête, devant nous de grande poutres en bois relié une vielle pancarte,Les bras croisés, elle regarde le vieux morceaux de bois,il y avait des inscriptions dessus qu'y étaient là plupart effacer et illisibles, la fille au cheveux noir regarde un moment l'entrée de ce qu'y semblent être une propriété privée et entre, pour ma part, il m'était interdit d'y pénétrer sous peine de me faire tuer car cette endroit avait c'est propre règles à respecter, ce qu'y me déplaît fortement, j'aimerais y entrer comme bon me semble mais faudra que je mis fasse. J'étais assis par terre sur de l'herbe desséché appuyer contre l'une de ces poutres en bois, j'attendais depuis maintenant trente minutes puis j'entends des bruits de pas qu'y ce faisait entendre grâce au silence de ce lieux, je me retourne et l'aperçoit à nouveau c'était le clébard, une fois arrivée à quelques mètres devant moi, je me redresse puis nous partons, je lui demande se qu'elle était parti faire puis cette dernière me répond d'une voix terne et glacial, je lui caresse les cheveux, ce qu'y l'énerve et ce met à grogner légèrement. Des heures passe, le temps de traverser toute la Ville pour pouvoir rentrer chez nous, on était maintenant devant l'entrée de chez nous, cette fois Makoto était devant, comme si elle nous attendait, la fille aux cheveux gris nous voyait de loin puis court dans notre direction comme si elle avait quelque chose d'important à nous dire. Elle s'arrête et nous montre un papier, on la regarde sans vraiment comprendre.

-C'est quoi, ce papier ? Lui demandais-je

-Bah, ce sont les papiers de ma maison dite elle en approchant le papier de mon visage, j'ai enfin pu la vendre.

Elle me donne le document, jiyu et moi, nous jetons un coup d'œil, il y avait beaucoup de pages, que j'essaie de comprendre puis nous voilà devant la page, qu'y indique le montant de la maison vendue.

-Je n'ai jamais vu autant de zéro aligné ! Dit jiyu étonné

-Tu es en train de nous dire que tu es riche Je n'en revenais pas.

- Exactement. Elle avait une allure fière par contre , on va garder cet argent en cas d'extrême nécessité.

-Bonne idée. Dit je avec les gros yeux

Je lui rends le document et part le ranger dans la maison, on était tous les trois à l'intérieur, elle nous demandait où on était et je lui raconte ce qu'il s'est passé, puis elle nous regarde et tape des mains.

- J'avais oublié, en allant à la banque, pour pouvoir vendre ma maison, j'ai entendu un homme dire avec une grosse voix effrayante, je vais me venger de toi et toute ta famille et après quand je suis parti regarder d'où ça venait, il n'y avait personne, juste un homme qu'y s'était fait dessus.

Jiyu revient après quelques heures, elle nous prend part le bras et nous emmène dehors.

-Makoto, il était où la personne qui y avait fait dessus ?

 -Prêt de la poste pourquoi ?

-Ok, avec un peu de chance, il est tellement traumatisé qu'il y est encore.

 -Je suis obligé de venir ? Lui demandais-je

- Oui. Me répond t'elle

Nous voilà arrivés devant la poste qu'y étaient juste à côté de la banque, la fille aux cheveux gris marche quelques mètres plus et la personne en question était toujours là le pantalon tremper, c'était un homme plutôt jeune, qu'y était littéralement en position latérale de sécurités, Jiyu s'avance.

-Bonjour monsieur, vous allez bien ?

-Non, je suis mort. Lui répond d'une voix tremblante.

-Vous semblez en forme portante. Ne sachant pas quoi dire

-Vous ne comprenez pas ! Je suis mort de honte. Il se met à pleurer.

-Ce n'est pas grave si vous vous êtes fait dessus. Lui dit Makoto

-Ne prononcez pas ces mots, je me sens assez humiliée.

 -Oui, c'est sûr, vu la situation. Lui dis-je, d'une voix moqueuse

-On peut vous aider, si vous voulez ? Demande Jiyu

-Aidez-moi à retrouver ma dignité. Dit l'homme en se relevant

-D'accord, mais expliquez-nous ce qu'il s'est passé avant. Dit Makoto d'une voix interrogative

-Vous êtes de la police ? Nous demande-t-il perplexe ?

-Oui, tout à fait, on est en formation depuis deux mois. J'affiche un grand sourire.

-Vous n'êtes pas un peu jeunes ? Il semblait méfiant.

-Absolument pas sinon je n'aurais pas, une arme sur moi. Le clébard, lui montre son arme.

L'homme nous ramène chez lui, ils nous installent au salon, on le regarde, en se demandant ce qu'il allait nous raconter. Il s'assoit puis bois un verre d'eau, aucun mot ne sors de nos bouches, nous attendons ce qu'il c'était passé entre cet inconnu et l'homme mystérieux, notre client ce lève et fait quelques pas dans la pièce tout en ce rongent les ongles puis marmonne quelques mots avant de ce rasseoir, il frotte c'est main contre son pantalon et ce bascule en même temps, on voyaient très bien qu'il était stressée et à la fois effrayé.

-Monsieur, si vous vous sentez mal, vous n'êtes pas obligé de nous raconter. Jiyu avait une voix calme et rassurante.

-Non, tourne sa tête de droite à gauche, il faut vraiment que j'en parle. Son ton était trouble sinon je risque d'y passer, il commence à se balancer tout ça pour quelque chose que je n'ai pas commis.

-Qu'est-ce que vous n'avez pas commis ? Dit elle d'un ton limite professionnel

L'homme ce lève et sort de la pièce, des bruits de meubles ce fait entendre ainsi que de porte et de clé, il revient avec une lourde coffre en bois qu'y étaient extrêmement bien conservé et était visiblement vieille, je me lève pour aider l'homme a levée la coffre sur la table, un gros bruit résonne dû au poids de celle-ci, je m'assois à nouveau et lui aussi, on regarde ce grand coffre puis nous tournons nos tête vers l'homme de plus en plus paniquer.