L'homme reste figé devant son coffre en bois, le regard vide comme s'il était plongé dans ces pensées, cela dure un petit moment, Jiyu l'interpelle et le monsieur sursaute, c'était une réaction pour le moins légèrement étrange, cela pourrait nous faire penser que quelque chose d'anormal s'y trouve à l'intérieur. Il se redresse et hésite encore, marche quelques minutes en se rongeant les ongles et s'arrête, l'homme ce mis à prendre une grande inspiration puis s'approche du coffre, c'est quelques secondes nous semblent long, que pouvait bien contenir l'intérieur du coffre en bois, c'est ce que nous allons découvrir au moment où il l'ouvre brutalement. Nous voici sans voix à l'intérieur au fond ce présenté une vulgaire bague, nous voilà tous les trois à regarder un simple anneaux en fer sans aucune valeur et tout ça pour un homme qu'y étaient paniquer à l'idée de l'ouvrir, cette tension et ce suspens pour rien, la pensée qu'y me traverser au moment du fiasco était de partir mais j'espérais en dirigent mon regard vers le clébard, un visage plus enthousiaste mais par évidence c'était absolument l'exacte opposer, son regard afficher très clairement, que de nombreuses insultes avaient été pensé au moment de la Découverte.
- Vous nous avez fait attendre, pour une bague de pacotille !? Makoto découragé
- attendez, ce n'est pas une bague comme les autres. L'homme paniqué en levant les bras pour nous arrêtaient cet objet renferme une âme. Le monsieur avait le visage angoissé.
- Vous vouliez dire... Makoto le regard intrigué, comme le génie de la lampe dans l'histoire d'Aladin ? Elle semblait confuse.
- Pas exactement, asseyez vous l'homme nous fait signe de se rasseoir, je vais vous expliquer. Il nous regarde droit dans les yeux, cette objet appartenait à mon ancêtres, il y a deux cent quarante trois ans à cette époque de nombreux mariages étaient souvent arranger par les parents pour le profit des terres ou autres richesses exploitables, bien sûr vous vous en doutaient, mon ancêtre prénommé Boyve devait aussi avoir un mariage arrangé, c'était avec une jeune fille qu'y ce nommé Piring. Leurs parents se rendaient souvent visite en ayant la forte attention que cela rapproche leurs enfants et ainsi éprouvés tous les deux, des sentiments, en effet les jeunes personnes étaient très proches, mais hélas leurs sentiments été réciproque, Piring n'éprouvait aucun sentiment juste de l'amitié envers son ami le plus précieux. L'homme s'arrête un petit instant, un jour, les parents de Boyve décide de l'informer pour son futur mariage, il était comblé de joie comme s'y un rêve venait d'être réalisé, mais le jour fatidique arrive, c'était un jour où elle apprit qu'elle devait ce marié avec son ami. La jeune fille refusa en disant aimée quelqu'un d'autre sauf que personne n'y prêta attention puis le jour de son mariage, elle ne se présenta pas devant l'autel, car ce jour-là, elle s'enfuit avec la personne quel aimé. Il arrête de parler, prenant à nouveau son verre dans la main puis prend une gorgée, il baisse la tête et se frotte légèrement les yeux.
- Vous vous sentez bien ? Lui demande légèrement inquiet.
- Oui oui, je vais bien. Il remonte la tête en frottant à nouveau ses mains sur son pantalon.
- Dites nous, cette histoire ne sais pas terminée aussi bien, je me trompe ? Jiyu d'une voix neutre et calme
- Vous avez raison, il regarde son verre.
- Dites nous ce qu'il s'est passé, après le mariage ? Jiyu fortement intrigué
- Piring vivait avec la personne qu'elle aimait mais mon ancêtre Boyve, s'était remarier et du à cet union sans amour, il ce mis à boire, parié de l'argent et tourner dans des affaires illégal enfin c'est ce qu'on dit il regarde la bague, un jour, il décida d'aller voir une sorte de chaman pour jetté une malédiction sur la pauvre jeune fille, l'empêchant d'avoir une progéniture et par malheur ça à fonctionner, Boyve après cette événement n'était toujours pas satisfait du coup, il est parti prendre une hache et est allé la tuer. Il redresse la tête , avant de donner son dernier souffle Piring maudit toute la descendance de l'homme qu'y l'avais assassiné et d'après les rumeurs de ma famille son l'âme de cette même femme serait enfermé dans la bague, il sort la bague du coffre et la pause sur la table, vous avez tous maintenant.
Mon regard était figé sur l'ancien anneau de fer qu'y était s'y fine et petite, je me demandais ce qu'il se passerait s'y nous mettons la bague à notre doigt, serions nous posséder ou alors nous mouron, je n'eu pas le temps de poser la question à l'homme que le clébard se lève et part de cette maison, Makoto et moi, la suivons rapidement, qu'on fini par la rattraper quelques mètres plus loin. Je lui tire le bras droit pour l'arrêter, elle s'arrête et ce mis à réfléchir aussi tôt, je la regarde puis elle fait quelques ronde et ce stop à nouveau, elle se tourne vers moi puis laisse échapper un soupir de déceptions.
- Le clébard, qu'est ce qu'il y a ? Je penche la tête, inquiet.
- Quelle histoire de merde, putain. jiyu énervée. Je vais voir Kris, vous restez prêt de l'homme. Elle nous pointe du doigt, essayaient de pauser des questions sur la bague. Le clébard s'en va.
- Bon bah plus qu'à revenir voir le monsieur, Makoto fait demi-tour, j'espère juste qu'il la pas mal pris. Elle était stressée.
Makoto et moi partons voir l'homme, la fille aux cheveux gris toque à sa porte puis il l'ouvre, on s'excuse d'être partie sans prévenir, mais il n'était pas en colère et nous fit entrer, cette fois, nous étions debout, la caisse en bois n'était plus sur la table, elle était rangée.
- Excusé nous. Makoto était nerveuse, est-ce qu'on peut vous poser quelques petites questions sur la bague ? Elle essaie d'éviter son regard, toujours gênée d'être partie de la maison brusquement.
- Oui, bien sûr, ne soyez pas aussi stressée, il pause sa main sur l'épaule de Makoto pour la rassurer, je vous écoute.
- Cette bague, si on l'a porté à notre doigt, est-ce qu'elle peut nous posséder ?
- Forte heureuse non, il pause sa main sur son torse, quand j'étais petit, je l'avais mis et je n'étais en aucun cas posséder part une sorte d'esprit maléfique. L'homme soulagé
- Vous nous avez dites, que cette Piring avait jeté une malédiction. J'étais curieux.
- C'est vrai, j'avais oublié, la malédiction de ma famille est très simple, à chaque fois, cela varie, il pose sa main sur son menton, les femmes peuvent faire des fausses-couches et ils nous arrivent de frôler la mort.
- Frôlez la mort ? Vous pouvez détailler ? Lui répond dît je, encore plus intrigué.
- Imaginons que je me promène dans la rue et que je passe devant une enseigne, s'y ce dernier à un panneau, il peut tomber et me couper la tête. L'homme était un peu stressé.
- Oh la vache, c'est violent quand même ! Makoto les yeux écarquillés
- Je vois, ça risque d'être compliqué pour vous aider, sachant qu'il n'y a pas d'esprit pour vous posséder. Je réfléchis un moment donné moi votre bague s'il vous plaît. Je t'en la main vers lui
- Tout de suite, attendez un instant.
Il parle de chercher la bague puis revient rapidement, il me l'a donné et je lui prends, je l'examine en la tournant légèrement, une inscription y était inscrit. Abortu Mortu, je sors mon téléphone pour essayer de traduire, c'était des inscriptions Corse, les mots signifiaient Avortement et Mort. Je la regarde à nouveau, je serrais l'objet fortement dans ma main puis je demande à nouveau à l'homme s'y cette fois il avait un marteau, il me regarde surpris et part me ramener l'objet en question, une fois revenu, il me le t'en, je pose la bague au sol et donne de puissant coup, la bague ce brise mais soudain une lueur sort de cette dernière, nous voilà projeté contre les meubles et mur de la maison, j'ouvre difficilement les yeux et je vis une femme d'une vingtaine d'années.La femme regarde les alentours de la pièce, s'avance vers l'homme et le regarde, leurs regards ce croise cela dure à peine cinq seconde mais pour nous ça avait duré des heures, une goutte de sueur froid coule le long de ma joue, jusqu'à mon menton, je ravalé ma salive les yeux rivés sur cette femme qu'y portait de vieux vêtements qu'y ne datent plus de notre époque, la dame prononce des phrases que je ne comprenais pas, c'était certainement la langue Corse après avoir prononcé ces phrases, sa tête fit un trois cent soixante degré, elle nous regarde avec des yeux rouges et un immense sourire qu'y remonter jusqu'au oreilles puis elle disparu dans une tempête qu'y créa une traînée de sable dans toute la pièce. Je toussé du à la poussière accumulé tout en essayant de dispersés la fumée avec ma main gauche, je me lève voir l'homme, il était assis contre un mur le visage figé par la peur, aucune respiration n'émane de sa bouche, je pose deux doigts sur son cou, son pou n'était plus présent, je met ma tête contre son cœur au cas où s'y je mis prenait mal mais malheureusement, il s'était bien arrêté de battre, je sent une main sur mon épaule gauche, c'était Makoto, quelques mots pu sortir de sa bouche.
- Il est, Makoto avait du mal à prononcer des mots, mort ?
- Oui, je me lève, il a dû avoir une crise cardiaque due à la vision de cette femme. Ma voix était glacial, je vais appeler une ambulance.
Je récupère mon téléphone au sol, je tape le numéro des pompiers, mais la fille aux cheveux gris reste assise à observer le cadavre de l'homme. Les pompiers sont arrivés ramenant l'homme un l'intérieur du camion, Makoto reste toujours sans voix, j'envoie un message à Jiyu en espérant qu'elle me réponde vite, je lui attrapais par le bras, pour qu'elle puisse prendre l'air, une voix dehors elle s'était accroupi les mains devant le visage, elle prenait de longues inspirations.
- Tu te sens comment ? Je regarde autour, en espérant qu'il n'y ait aucun ennemi potentiel.
- Sérieuse, elle respire à nouveau, c'était quoi cette femme super flippante. Makoto avait un ton plus énergique.
- Pardon ? J'étais surpris de sa réponse.
- Il faut vraiment que Jiyu viennent, parce que là, ce n'est pas possible. Makoto se relève.
- Je pensais que tu étais plus choquée par le cadavre de l'homme ?
- Oh non, non non, lui je m'en fiche qu'il soit mort, je ne le connaissais pas, du coup, je m'en fous, mais l'autre femme ne s'était pas une frappe atomique. Elle me pointe la direction où le démon était parti.
- D'accord, j'étais vraiment étonné, on attend le clébard ici.
- D'accord. Makoto fait un sourire.
Nous étions tous les deux devant la maison à moitié détruire pour s'occuper, nous décidons de faire un mort pion, je regrette d'avoir proposé ce jeu car perdre plusieurs fois d'affilée ce n'est pas amusant du tout, cela fait maintenant une heure que j'enchaîne les défaites quand des bruits de pas s'entendit, on tourne nos têtes, elle était enfin là, ce clébard.
- Pourquoi, la maison est détruite comme s'y, il y avait eu une tempête. Jiyu, pointe la maison du doigt
- Alors en théorie oui et non, comment t'expliquer. Je gratte ma tête.
Elle nous regarde sans rien comprendre, je lui fais signe de s'asseoir en lui expliquant tout ce qu'il s'était passé, depuis qu'elle était partie, une fois lui avoir expliqué la situation soudainement elle se lève.
- Vous êtes complètement con ! Jiyu énervée, ressemblait un à un chien enragé, qu'on pouvait imaginer des oreilles de loup sur la tête.
- Pourquoi, moi aussi, je suis con ? Makoto levant la main
- Parce que tu étais avec lui, t'aurais dû l'en empêcher. Elle nous pointe du doigt.
- Ce n'est pas s'y terrible. J'essayais d'étendre l'atmosphère.
- La ferme, petit con ! Elle était encore plus énervée, tu veux que je te fasse bouffer le sol !? Ou sinon je peux te tirer une balle dans la tête ! Elle sort son guns
- Non, merci, ça va aller. Je m'écarte.
- Oh, putain ce n'est pas possible, elle pose l'une de ses mains sur son front en fessant des rondes, il nous a fait un remake de Blody la Marie, oh le putain de con. Elle s'accroupit à nouveau.
- J'avoue, j'ai légèrement merdé.
- Légèrement ? Je pense que tu as énormément merdé sur le cou. Makoto inquiète
- Bonjour le soutien ça fait plaisir. J'étais vraiment mal de ne pas être un peu soutenue, mais bon vu la situation actuelle, faut vraiment qu'on règle ma bêtise.
- Là, je suis d'accord avec Cipher, Jiyu, tu as une idée ? Makoto se tourne vers jiyu
- Ok, elle s'était calmé par contre, on a un problème, elle pose sa main sur son menton en réfléchissant, déjà qu'on a le mec qu'y, c'est fait dessus est mort alors Blody la Marie, je ne sais même pas comment la trouver, surtout s'y elle devient une tornade vivante, vous avez des idées ? Jiyu nous regarde.
- Honnêtement, j'en sais rien. Makoto avait sa tête penchée, maintenue par sa main droite.
- Je pense que les caméras de surveillance de la ville, peuvent enfin être utiles. Je fixe une caméra.
- D'accord, direction le poste de police.