LE MILITAIRE ET MOI.
ÉPISODE 02
Halimatou : moi ?
Colonel Youssouf avait emmené Halimatou Sadiya dans un bar . Il la force à passer devant lui. Même si elle a peur de lui, elle refuse de mettre un pied dans un lieu Haram.
Colonel Youssouf : Halimatou Sadiya !
Avertit-il calmement tout en bouillonnant de l'intérieur. Il n'avait pas l'habitude qu'on lui tient tête de la sorte, alors sa pression artérielle est au maximum. Si Halimatou savait l'effort qu'il faisait pour écraser sa nature chaude afin de ne pas la buté, elle aurait consenti à tous qu'il exigea.
Halimatou Sadiya se ronge les ongles entre dans le club. Les yeux meurtri de Colonel Youssouf l'ont forcé .
Le bar n'était pas plein. Colonel Youssouf s'assit sur chaise qu'il avait l'habitude de s'asseoir.
Elle n'était pas à l'aise devant ces regards salopards comme s'ils ont vu une viande fraîche.
Colonel Youssouf : dégage de là ! Hors de ma vue . Va-t'asseoir au fond !
Il crache durement à Halimatou Sadiya qui essayait de poser ses fesses dans cet endroit répugnant.
Les larmes inondent aussi vite son beau visage. Elle l'avait regardé avec insistance puis parti s'asseoir au fond.
Ils étaient face à face.
Un ivrogne est venu s'asseoir à côté d'elle. Elle recule un peu de lui dégoutée.
—Salut poupée ,t' es seule ?
Elle a regardé Colonel Youssouf puis dit ;
Halimatou : oui .
—et cet homme que vous êtes venu ensemble ? Tu le connais pas alors ?
Malti : oui.
—cool. Tu es très belle , tu bois quelque chose c'est moi qui paie ?
Halimatou : non .
Elle parlait à cet homme, elle était concentrée sur la table de son compagnon de route. Jusqu'à présent il n'a rien commandé. Lui, regardait l'ivrogne à côté d'elle.
Malgré son refus, l'homme commande deux bières .
—qu'est-ce qu'une belle jeune fille comme toi fait ici ?
Halimatou : je me suis enfuie de chez moi.
—cool meuf , je peux te donné un logement tu sais .
Le serveur dépose les deux bières et s'en va.
Halimatou n'y répond pas ,tellement que le mec la répugne et Colonel Youssouf ne la regarde plus, il est concentré sur son téléphone . Peut-être elle peut utiliser ce connard pour quitter ce lieu sans que son compagnon de route ne s'en aperçoive !
—tu ne bois pas ?
Halimatou : non ça ira .
—alors tu veux que je te montre chez moi ?
Halimatou : oui, nous pouvons sortir par derrière .
—comme tu veux poupée .
Une fois qu'ils sont sortis par derrière, le gars prends sa main et la colle au mur lui faisant des clôtures de ses bras.
Halimatou angoissée : si tu ne te dégage pas de moi, j'allarmerai les gens du bar. Ils te frapperont si fort que tu déssouleras sur le champ.
—haahaaa. Tu es à moi maintenant personne ne peut te sauver. Si tu n'es pas prête à affronter la réalité pourquoi quitter tes parents ?
Halimatou crie : au secours , s'il vous plaît aidez-moi ! Aidez-moi !
Elle essaie de fuir le salaud la tient fort ensuitz colle son corps à celui de Halimatou Sadiya.
—personne ne peut t'entendre ici, tu vois pas que c'est désert et le bar est bruyant !
Il embrasse Malti de force, passant sa main dans sa cullote
—putain ! T'es vierge ! Je vais bien manger.
Halimatou versait de larme de regret, abandonnant tout combat.
Cet homme, Colonel Youssouf ,qui est censé l'aider l'avait piégé. Elle est triste et meurtri.
Il baisse la culotte de Halimatou ainsi que son pantalon.
Elle détourne son regard ailleurs les larmes ne cesse de lui couler.
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