Triggers:
Humiliation
Manipulation
Violences sexuelles
- J-je suis prête… maîtresse Rose. murmura la petite voix derrière la porte.
Maîtresse Rose. Ces mots, venant de la bouche d'une si innocente jeune femme, étaient comme de la poésie à mes oreilles, j'en voulais encore.
- Comment ? Je ne t'ai pas entendue, il faut que tu apprennes à parler plus fort quand tu t'adresses à moi. Comment puis-je savoir que tu ne parles pas dans mon dos quand ta voix est si basse ? Si tu ne prends pas vite une meilleure attitude, je serai obligée de te punir.
- J-je ne parlerais jamais mal de vous… M-maîtresse Rose, puis-je sortir s'il vous plaît ? dit-elle d'une voix à peine plus forte, mais dont l'effort pour la rendre plus audible était visible.
Elle l'a encore dit ! Maîtresse Rose…
- Eh bien, comme tu me le demandes si gentiment, je ne peux tout simplement pas te le refuser. Ce serait bien trop cruel ! Tu peux venir, esclave. Montre-moi ta nouvelle apparence.
Alice s'exécuta sans se faire prier plus longtemps, et ouvrit la porte du vestiaire.
Ce qui était apparu devant mes yeux m'a laissée sans voix.
- B-bien… A-approche. lui dis-je en bégayant
Son corps, qui était jusqu'à présent dissimulé par ses vêtements était à présent complètement à nu. Je pouvais la voir sous tous les angles. Le seul mot qui m'était venu à l'esprit était: Parfaite. Sa peau était pâle mais luisante, elle ne présentait aucune trace de la moindre imperfection. Et les lignes de son corps étaient si bien dessinées et si harmonieuses qu'on aurait pu penser qu'une statue avait pris vie. Elle avait beau ne pas être très grande en taille, ce n'était pas le cas du reste… Ses fesses étaient rondes et fermes, bien mises en valeur par la légère courbure de son dos, et ce dernier était partiellement obscurci par sa chevelure. C'était ce qui maintenait son aura si particulière, celle d'une jeune femme qui cherchait à tout pris à garder sa pudeur, à garder une partie de mystère, à se rendre désirable. Ses yeux n'étaient pas en reste, ils luisaient d'un gris clair qui contrastait bien avec ses cheveux, un gris semblable à un brouillard qui agissait comme une barrière empêchant quiconque de sonder son esprit. Son regard semblait ne se porter nulle part, stagnant dans le vide, latent. Pourtant, de la même manière, il semblait implorer, il voulait qu'on lui porte de l'attention, pour combler le vide qu'il contenait.
Mais mon regard à moi se porta bien plus bas, comme absorbé par ce qui était maintenant une évidence… qu'elle tentait de protéger en vain avec ses bras bien trop petits pour cacher ça.
Sa poitrine, sans aucun doute son plus grand atout. Elle était si… énorme ! Là encore le seul mot qui me venait en tête, mais il résumait très bien la paire d'obus sous mes yeux. Ils étaient d'une telle rondeur… si fermes, et sortant fièrement de sa poitrine tout en étant très bien sculptés. La seule chose qui n'était pas visible, c'était ses tétons, mais je comptais bien régler ce problème.
- Pourrais-tu retirer tes mains de tes si jolis seins, mon chaton ? Je veux pouvoir les admirer en entier ! dis-je sans dissimuler mon regard qui la dévorait.
- C-c'est gênant… rétorqua-t-elle.
- Ce n'est pas mon problème. Aurais-tu oublié que tu étais mon esclave ? Mes mots sont tes ordres, alors tu dois faire tout ce que je te demande. Et de toute façon, ton corps tout entier n'aura bientôt plus aucun secret pour moi. lui dis-je, de plus en plus impatiente.
Elle hésita un instant, comme c'était devenu son habitude, puis finit par laisser tomber ses bras le long de son corps en baissant la tête par la même occasion.
Complètement à découvert, ils étaient encore plus gros que je ne l'avais imaginé, au point que c'en était presque obscène. Et ces tétons, j'aurais pu les regarder pendant des heures. Ils étaient d'un sublime rose pâle, et pointaient en avant comme deux petites aiguilles. Ses auréoles étaient parfaitement circulaires et ni trop grandes ni trop petites. Je n'eus qu'une seule idée en tête, prendre ses seins à pleines mains, même si ils étaient trop grands pour tenir complètement !
Je réprimai cette idée en secouant la tête, j'aurai bientôt l'occasion de le faire, mais le moment n'était pas encore venu, il me fallait faire preuve d'encore un peu de patiente.
Enfin, le clou du spectacle, c'était évidemment son collier. Le seul élément qui faisait qu'Alice n'était techniquement pas complètement nue. Évidemment, le collier ne cachait rien, sa présence était tellement futile, dire qu'elle était habillée avec seulement ça était un sophisme qui éveillait en moi un sentiment indescriptible, un plaisir de l'esprit que je ne pouvais nommer. Et évidemment, la petite plaquette en métal ajoutait la touche finale. Son nom, Alice. Pour un humain, ça n'avait aucun intêret, elle aurait bien pu le donner elle-même si on lui avait demandé. C'était un symbole de soumission, de propriété. Un collier avec son propre nom gravé dessus montrait à quiconque qu'elle n'était plus propriétaire de son corps, qu'elle appartenait à quelqu'un. Et j'étais l'heureuse élue. Cette fille était à moi et rien qu'à moi ! J'étais si heureuse de la voir se tenir là, mon esclave rien qu'à moi, qui m'obéirait au doigt et à l'oeil comme une poupée. Sauf que ce n'était pas une poupée mais bien mieux que ça; un être vivant ! Ça voulait dire qu'elle avait une volonté propre et j'étais bien décidée à la faire mienne.
Oui, sa soumission actuelle n'était pas encore suffisante. Elle était à moi, que ce soit selon ma perception, sur papier, mais aussi selon sa perception à elle. Pourtant, il était évident qu'elle ne le pensait pas complètement. J'en étais certaine, une part d'elle voulait encore garder le contrôle. Elle pensait que son corps m'appartenait, oui, mais que son esprit était encore à elle. Et ça, aucun contrat ou promesse ne pouvait le changer. Le seul moyen pour moi était d'être encore plus intime avec elle, en y allant étape par étape, et ce n'était possible que si elle me laissait faire. Il me fallait son consentement pour rentrer aussi profondément en elle, pour obtenir le contrôle total. Ça prendrait du temps, mais j'étais déterminée. C'était mon plus grand rêve après tout, la posséder totalement et sans réserve, l'ultime extase. Son corps m'appartenait, et bientôt son esprit aussi.
Je finis de faire le tour du propriétaire avant de revenir lui faire face.
- Eh bien, tu as vraiment un corps sans gêne, esclave. Tu as beau essayer de les cacher, tes seins ne peuvent s'empêcher de vouloir s'exhiber. C'en est presque vulgaire… En fait, tu ne chercherais pas à m'aguicher ?! C'était ça ton plan, pas vrai ? Essayer de me séduire pour alléger ton châtiment ne te mènera à rien avec moi, bien au contraire.
- N-non, c'est faux… Je n'ai jamais voulu… tenta-t-elle de protester en vain.
Je m'approchai d'elle et mis ma mai sur son menton. J'approchai ensuite mon visage du sien. Plus près, encore plus près. Son expression était passée de la protestation à la gène, mais ses lèvres se mirent toutes seules en position.
Je l'embrassai, ses lèvres se posèrent contre les miennes. Elles étaient douces, comme j'aurais pu m'en douter. J'insérai ma langue dans sa bouche, cherchant la sienne. Elle tenta de l'éviter, mais sa langue n'avait nulle part ou aller, piégée dans sa bouche que j'avais prise d'assaut. Elle abandonna sa résistance futile et prit part à ce jeu intime.
- Silence, esclave. dis-je en retirant mes lèvres des siennes, puis en essuyant le mélange de nos salives de ma bouche avec le revers de ma main.
- Ne t'avise plus jamais de me contredire, compris ? Puisque ton corps semble le demander avec autant d'aplomb, tu vas expérimenter ta première punition. Mets-toi à quatre pattes sur le fauteuil. lui ordonnai-je en pointant le fauteuil au beau milieu de la pièce. Ce n'étai pas un fauteuil ordinaire à vrai dire, il ressemblait d'avantage à une table d'opération. Il était équipé de tout un tas de fonctionnalités qu'Alice découvrirait très bientôt. Pour l'heure, j'allais lui inculquer le respect par le fouet. Il était grand temps de lui faire passer l'envie de me répondre de nouveau.
Elle s'exécuta et monta à 4 pattes sur le fauteuil, mais toujours avec sa pudeur qui commençait à m'agacer. Sa main s'était logée sur son entre-jambe cette fois, cachant ses parties intimes.
- Non, non, non ! Ça ne va pas du tout ! Une esclave ne peut pas cacher son corps à sa maîtresse. Je dois pouvoir tout voir de toi à tout instant, à quoi bon t'avoir demandé de retirer les vêtements qui te couvraient sinon ? A partir de maintenant, je dois pouvoir voir tes parties intimes tout le temps, si jamais tu te caches de nouveau je devrai te punir très sévèrement, compris ?
- … Oui… Maîtresse. dit-elle lentement en laissant tomber sa main encore plus lentement.
Ses parties génitales étaient maintenant visibles, mais pas encore assez, elle opposait encore de la résistance…
- Comment est-ce que tu penses que je peux voir quoi que ce soir quand tu serres tes cuisses comme ça ? Tu dois les écarter le plus possible ! m'exclamais-je avec entrain.
- O-oui…
Elle écarta donc les jambes avec une telle peine qu'on aurait dit que ça lui faisait un mal physique. Je me décidai donc à l'aider et saisis une cuisse dans chaque main, puis les écartai au maximum.
-Aaah~
Alice poussa un petit cri qu'elle essaya de réprimer sans succès. J'avais à présent une vue imprenable sur son vagin. Sa chatte était d'un rouge presque rose très élégant, et ses lèvres semblaient inviter mes doigts à s'y glisser. Mais ce n'était pas à l'ordre du jour. Je contemplais tout de même cet endroit assez longtemps pour faire ressentir une intense gêne à Alice, et les compliments que je lui fis ensuite sur la beauté de sa chatte l'achevèrent. Je ne sentais plus aucune force dans ses cuisses, elles étaient maintenant sous l'emprise de mes mains, et c'était à moi de décider si je voulais les fermer ou les ouvrir. Mais je les laissai telles qu'elles, et me saisis de ma cravache qui était posée sur une petite table non loin. C'est comme si elle était disposée là pour moi, attendant que je m'en empare. Et c'était le cas en vérité, car c'est moi qui l'avait mise là, mais la pensée que cet instrument ne se trouvait ici que par pur hasard, tel un cadeau divin, me faisait frémir.
Je me mis en position, prête à porter le premier coup.
- Je vais à présent t'administrer ta punition, esclave. Tu devras rester immobile et l'accepter. Je veux également que tu comprennes que c'est pour ton bien que je te punis, afin que tu apprennes à ne plus faire les mêmes erreurs. Compris ?
- Compris, maîtresse. dit-elle sans hésiter.
- Ce sont des choses que toute personne devrait savoir, repris-je, mais je te pardonne, tu n'es qu'une esclave donc les bonnes manières doivent t'être étrangères. Tu dois donc m'être reconnaissante de donner de mon temps pour discipliner la pauvre chose que tu es.
- Oui, maîtresse. Je vous suis… infiniment reconnaissante.
J'étais déjà au bord de l'extase après cette dernière déclaration. Cette preuve de soumission me mît dans un état d'euphorie. Mais j'étais persuadée de pouvoir en tirer encore plus.
- Je veux te l'entendre dire. Je veux que tu me demandes de te punir. Je veux que tu me dises:« Pitié, maîtresse Rose, disciplinez la pauvre chose ignorante que je suis. »
- !
Je sentis un sursaut. Elle ne voulait pas aller aussi bas, à autant se rabaisser. Elle voulait garder le peu de fierté qu'il lui restait. Ce qu'elle ne réalisait pas, c'est qu'elle allait tomber bien, bien plus bas que ça. Mais prononcer cette phrase était déjà une terrible honte pour elle, ça se sentait…
- …
Mais son hésitation prit fin. Très certainement sous l'écrasante force de domination que j'émanais, elle finit par craquer, laissant filer encore un peu de sa dignité.
- P-pi-pitié, maîtresse Rose… disciplinez la pauvre ch… Chose ignorante que je suis.
Elle l'a vraiment dit !
- Excellent ! Je suis fière de toi, ma petite chose. Pour te récompenser, je vais exaucer ton souhait !
Et sur ces mots, je donnai mon premier coup de cravache sur ses fesses, qui semblaient ne vouloir que ça.
- Aaaaah ! s'exclama Alice, une expression de douleur sur son visage.
C'était son premier cri de douleur, et il se grava dans mon esprit. Il était le premier d'une longue série, elle en poussait un nouveau après chaque coup de cravache. J'allais m'assurer que cette punition lui reste en mémoire, je la fouettai donc jusqu'à ce que ses fesses soient rouge vif, mais pas jusqu'à lui laisser de cicatrices. Je ne voulais pas abîmer son joli corps, ça aurait été un sacrilège. Quand ses fesses devenaient trop rouges, je prenais une pause, lui lançai des paroles qui la faisaient tomber encore plus dans la honte, puis recommençai le processus. Alice ne pouvait voir mon visage à ce moment là, mais mon expression était peut-être encore plus honteuse à montrer que la sienne, c'était le visage même du plaisir sadique. Ce petit jeu dura deux bonnes heures.