Chapitre 5

Le jour qu'ils ont d'adopter Brice, a été le beau jour de la vie de Doris. Et ils ont décidé de lui nommer RICHTER Brice. Décider ici, veux dire ils ont été contraints de le nommer ainsi car à chaque fois que Doris proposait un nom qui ne lui plaisait pas, il se mettait à pleurer et à crier. C'était étrange pour un enfant calme comme lui. Mais ils ont dû cédé à ses caprices.

Depuis lors, ils ont vécu ce dernier mois tous ensemble dans le bonheur complet. Tous ensemble, inclus également Alan. Depuis le jour qu'ils ont adopté Brice, Alan n'a plus mis pieds dans son laboratoire. La raison ? Doris ne a connaissait pas mais avait des doutes, d'autant plus qu'il observait Brice constamment le regard qu'il avait lorsqu'il tombait sur un bon sujet de recherche. Le véritable est qu'il consacrait tellement de temps, à l'observation de Brice qui s'en oubliait lui même.

Sa présence ne soulageait guère Doris qui depuis quelques mois qui ne devait plus s'occuper que d'un bébé. Mais de deux. Vraiment Alan n'était pas différent d'un bébé.

Durant ce mois a dû établir un programme pour pouvoir s'occuper d'Alan et Brice et mené à ses cours. Oui l'école avait déjà commencé. La surcharge était trop grande pour un enfant de 12 ans.

Aujourd'hui était le jour où elle faisait les courses. Elle n'avait pas cour aujourd'hui car c'était un Dimanche. elle était à présent dans un un super marché.

POV de Doris

" Hum! des pattes se serait bien d'en faire pendant la semaine. Je pense que c'est le plat préféré d'Alan." Marmonnai je en regardant un paquet de pâtes dans ma main. Je mis le paquet dans le chariot et en pris encore 5 autres sur l'étagère.

Mon chariot était plein. Il y avait des fournitures pour bébé (couche, lait, poudre, huile pour bébé, etc). Il me restait juste pour acheter nos provisions.

C'est depuis ce matin que je fais les courses. Et depuis ce matin j'ai l'impression d'avoir oublié quelque chose mais je ne sais pas quoi.

" Bon tant pis ça ne doit pas être quelque chose d'important . Je jettai cette pensée dans un coin de mon cerveau et je continuai mes courses. Je dirigeai vers les étagères des céréales.

Arrivé devant l'étagère, je pris une boîte de céréales "cette marque de céréales est très bonne pour un petit déjeun-" je m'arrêtai un instant. Quelque chose semblait vouloir s'infiltrer dans mon esprit. Quelques secondes plus tard, je savais ce que j'avais oublié. Puis mon visage pris une expression horrifié. J'arrêtai les manches du Chariot puis je me dirigeai vers la caisse afin de régler la note.

Quelques minutes je sorti du magasin comme un éclair. "merde merde merde Merde MErde MERDE. Marmonnai je de frustration. J'avais oublié de donner à manger à Alan et Brice. J'étais vraiment inquiet pour Alan et la sécurité de l'enfant.

Alan devenait comme fou lorsqu'il avait faim. Et si quelque chose l'intéressait il l'etudiait.

Le problème n'était pas que je n'avais pas fait de nourriture c'est que je ne l'avais pas déposer où Alan aimait manger. Et si c'était pas là-bas il ne se servirait pas lui-même.

Quant à l'enfant il pouvait faire une semaine sans manger, mais je m'assurait toujours qu'il mange au moins trois fois par jour. le véritable problème était Alan.

Alors que je réfléchissais, j'étais déjà arrivé au complexe de recherche. Je descendis de la voiture et je me rendis à toute vitesse à l'appartement.

Quelques minutes plus tard, j'étais devant la porte de l'appartement. Je n'enttendis aucun rire maniac et aucun bébé entrain de pleurer. Que je crus qu'il avait déjà fini avec l'enfant. Mon corps tomba dans une obscurité de pur ténèbres.

Je tentai d'ouvrir la porte, mais c'était très difficile car ma main tremblait. Après quelques secondes je réussis à ouvrir la porte jusqu'à entrer. Une à l'intérieur, j'empruntait le couloir qui menait jusqu'au salon. A chaque fois que je m'en approchait, mon cœur battait énormément vite. Il battait si vite que je commençais à ressentir un malaise. Ma tête faisait tellement Mal à force de penser que cela aurait été différents si je n'avais pas oublié.

Arrivé au salon je vis une scène qui me fis écarquillés les yeux et tombé ma mâchoire au sol. À genoux devant son ugoshi, Alan dégustait ses pattes comme un délice. Et l'enfant était entrain de jouer à côté de lui avec un biberon de lait à moitié vide dans les mains.

Je m'approchai d'Alan puis lui dis-je avec un sourire sur le visage " yo tonton je vois que l'arrivée de l'enfant t'a transformé en adulte."

En attendant ma question, il reporta son attention sur moi et me regarda avec un point d'interrogation sur la tête. Me regardant il remarqua où allait mon regard et se mis à sourire.

Voyant son sourire j'eus cru qu'il se sentait heureux d'avoir fait quelque chose de bien pour une fois.

Après avoir souris pendant un moment, il devint sérieux comme s'il n'avait jamais souris au par avant et il parla "ce n'est pas moi c'est lui." Il pointa vers Brice.

"Tonton je ne te savais pas autant blagueur." Lui ai-je dis en considérant que ce qu'il venait de dire était une blague.

Alan ne parla pas, au contraire il sortit son ordinateur portable et le plaça sur la petite table (ugoshi). Puis il l'alluma. Quelques secondes plus tard, il ouvrit un fichier vidéo dans son bureau de travail. La vidéo qui commença à jouer montra une pièce vu d'un certain point. l'endroit où devait se trouver caméra ayant fait la vidéo était à l'une des intersections de deux murs en haut.

Je regardai bien le vidéo pour constater qu'il s'agissait de notre salon.

J'étais indigné, il y avait une caméra dans notre salon et je ne l'ai pas remarqué. "Tonton quand as-tu installé une caméra ?" Lui ai-je demandé.

"ssshhh" il m'a exhorté a me taire."Regarde juste" ce que je fis.

La vidéo a joué, et je me suis vu entrain de préparer le petit déjeuner pendant que Brice jouait avec son petit jouet, et Alan observait ce dernier. Puis je suis vis me diriger vers le couloir menant à la chambre et les deux autres faisaient ce qu'ils faisaient toujours. Plusieurs minutes après, je me suis vu sortir du couloir et je me dirigeai vers la porte et je suis sortie. Pendant les instant qui suivaient, rien de notables ne s'est passé.

La vidéo a continué ainsi jusqu'à ce que sur la vidéo s'affiche 8:00, l'heure du petit déjeuner. Alan comme à son habitude allait se mettre à genoux devant son ugoshi et Brice continua à jouer. Plusieurs minutes après le plat d'Alan ne vint pas, il se mis à gesticuler dans tous les sens. Après 20 minutes il se leva et commença à faire les 100 pas. Brice qui était jusqu'à lors concentrer sur ses jouets, regarda Alan dans son délire puis regarda ugoshi. Puis, ce que je vis, m'horifia. Brice s'était levé et était parti chercher le plat d'Alan sur la table de la salle à manger. Et pour y arriver il avait empiler des jouets de forme cubique pour que cela forme un escalier jusqu'à atteindre sa taille puis alla chercher des tabourets de différentes hauteurs dont le plus petit était légèrement plus grand que l'escalier. Il plaça les tabourets devant l'escalier de manière qu'ils le complète. Quelques minutes plus tard l'escalier était achevé. D'un autre côté de la table, il empiler plusieurs coussin de manière à en faire une montagne. Il s'agissait des coussins les plus résistant et les plus douce de la maison. Dès qu'il ait fini Brice grimpa à son escalier et arriva au sommet de la table.

Sur la table il y avait une assiette fermé fait avec matière spécial. L'assiette était incassable. C'était dans cette assiette qu'il y avait le petit déjeuner d'Alan. À côté de l'assiette il y avait un biberon dans lequel il y avait du lait.

l'enfant se dirigea vers le biberon, il le fit renverser puis plaça dans une position dont il pouvait boire et le bu. Après quelques gorgées, il fit rouler biberon sur la table et le biberon tomba au sol mais ne se cassa pas. Puis il se dirigea vers l'assiette et le poussa pour qu'il tombe au sol mais ne se cassa pas. Une fois cela fait, il alla se placer à un bout de la table et se laissa tomber.

Voyant cette scène j'ai fermé les yeux, les battements de mon cœur acceleraient déjà. Mais lorsque je me rappelais que Brice était juste à côté de nous à cet instant, j'ouvris lentement les yeux pour voir le Brice de la vidéo sur la pile des coussins. Et c'est alors que je compris pourquoi il avait placé des coussins là. Il avait tout anticipé.

Brice descendis des coussins et se dirigea vers l'assiette d'Alan. Il la poussa vers l'ugoshi. arrivé à côté de l'ugoshi, il le tapota légèrement ce qui produisit un léger son qui attira l'attention d'Alan qui était toujours entrain de faire les 100 pas. Alan remarqua l'assiette à côté de son ugoshi, le pris et le plaça pour prendre son petit déjeuner.

Après cela, Brice alla récupérer son biberon et retourna jouer.

Tout ce que Brice a fait a duré une heure et dix minutes après, je suis arrivé.

Alan ferma la vidéo. Dès qu'il ferma la vidéo, je me mis à réfléchir. Normalement lorsqu'un enfant marche pour la première fois, ça devient un moment de joie pour les parents. Mais là c'était trop tôt, il n'avait que cinq ans. De plus les capacités qu'il a démontré des capacités hors norme pour un enfant. Face à ces réalisations, je ne pouvais que rester incrédule.

"La façon dont je l'ai rencontré, l'opération et maintenant ça. Il y a vraiment un mystère qui entoure cet enfant." Mon oncle qui avait fini de manger se mis à parler de manière calme et posée comme s'il n'avait jamais pété les câbles devant un enfant. Mai ce qu'il disait était vrai et enfin je comprenais pourquoi il avait accepté d'adopter Brice.

Alan a toujours été une personne passionnée que par une seule chose, les recherches. Il aimait des réponses à toutes questions qu'il se posait. Et à chaque fois qu'il y avait un problème, il était toujours content d'y trouver des solutions. C'est grâce attitude qu'il a pu devenir l'un des meilleurs scientifiques ayant jamais foulée cette terre.

"Je pense que tu devrais plus trop t'attacher à cet enfant." Me dit-il ainsi.

" Peut être as tu raison. Mais il y a une chose que tu dois savoir, ce bébé porte le nom RICHTER, ce qui est mon nom et le tien. Il est de la famille RICHTER. Et la famille Richter n'abandonne jamais un de ses membres. C'est compris ?" Lui ai-je dit en colère pour ce qu'il pensait faire et je me detournai de lui pour aller féliciter mon petit bout de chou de savoir marcher.

Alan fronça les sourcils en me voyant m'éloigner