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isekai: une arnaque

alors que Tibre Dimitri marchait dans la rue truc-kun se présente devant lui pour l'amener mais Tibre réussi à l'éviter de justesse pour ensuite tomber dans un portail. Plusieurs minute plus tard il se retrouve dans une salle blanche avec un vieillard qui se présente comme étant ROB. ___________________ la majeur partie des personnages que vous verrez ne sont pas les miens.

Brice_Tagne · 漫画同人
分數不夠
7 Chs

Chapitre 4

Ça fait maintenant trois mois que l'appartement d'Alan qui est composée d'un salon, de deux chambres, de deux douches et d'une cuisine compte trois résidents. Tout compte fait deux car Alan n'a agit que comme un invité occasionnel de son propre appartement. Ce dernier a passé tous les trois mois à son laboratoire et venait rendre visite que lorsqu'il était temps de visiter l'hôpital. Ce qui d'ailleurs se faisait une fois par semaine.

Le but de ses visites était de vérifier les constantes de l'enfant afin de savoir s'il sera bientôt prêt pour l'opération qui l'attendait. L'opération qui devait le soigner de son handicap.

En plus de cet objectif il y avait encore un autre qui était de rencontrer différentes familles possible pour l'adoption de l'enfant. Les Richter n'avaient fait aucun pas pour adopter l'enfant. Mais cela s'est avéré peu concluant car l'enfant semblait être encore plus attaché à Doris. Son attachement à cette dernière était si grand que si ça continue ainsi, la famille RICHTER serait obligé de l'adopter.

Il y avait une autre solution, le placé dans un orphelinat. Le problème, c'est que les orphelinats n'existe pas dans ce monde. Car chaque enfant, qu'il soit orphelin ou non, possède une famille.

Après tout ça, la vie a été calme durant ces trois derniers mois.

Maintenant était arrivé le jour de l'opération de l'enfant. Dans le salon de l'appartement d'Alan se trouve Doris et l'enfant.

" Mon petit, quand ton opération sera terminé je te donnerai un nom et tu seras le bébé le plus heureux." Dit Doris en faisant une grimace au jeune enfant assis dans sa poussette.

L'enfant n'eut aucune réaction. En voyant cela Doris fis la moue " je sais que tu es muet mais un petit sourire ne te fera pas de mal."

L'enfant continua à la regarder droit dans les yeux, sans bouger, sans cligner des yeux.

Doris le regarda en espérant plus mais elle savait que c'était impossible. Car durant les trois derniers mois elle a constaté qu'en plus de l'handicap de l'enfant, ce dernier ne communiquait pas. Par exemple lorsqu'il avait faim il ne faisait aucun geste pour le montrer. Un autre exemple lorsqu'il faisait ses besoins dans sa couche, s'il l'on ne passait pas à côté de lui pour sentir une odeur c'était impossible de savoir qu'il y avait un problème.

Doris voulu continuer mais la porte du salon s'ouvrir et laissa

découvrir Alan qui entrait.

Doris le voyant dit" hé tonton, tu es de retour." Alan plissa des yeux à ce que Doris venait de dire " gamine n'es tu pas encore prête? c'est bientôt l'heure " Demanda Alan.

"T'inquiète. Je le suis." Doris pris le sac qui était au sol et l'accrocha sur son épaule. Elle arrêta les manches de la poussette de l'enfant, et la poussa pour suivre Alan qui était sorti de l'appartement.

*

Quelques minutes plus tard, ils étaient à l'hôpital.

L'hôpital était un immeuble R+7 avec une base carrée. Dès qu'ils sont entrés au ré de chaussée, ils pouvaient y voir un hall d'entrée plusieurs réceptionnistes. Et un peu plus loin derrière elles, un ascenseur.

Ils se sont immédiatement dirigés vers l'ascenseur. Une fois à l'intérieur ils ont appuyé sur le bouton menant au septième étage et l'ascenseur s'est mis en route. Arrivés au septième étage, ils se sont dirigés vers une chambre. Et pour y arriver ils ont dû passer devant plusieurs chambres que l'on peut constater vide, il n'y avait aucun patients dans l'étage. Et c'était pas seulement à cet étage, c'était dans tous l'immeuble. La raison était que l'hôpital ne se chargeait que de femmes enceintes et de bébé qui viennent de naître.

La chambre en question, était une pièce carré de 8x8 mètre. A l'intérieur, dans un coin, il y avait un lit. Et au centre de la pièce se trouvait quelque chose semblable à un caisson, c'était un caisson de régénération (pour une image du caisson regarder le commentaire de paragraphe).

Arrivé dans la salle, Doris et compagnie ont trouvé le médecin qui vérifiait le caisson. A leur vu ces derniers se dirigea vers eux et les salua. Après les salutations, il leur expliqua de nouveau comment cela allait se passer.

Bien que chacun dans la pièce connaissait le processus, il l'écoutèrent toujours car cela faisait partie des formalités.

Le médecin leur expliqua qu'il ne s'agissait pas vraiment d'une opération pour le guérir de son handicap. Plutôt que de le guérir simplement du handicap, elle avait une fonction plus générale. En effet tout comme leur arrière grand parents l'avais fait, ils allaient introduire dans le corps de l'enfant des nano particules qui feront leur possible afin d'améliorer toutes les cellules. Et pour se faire ils devront les dévorer afin de les assimilé au mieux.

Le problème avec ce processus c'est qu'il est très douloureux et très dangereux. Mais afin de palier à ce problème, ils avaient un caisson de régénération. Une fois à l'intérieur du caisson, l'enfant allait être maintenu dans un sommeil qui devrait durer jusqu'à la fin de l'opération. En plus le caisson va soigner l'enfant à chaque fois qu'une liaison se présentera.

L'opération devrait durer une semaine. Plus si l'organisme de l'enfant est trop complexe.

Ils ont tous bien écouté les informations que le médecin leur donnait car cette opération n'était plus pratiquée de nos jours. En effet la dernière fois que cela a été fait c'était il y a plus de 1000 ans sur leur grand parents. Mais eux n'en avait pas besoin de l'opération car ils avaient hérité des nano particules de leur grand parents.

L'enfant lui, en avait besoin pour soigner son handicap. D'autant plus que ils possédaient d'autres avantages comme améliorer le système immunitaire de l'enfant qu'il ne tombe plus jamais malade, augmenter sa vitesse de régénération et augmenter la durée sa durée de vie. Un être humain moyen sur cette terre a une espérance de vie de 200 ans. Prenons Alan par exemple, il a 127 ans mais ressemble à un jeune de 30 ans.

Une fois tous les explications faites le docteur pris l'enfant et le prépara pour l'opération. Il coucha l'enfant sur le lit et le fis s'endormir à l'aide d'un masque. Puis à l'aide de d'une seringue, il l'injecta un liquide bleue. Quelques minutes plus tard, il le plaça dans le caisson puis le referma. Et il mis en marche le caisson.

Alan et Doris quant à eux devaient juste attendre.

**

un mois plus tard

L'opération avait duré un mois exactement. Et avait été couronnée de succès même comme...

Dans une des salles de l'hôpital, trois personnes s'y trouvent. Ces trois personnes sont autre qu'Alan, Doris et l'enfant.

Alan était assis sur l'une des chaises qui se trouvait dans la chambre. Il essayait de comprendre pourquoi l'opération avait pris un mois pour se terminer. Cela n'avait aucun sens pour lui car selon les archives sur cette opération, cela prenait au maximum 8 jours pour se terminer. De plus qu'après deux se semaines, ils aient été obligé d'augmenter la dose de n'a nano particules. Car la première dose injecté était insuffisante. Et pour se faire, ils ont dû lui injecté 0.5 litres alors que toujours selon les archives seulement 2 centilitres avaient toujours été nécessaire. Tout cela était inhabituel.

D'autant plus les capsules qu'il avait trouvé avec l'enfant étaient également un casse-tête pour lui. Après les trois mois qu'il avait passé à étudier les capsules, il ne pouvait toujours déterminer ce que c'était. Et à cause de cela il était très fatiguée.

Et il n'était pas le seul à remarquer l'étrangeté dans toute cette affaire. Tous ceux qui avaient un tout petit peu de connaissances sur ce genre d'opération, ont trouvé ses résultats absurde. De même pour ceux qui avait écouté l'histoire de sa rencontre avec le bébé et pour ceux qui avait vu la capsule.

Tout cela était trop incroyable pour lui et pour cette raison, il devait observer cet enfant. Et c'est là qu'il eu une idée.

Il cessa de réfléchir à cela et reporta son attention à Doris qui était accroupi devant l'enfant dans sa poussette avec une expression indifférente.

" Ah duu duu duu baduu baduu togr tuhuf Toul." Doris faisait d'étrange bruits avec sa bouche accompagné de grimace afin de faire rire l'enfant. Mais ses efforts étaient inutile car ce dernier affichait toujours un visage indifférent.

En le voyant comme ça, Doris fit la moue. Puis un sourire malicieux s'installa sur son visage. Elle sortit une plume de sa poche. Le bébé voyant la plume, eu les yeux écarquillés comme s'il savait ce qui va se passer. Doris quant à elle approcha dangereusement la plume des parties sensible du bébé. Puis elle se mis à le chatouiller et l'enfant se mis à rire. C'était comme une chanson au oreilles de Doris.

Juste à côté deux, Alan les regarda avec des yeux pleins incrédulité. Est ce même humain de faire ça à un bébé ? Est ce même Doris que je connais ? C'était les questions auxquelles il se posait. Mais y répondre n'était plus important pour l'instant "hé gamine arrête ça un peu et écoute moi."

En attendant Alan l'appeler, une veine apparu sur son front "le vieux ne me traite plus de gamine." Dit elle avec de la colère dans les yeux. Puis elle fit ce que Alan lui demanda "bon je suis tout à toi".

Le bébé soupira lors qu'il vu Doris se détourner de lui. En tout cas c'est ce qui semblait être.

Alan ayant l'attention de Doris lui parla "Oui je suis d'accord." Un point d'interrogation apparu au dessus de la tête confuse de Doris. " Je suis d'accord pour l'adopté" dit il comme ça simplement.

Un sourire radieux se dessina sur le visage de Doris puis elle se mit à sautiller partout dans la pièce en criant "way way way way" dans un certain rythme. Mais après elle se calma et demanda " est tu sérieux ?"

" Quand t'ai je déjà menti?" Lui demanda-t-il en retour. Doris fronça les sourcils, car il lui mentait tout le temps.

Voyant la réaction de Doris, Alan répondit sérieusement " je suis sérieux." Doris, en entendant sa réponse pouvait de nouveau festoyer, ce qu'elle fit pendant dix minutes. Lorsqu'elle s'arrêta, elle posa de nouveau une question à Alan " quand?"

"Pourquoi pas maintenant." Lui répondit il. Et le sourire de Doris s'agrandit encore plus " alors allons y alors."

Alan hocha la tête. Et le principal intéressé qui était avec eux de puis le début les regarda indifférent comme toujours.

Puis Alan sortit de la pièce, suivis de Doris poussant le bébé dans sa poussette tout en marmonnant différents noms qu'elle avait imaginé pour enfant.