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Prologue Partie 2

Paolo :

Je t'avais prévenu Frida, ne me dérange pas sous aucun prétexte, quel que soit le motif, tu veux peut-être que je t'enferme encore une fois ?

La dernière fois n'a pas suffi à te dissuader d'avoir ce genre de comportements à ce que je vois, veux-tu mourir à ce point ?!

Frida :

Tss, encore dans ce projet pourri de laisser une trace dans l'histoire pour espérer qu'il y' ait des gens qui pensent à nous après notre mort.

Super, tu leur expliqueras à cause de quoi on est tous dans cette situation, pour ensuite cacher le fait que tu ne veux même plus aller voir ces enfants comme le ferait une vraie figure parentale, simplement pour alimenter ton envie de supériorité et gagner des bouts de terre !

Oui, tu dois vraiment être occupé pour laisser à ce point tes responsabilités au placard.

Il faut croire que les distractions futiles valent plus que l'avenir de petits que tu as fait plonger dans les pires côtés de ce monde dangereux, pour ton simple confort en tant que dirigeant tyrannique !

Paolo :

Dernier avertissement, n'oublie pas que je te laisse en vie seulement grâce à ta mère, sinon tu serais morte depuis longtemps.

Tu peux t'estimer chanceuse que je ne vienne pas directement t'égorger avec mes mains à cause des graves propos que tu as contre moi, tes passes droits sont la seule raison pour laquelle tu es encore en vie.

Il serait regrettable que je doive te le rappeler par la manière forte.

Frida :

Non, tu vas écouter ce que j'ai à dire.

Frida s'approche de plus en plus près de Paolo sans pour autant être trop proche de lui, la chambre de Paolo est si grande que Frida est obligée de marcher pendant quatre secondes pour se rapprocher de lui.

Paolo :

Tu n'as rien à me dire si ce n'est implorer mon pardon, c'est tout ce que je t'autorise en l'état actuel des choses avant que je décharge ma colère sur toi et ton faible corps, espèce d'arrogante.

Frida :

Toujours aussi borné à ce que je vois.

Je n'ai pas à implorer quoi que ce soit à ce stade, tu préfères ne pas m'écouter de toute manière.

J'ai déjà dit ce que j'avais sur le cœur et je ne reviendrais pas là-dessus.

Je déplore juste le fait que je doive en faire autant pour simplement espérer un peu de bon sens de ta part, à quelle point dois-je aller pour que tu te comportes enfin comme un être humain envers ceux que tu gardes près de toi ?

Dis-le-moi, Paolo !

Paolo s'énerve tellement intérieurement, qu'il laisse apparaître sur sa tête les veines de son front.

Paolo :

Depuis quand est-ce que je t'ai autorisé à me parler aussi familièrement ?!

J'ai laissé couler parce que je suis de bonne humeur aujourd'hui, malgré ça tu t'amuses à tendre la corde de mon indulgence jusqu'à la faire rompre sans vergogne, espèce d'insolente !

C'est bien la dernière fois que je permets un tel comportement, soit en sûr !

Paolo se lève de sa chaise de bureau et se retourne vers Frida, pointant sa main vers elle pour utiliser son ??????? ?? ???? sur elle.

En à peine quelques secondes, Frida se fait violemment attiré par la main de Paolo sans pouvoir se défendre, la main de Paolo accroché au cou de Frida agissant comme un aimant incapable de la relâcher.

En tenant le cou de Frida par la seule force de sa main, Paolo compresse son cou pour l'étrangler.

Frida :

Nggh, kokk !

Paolo :

Je t'avais prévenu Frida, ne plaisante pas avec moi comme tu peux le faire avec les autres, sinon je n'aurais pas d'autre choix que de me salir les mains.

Tu sais ce que je sous-entends, n'est-ce pas ?

Paolo projette ensuite très violemment Frida contre le mur de la porte d'entrée à une vitesse fulgurante, créant des fissures là où elle s'est écrasé.

Le fracas pouvait s'entendre dans toute le manoir.

Frida :

Kyyahh, ghahh !

Au moment de l'impact, Frida ressentait une douleur immense au dos, lui donnant l'impression de s'être écrasé contre du métal renforcé à cause de la puissance de la projection.

Elle restait quand même surprise, elle s'était inconsciemment protégé en utilisant son ??????? ?? ????, lui permettant de recouvrir une partie de son corps avec un mystérieux bouclier, la protégeant des dégâts physiques.

Pourtant, c'est comme si elle ne s'était pas protégé.

Dans sa tête, ça ne faisait aucun doute, le maître des lieux est à un niveau de puissance bien plus haut qu'elle.

À terre, Frida a du mal à se relever.

Frida :

(Ordure, tout ce que tu connais c'est la violence.

J'ai été stupide de croire que je pourrais retirer quelque chose de bon en venant vers toi.

Si seulement tu n'avais jamais existé.)

Paolo, jusque-là encore assez calme, montre cette fois une colère bien plus marqué contre Frida.

Paolo :

Va-t'en avant de le regretter !!

Hors de ma vue !

Frida :

Tss.

(Maudite soit ton existence !)

Le dos encore douloureux, Frida se relève lentement tant bien que mal en titubant légèrement, elle était toujours assez près de la porte d'entrée, pourtant sa marche était laborieuse, lente et douloureuse.

Ça ne l'empêcha pas après cinq secondes de pure douleur, de sortir par la porte qu'elle avait ouverte plus tôt, et de s'en aller en titubant.

Frida continuait de marcher le dos voûté vers le sol, jusqu'au jardin en bas du grand manoir, marchant sur tous les escaliers qui menaient vers la chambre de Paolo avec difficulté.

Endurant une douleur insupportable et très inconfortable pour elle pendant au moins deux bonnes minutes, ce n'est qu'après ces deux minutes qu'elle put enfin atteindre le jardin principal du manoir.