Intégration

L'arc de L'AFSA commence !

La première vague de recrutement avait déjà porté ces fruits, des milliers de personne ayant réussi les près sélections, on reçut leur convocation.

La formation a commencé depuis 3 semaines, il y avait eu une cérémonie d'entrer dans un gigantesque complexe.

- Toutes les recrues étaient alignées bien en rang, chaque sections étaient composée de 100 recrus avec son propre instructeur.

- Je suis le sergent d'armement Hartman et par la même occasion votre chef instructeur. À partir d'aujourd'hui, vous ne parlerez que quand on vous parlera. Et les premiers et derniers mots qui sortiront de votre sale gueule, ce sera chef ta punaise. Est ce que c'est bien clair ?

- Chef oui Chef !

- J'ai pas entendu, montrer moi que vous en avez une pair.

- CHEF OUI CHEF !

- Si vous ressortez de chez moi vivant les louloutes, si vous survivez à mon instruction. Vous deviendrez des armes, des prêtres de la mort implorant la guerre. Mais en attendant ce moment-là vous êtes du vomi ! Le niveau zéro de la vie sur terre, vous n'êtes même pas humain bande d'enfoiré !

- Vous n'êtes que des paquets de merde de la chiasse ! Parce que je suis une peau vache vous me haïrez, mais plus vous me haïrez et plus vous apprendrez. Je suis vache mais réglo, je n'ai rien contre les négros, les métèque les chinetoque, vous pouvez même vous taper votre chien et tout ce qui s'en suis.

- Ici vous êtes tous des connard et j'ai pour consigne de balancer toutes les couilles de loup qui n'en pas la pointure pour servir notre monde.

- Est-ce que c'est clair ?

- CHEF OUI CHEF !

- Toi présentes toi !

- Je suis Aimonz Génio.

Le jeune homme portait des lunette et avait des cheveux gris en bataille et semblait ne pas etre très fort physiquement.

- Génio et t'en veux pas à tes parents de t'avoir appelé comme ça, à partir de maintenant tu t'appellera Cretino.

- Mais c'est de mauvais de goût.

- Pardon !

- CHEF OUI CHEF !

- Et toi pourquoi tu es là ?

- Pour tuer des Loctars chef !

- Mais c'est formidable ça, tu leur serviras de pâter pour chien ! Aller demi-tour droit.

- Et toi ta quel excuse ?

- Excuse pourquoi chef ?

- C'est moi qui pose les questions ici, est ce que tu peux comprendre ça ?

- CHEF OUI CHEF

- Très bien merci beaucoup, merci, alors je peux donner des ordres peut-être ?

- CHEF OUI CHEF !

- Est-ce que tu es tout perturbé est ce que tu es tout nerveux ?

- CHEF, JE SUIS NERVEUX CHEF !

- Et c'est moi qui te rends nerveux !

- CHEF...

- Chef quoi ! Mais dit moi est ce que t'allais pas me traité de sale con ?

- CHEF NON-CHEF !

- Combien du mesure sac à foutre ?

- 1M75 CHEF !

- 1M75, jamais vu un tas de merde aussi haut que ça. Tu ne m'entuberais pas de 2 centimètres par hasard.

- CHEF NON-CHEF !

- Mon cul, je sais bien que ce que tu avais de mieux à couler de la chatte de ta maman chéri, est fini en flaque marron sur son matelas pourris ! Tes unes vraies chiures toi, d'ailleurs tu viens de quel blaide pommé ?

- DU TEXAS CHEF !

- Au putain y a que des taureaux et des pédé qui vivent au Texas mon petit cow-boy. Vu que tes pas trop taureau sur les bords, tu dois être de l'autre bord. Tu suces des nœuds ?

- CHEF NON-CHEF !

- Tu ne serais pas pompeur de farce ?

- CHEF NON-CHEF !

- Je parierais que tu es du genre à pomper un mec jusqu'au trognon, sans avoir l'élémentaire politesse de lui manipuler gentiment le petit frère ! Je te préviens, je t'ai à l'œil !

Et toi comme tu t'appelles ?

Je m'appelle Eddie chef !

Tu n'aurais pas quelque Kilo en trop mon petit Eddie ?

CHEF OUI CHEF !

À partir de maintenant tu t'appellera grosse baleine, est ce que ça te plaît ?

CHEF OUI CHEF !

Eh bien y a quand même un truc que ne va pas trop aimer grosse baleine, on te servira pas ton poulet frites et tes pastèques quand tu viendras bouffer à la cantine.

CHEF OUI CHEF !

- Et vous pourquoi vous souriez ?

- Vous allez tous me faire le tour de ce complexe 10 fois !

- CHEF OUI CHEF !

Tout se ayant ri ont commencé à courir.

- Et toi la princesse, tu crois que je ne t'ai pas vu ?

Il s'addressais a une fille au cheuveux long de couleur rose ainsi que ces yeux au visage beau et lisse. Un corps tout a fait bien répartie et équilibrer sauf ces seins qui était un peu plus gros.

- Chef, je n'ai pas rigolé chef !

- Tu me traites de menteur ! Est ce que j'ai une gueule de menteur ?

- CHEF NON-CHEF !

- C'est quoi ton nom ?

- Amélia chef !

- Maintenant, tu t'appelleras blanche neige !

- CHEF OUI CHEF !

- Dit moi, tu me trouves marrant, tu me trouves charmant ?

- CHEF NON-CHEF !

- À genoux, étrangle toi !

Elle s'est mise à genoux et c'est étrangler.

Bon dieu avec ma main !

Elle a alors pris la main de l'instructeur.

- Ne me prends pas la main enfin merde ! Quand je te dis que tu t'étrangles, tu te penches et tu t'étrangles !

- .........

- Alors comment, c'était ?

- Ah coupé souffle... Chef...

- Suffi debout, ta vachement intérêt de tenir à carreau et à me chier des perles tous les matins. Sinon ça va barder pour ton matricule.

- Des chambre vous en étés assigné, rendez vous ici demain à 6 heures. L'entraînement y commencera, je vais vous mettre au pas moi, je vais vous dresser ! Vous cracherez du sang vous pouvez me croire, rampez tas de larve !

- Putain ce n'était pas de la blague cette cérémonie.

- Pas vrai blanche neige.

- Ta gueule !

- Oh, elle est susceptible.

- Laisson la tranquille.

Les deux jeunes se sont levés et sont partis.

- Il m'a humilié, moi Amélia Von Stolz la fille !

- Tu devrais oublier ton orgueil.

- Et à quel imbécile est je l'honneur.

La personne devant elle avait des cheveux blonds et des yeux violet elle dégageait une préstence et une beauté ridicule. Possédant un corps au forme plus que généreuse.

- Qu'est-ce que je viens de te dire. Et pour te répondre, je suis Célica et c'est un conseil que je te donne gamine.

- Gamine, tu viens de m'appeler gamine ! Pour qui tu te prends !

- L'orgueil est ton pire ennemi surtout ici, tu dois être un enfant pourri gâté qu'on a envoyé ici pour être dressé.

- Moi un enfant pourris gâter ! Espèce de....

- Espèce de quoi ? Amélia Von Stolz, fille de l'homme possédant une entreprise à plusieurs milliards.

Amélia était maîtrisée, la tête contre la table de la cafétéria sous le regard des autres.

- Écoute moi bien la pistonnée, ici, on a rien à foutre de qui tu es qui est ton père ou je ne sais pas quoi d'autre.

- Lâche moi.

Célica là alors lâché.

- Peut-être que ta présence est temporaire ou un jeu, mais respecte ce qui on choisit d'être ici blanche neige.

Célica, c'est alors en aller.

- Fait chiez et vous qu' est ce que vous regardez !

La journée s'est ainsi terminée.