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Chapitre 4

La journée s'est poursuivie de manière angoissante pour moi, après avoir quitté mon appartement pour faire enfin mes courses, une sensation de mal l'aise me saisit, comme si j'était constamment observé. Pourtant, je me suis efforcé de chasser ces pensées et ai continué ma routine. Le sentiment d'être épié me poursuivi jusque dans la Supérette, mais après plusieurs coup d'œil en arrière je ne vu rien…. Tout ce stresse me rendait dingue et parano.

A la sortie de la supérette, alors que j'attendais que feu passe au vert, une voix familière et menaçante a murmuré à mon oreille .

- On va bien réussir à se débarrasser d'une sale ordure comme toi !

Mon cœur s'est serré dans ma poitrine alors que je réalisais la gravité de la situation, et avant que je ne puisse réagir ,j'ai été violemment poussé vers l'avant. Le groupe de harceleur s'éloignant en riant, tandis que les feux d'une voiture se rapprochais dangereusement de moi. Une panique indicible m'a envahi alors que le véhicule s'approchait de moi, laissant peu d'espace pour l'espoir.

      Quand je repris conscience, j'était à nouveau à l'hôpital, entouré de bruit familiers des machines et du personnel médical. La douleur lancinante dans mon corps m'a rappelé la réalité de ce qui s'était passé, et la peur de devoir affronter ma mère à nouveau me fit frémir de peur . J'avais eu eau essayer de faire comprendre au médecin que cela n'était pas nécessaire, mais étant mineur ils étaient obligé de la contacté.

Le médecin m'expliqua que j'avais eu beaucoup de chance, la voiture ne roulant pas vite, je me retrouvais avec quelques bosse, un bras cassé et des côtes toujours amoché, cette nouvelle me rassura un peu, cependant , une anxiété persistait en moi, qu'allai t'il m'arrivé maintenant ? J'avais réussi à berner ma mère une fois et je ne pense pas qu'elle se laissera avoir à nouveau et la simple idée de remettre les pieds dans cette maison me fit avoir des nausées, je devais fuir avant qu'elle n'arrive !

Alors que je commençait à descendre de mon lit en gémissant de douleur, la porte s'ouvrit et une jeune femme au teint pâle fit son entré. Ses cheveux mi- longs ondulé avait la couleur d'un ciel morne d'hiver , un magnifique tatouage de dragon ornais son avant- bras. Son regard intense m'a captivé un instant avant qu'elle ne sois rejoint par d'autre personne arborant le même tatouage, et d'un coup sans que je ne comprenne ils étaient tous à genoux devant mon lit. Observant la scène surréaliste médusé, je ne sus quoi dire.

La porte s'ouvrit brusquement, laissant entrer une silhouette familière, mon cœur s'emballa en reconnaissait ma mère, un frisson de peur de peur me traversa quand nos regards se croisèrent. Un mouvement de recul involontaire s'empara de moi, mais avant que je puisse dire quoi que ce soit, la jeune fille agit avec une rapidité déconcertante et d'un geste et repoussa la main de ma mère, ses yeux emplis de malice la fixant sans rien dire. L'expression surprise et indignée de ma mère fut rapidement remplacée par un flot d'injures, mais cela ne s'emblait pas perturber la jeune inconnue. Je me tournai vers elle, laissant échapper un murmure interrogateur.

- Je m'appel Hana Mori, je suis l' un des bras droit de Kazuki.

Ses paroles gelèrent l'air autours de moi.

-Tu as sauvé notre chef, alors qu'il ne le méritait absolument pas, après ce qu'il ta fait.. Je…non, Nous te sommes redevable ! Le gang te doit sa survie ! Désormais, tu fais parti des nôtres !

Je restai médusé, sans voix . Essayant de trouver les mots pour refuser poliment.

- Madam… Hana… je ne peu pas accepter… Je.. ne mérite pas tout ça..

Mais alors que mes explications était sourde à ses oreilles, trois nouveaux garçons entrèrent dans ma chambre, les yeux grand ouvert , je recula dans mon lit comme un chat apeuré, mes harceleurs était la dans un sale état, ils ne faisaient pas les fières et était visiblement paniqués. La tension monta d'un cran quand Kazuki apparut… Bien trop grand pour la porte je le reconnu surtout à ses tatouages encore visible, ne fermait il jamais sa chemise… Je pouvais aussi voir des pansement … les pansements que j'avais posé durant la nuit, il passa la porte en baillant, laissant une fine larme de fatigue rouler sur sa joue, ses long cheveux d'ordinaire détacher était négligemment attaché en une queue de cheval. Son regard se posa sur les trois harceleurs et une lueur de sadisme illumina ses yeux.

- Alors… bande de bâtard, je commence par qui ?

Il était calme et sa voix douce mais rempli d'un sous-entendu sinistre, qui me firent frissonner.

La tension dans la chambre était palpable lorsque soudainement un médecin fit son apparition. Son regard surpris se posa sur la scène devant lui, il ouvrit la bouche pour réprimander tout ce beau monde, mais avant qu'il ne puisse dire un mot Hana intervient d'une voix ferme mais courtoise.

- Excusez-nous, docteur, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous laisser et de préparer trois lit supplémentaires pour ses trois jeunes gens.

Le médecin sembla hésiter un instant, mais le regard déterminer d'Hana convainquit de ne pas plus insiter, il fit demi-tour laissant derrière lui une atmosphère lourde de menace et de danger. Les trois garçons visiblement anxieux d'être abandonnés par leurs seul échappatoire tombèrent à genoux au pied de Kazuki, le suppliant de leur pardonner. Il attrapa la tête du meneur par la tête, sa main entourant son visage avec une fermeté glacial.

- Avez-vous écoutez les supplications de se morveux ? Non. De plus nous avons une règle dans mon gang, quand un des miens est attaqué … Tu attaque ma famille. Donc pour résumer … Vous êtes foutus les gars !

- ON ne savait pas qu'il faisait parti de ton gang , on le jure !

Kazuki secoua doucement la tête en soupirant d'agacement. Avant qu'il ne porte le premier coup je me redressa en couinant .

- Je ne veux… enfin… il… ne fait pas ça.. pas ici et … je ne veux pas que tu les blessent …

Son regard vert s'encra dans le mien et le temps sembla se figer pendant quelques seconde, avant qu'il ne gifle brutalement le meneur, sa tête atterrie brutalement sur le mur avec un fracas ignoble, le chef se redressa avec un sourire amusé en haussant les épaules.

- Oups…. Pas fait exprès ~