Salvatoris fixait toujours l'écran holographique projeté devant lui. Il ignorait entièrement ses pantins, en plus de l'androïde nommer Smith, qui s'efforçait en vain de maintenir la pièce en ordre. Ce qui fit dire à Salvatoris une unique phrase.
« Crise de la natalité »
Presque immédiatement après ses mots, l'écran changea. A peine quelques secondes plus tard, le titre de la vidéo grésillante, visiblement endommager, mais lisible et compréhensible, commença à défiler sous les yeux de l'attentif Salvatoris.
« Enregistrement numéro dix sur quinze enclencher. »
Après cette phrase, l'écran changea, affichant désormais d'autres images appuyant les dires de la voix mécanique qui retentit.
« Il y a de cela plus de deux siècles maintenant, dans les années 2XXX, une crise frappa l'humanité. »
Alors que la voix continuait son monologue, l'écran commençait à afficher divers parties mécaniques de robots s'assemblant, donnant naissance à ce qui ressemblait à s'y méprendre à un humain. Avant de commencer à afficher des images d'androïde réalisant des tâches du quotidien, ou des tâche plus que complexe, peu importe l'endroit.
« L'invention des androïdes à forme humaine, bien qu'initialement conçus pour le travail, fut une véritable révolution dans la société, aussi bien socialement que professionnellement. Nombres de travaux autrefois impossibles à réaliser pour des machines n'ayant pas forme humaine, ou les capacités de réflexion nécessaire à ce travaille, purent être accaparé par les machines. Cela entraîna la perte d'emploi de millions d'humains qui n'était qualifié qu'à ces tâches désormais obsolètes, tout en créant nombres d'autres travail de maintenance afin de garder un équilibre sociétal. »
Une fois la phrase terminer, les images montrées à l'écran changèrent, affichant désormais des textes de loi, ainsi que des législations.
« A peine quelques mois plus tard, les travaux que pouvaient entreprendre les premiers androïdes furent restreint. Tout cela afin de ne pas réduire les humains à des pantins vivant dans l'oisiveté, sans avoir à fournir la moindre once d'effort, ce qui aurait précipité l'humanité à sa chute, et empêcher l'invention de prototype d'androïde plus poussé, comme les derniers modèles actuel imitant à la perfection l'humain. »
Mais alors que les textes de loi disparaissaient, ce fut un couple qui s'afficha à l'écran, ce qui dérouta Salvatoris qui fixait la scène avec un mélange de confusion et d'intense réflexion. Ses sourcils se froncèrent tandis qu'il essayait de démêler les informations qui lui étaient présentées.
« Mais cela ne fut pas la seule répercutions qu'eurent les premiers androïdes sur la race humaine, ce n'était que la partie émergé de l'iceberg. Bien que les premiers modèle d'androïdes soient incapables de ressentir la moindre émotion, et puissent à peine la simuler, les années suivant leur invention la natalité baissa fortement dans chaque pays. Beaucoup d'hommes et de femmes étant lasser des déceptions amoureuses, ou simplement d'avoir des enfants, profitèrent d'un nouveau type de commerce qui explosa rapidement, tout en passant leur vie avec des androïdes modifier. Bien qu'ils ne ressentaient toujours rien, et agissaient simplement comme l'auraient voulue leurs propriétaires, il pouvait désormais entretenir des relations charnelles, ce qui provoqua un véritable changement dans la société, ainsi que les normes de cette époque. »
Quand les images de couple eut disparut, elles laissèrent place à des statistiques. Ce qui laissa Salvatoris essayer de démêler les fils complexes de l'histoire qui se déroulait devant ses yeux.
« Ce fut la première crise de la natalité. Les différents États imposèrent des restrictions à ce nouveau type de commerce d'androïde modifié, comportant des fonction non prévu lors de leurs conceptions. Ils incitèrent également de toutes les manières possibles leur population à avoir des enfants, en plus de les sensibilisés à une chose simple. Ils ne seraient jamais vraiment aimés par un androïde dénuer d'émotion. Ils ne vivraient qu'un paradis artificiel, voué à être détruit le jour ou les failles dans le comportement de leurs chères machines seraient de plus en plus évidente, et démontrerais le fait qu'ils ne sont pas humain.
Fort heureusement, cela eut un grand impacte, et la crise fut réglé pacifiquement, bien que les conséquences en furent lourde. La natalité retrouva ainsi son taux d'entant, du moins, jusqu'au moment où de nouveaux types d'androïdes arrivèrent sur le marché. »
A ses mots, des images d'androïde bien plus développer, ressemblant à s'y méprendre à ceux que Salvatoris avait vu dans sa vision, firent leur apparition. Laissant Salvatoris encore plus curieux de savoir en quoi cela était mal. La population qu'il avait pu voir ne semblait pas faible, pourtant ces androïdes étaient partout.
« Les entreprises ayant vu le potentiel en des androïdes conçus différemment, commercialisèrent une gamme équiper pour avoir tout type de relation avec les humains, et un corps presque dénué d'imperfection. Celle-ci rencontra un succès fulgurant, la laissant s'imposer comme véritable standard de la création d'androïde, en plus de pousser un concept que nombre refusait à ce moment de voir exister : des machines possédant des émotions. »
Des images diamétralement différentes des précédentes apparurent alors à l'écran, affichant des manifestations parfaitement pacifique organiser de milliers, ou même de millions d'humains dans les rues. En voyant cela, la bouche de Salvatoris s'ouvrit inconsciemment. Jamais il n'avait vu tant d'humains en un seul endroit, et pourtant, les bâtiments servants de fond à la vidéo semblaient également regorger d'activité. C'était définitivement un autre monde. Cependant, faisant fi des pensers de Salvatoris, la voix mécanique continua son discourt.
« Ce fut la seconde crise de la natalité. L'argument principale des États disant que les machines n'aimeraient jamais leurs conjoints fut réduit à néant. Nombres de manifestations se soulevèrent en cette époque ou les populations possédaient un trop grand nombre de liberté, pouvant même aller jusqu'à menacer la stabilité nationale. Certain États firent même une véritable hérésie, autoriser quelques droits humains aux androïdes. Les États les plus égalitaire, pour ne pas dire hypocrite, les traitèrent même comme des humains. Cette stupidité eut pour effet de drastiquement réduire la proportion de jeune dans la population humaine mondiale. Les anciennes campagnes de sensibilisation ayant fonctionné par le passé étaient devenues inutile. Les androïdes étaient plus beaux, plus faciles à trouver, plus parfait, et les déceptions amoureuses étaient bien plus rare avec un androïde qu'un humain. De plus, même si cela arrivait, ils pourraient être forcés de rester avec son propriétaire par la force. Les travailleurs humains virent même à manquer, poussant certains états à tenter une chose interdite par des conventions oublié depuis bien longtemps, crée artificiellement des humains à base d'échantillon récolté un peu partout, plus ou moins légalement. »
Alors que la voix récitait cela, des images dépeignant d'imposante cuve verdâtre remplie de liquide défilèrent à l'écran, un humain nue figurant dans cette cuve. Cela eut pour effet choqué Salvatoris, qui serait tombé au sol si il n'était déjà pas assis. Il n'en croyait pas ses oreilles, ni même ses yeux. La vie pouvait être créée artificiellement ? Cela semblait si irréel à ses yeux.
« Les clones furent ainsi introduit dans la population avec les mêmes droits qu'un androïde, mais cela ne passa pas pour les civils. Malgré la nécessité grandissante d'un apport de sang frais à l'humanité pour ne pas voir sa population drastiquement chutée, les populations se soulevèrent à nouveau, indigné de voir ces êtres artificiels prendre leurs travails. Ils refusaient de se faire remplacés dans tout, sous prétexte que les clones étaient techniquement humain, et bien plus manipulable. Bien que dans certains des pires pays, plus précisément ceux ayant donné des droits aux androïdes, la population se sois à l'inverse soulever pour défendre les droits des clones, utilisant pour prétexte qu'eux aussi étaient humains, voire même dénoncer leur création jugée "contre nature". Heureusement, un argument de Franc Lô fit tomber les protestations émises dans les pays les plus censés, refusant que les clones prennent leurs emplois. »
Une fois la phrase terminée, les images montrées à l'écran changèrent, laissant place au discours d'un homme politique dont la voix remplaça totalement la voix mécanique. Cette transition brusque du visuel au discours politique laissa Salvatoris quelque peu perplexe.
« En quoi un clone est-il différent d'un androïde, vous avez accepté de vivre avec eux, de vous marier avec eux, de les considérer comme digne de votre temps, alors qu'ils ne sont qu'à peine mieux que des animaux ! Alors en quoi de véritables humains crée artificiellement, avec des émotions, et des droit restreint, sont différent de vos androïdes ? Ce ne sont que des instruments crée pour répondre à nos besoins ! Ils ne mettront pas en péril vos vies, bien au contraire ! Ils l'amélioreront ! »
Après ce court discourt inhumain, la voix mécanique repris la parole, affichant à nouveau des images émeute, bien que celles-ci paraissent bien plus restreinte que les précédentes. Toutefois, Salvatoris avait l'impression que son estomac le brûlait. Il ne connaissait pas d'androïde, encore moins de clone, mais, l'expérience qu'il avait subie l'avait changer sans même qu'il le sache.
« Les émeutes ne faiblirent d'abord pas devant ce discourt parfaitement censé, mais la graine du doute avait été planté. Petit à petit, nombre de personnes se mirent à rationaliser, acceptant la situation aux fils des années, pour finalement trouver cela normal, voir même très avantageux. L'esclavage devenue légale via l'achat d'androïdes revint à une forme plus primitive, et profitable. Les clones étant l'égal d'un androïde, eux aussi étaient perçus comme des esclaves par nombre de pays, ainsi que leur population jouissant des avantages que cela leur apportaient. Cependant, c'est bien grâce aux clones que la seconde crise de la natalité fut également résolue. Les enfants fait avec des clones ou d'autres humains permirent une nouvelle population de jeune, et les violences, ou viol toléré par endroit à l'encontre de ces êtres de synthèse firent même augmenter la natalité dans certains pays. Bien évidemment, ce sont eux qui refusèrent naturellement de renoncer au clonage une fois la crise réglée, car tout cela leur était accessible au prix médiocre de quelque vie de clone remplaçable. Renoncé à cela aurait été une folie qui aurait causé la fin de notre espèce depuis bien longtemps. »
Salvatoris ne pouvait s'empêcher de se sentir répugner en entendant ces paroles abominable, un malaise grandissant s'emparant de lui, alors qu'un profond dégoût s'inscrivait en lui pendant qu'il se sentait frissonner. Mais c'est à cet instant que des images de champ de bataille apparurent à l'écran, contrastant avec ce qui venait d'être dit, mais Salvatoris comprit très rapidement le sens de ces images.
« Ces pays furent même les premiers à utiliser ces choses désormais impossibles à considérer comme humain durant la guerre d'unification. Le pays donnant naissance à notre bien-aimée patrie, le dictatorial d'Arès, faisait partie d'eux, écrasant ses ennemis dans cette guerre grâce à cela, en usant de clone baser sur un ADN identique, afin de permettre la distinction entre clones guerriers et le reste de la population. Ironiquement, les républiques ayant garanti droit et égalité aux androïdes et aux clones tombèrent les premiers face à leurs ennemies. Ce fut leurs idéaux hypocrites qui fit leurs gloires, et causa leurs chutes. »
En entendant cela, Salvatoris sentit une grande colère montée en lui, Il avait du mal à croire ce qu'il entendait. Chaque mot résonnant en lui comme une injustice profonde. Pourtant, il n'avait jamais vécu dans un monde égalitaire. Il vivait dans le royaume de Drac, ou le racisme et l'esclavage était des plus communs, bien que ce soit moindre comparativement aux autres royaumes, alors, pourquoi était-il si en colère ? Cependant, les images changèrent de nouveaux, affichant désormais des villes en grande partie détruite, mais paisible. La chose la plus surprenante n'était pas la destruction des villes, mais les imposants bidonvilles qui entouraient les ruines toujours habitées, et les habitant plus que pauvre qui ne semblait pourtant pas se plaindre. Au contraire, tous semblaient heureux.
« Une fois les guerres finies, et les populations stabilisées dans les États survivant à la guerre, la période la plus bénéfique à l'humanité put commencer. La transmutation moléculaire ayant pu permettre la fin de la guerre froide post-unification, le clonage fut presque entièrement stoppés, ce qui entraîna nombre d'usines à êtres démolie ou laisser en ruine, n'en laissant qu'une infime partie en fonctionnement, créant le début de notre ère. »
La vidéo était finie, pourtant Salvatoris était toujours empli de questions. La partie sur la guerre d'unification l'avait notamment laissé sur sa faim, créant ainsi une curiosité dévorante en lui. Pourquoi la voix en parlait-elle ? Pourquoi elle en avait parlé comme si tout cela était de notoriété publique et qu'en parler dans une vidéo ne parlant pas de ça, semblait naturel ? Pourquoi les villes semblent avoir régressé entre le début et la fin de la vidéo ? Pourquoi la population si riche du début était devenue si pauvre ? Salvatoris vivait dans un monde de guerre permanente, et il savait à la perfection qu'une guerre ne transformait pas une population, et encore moins un pays comme ça. Mais surtout, il se demandait ce qu'était la transmutation moléculaire.
Alors que sa curiosité semblait déborder, il parla d'une voix énergique et éteinte à la fois, alors que l'écran affichait de nouveau un choix de vidéo depuis la fin de celle qu'il regardait.
« Pénurie mondiale. »
Tout comme pour le précédent enregistrement, l'écran changea pour afficher son titre. Cette petite attente fit en conséquence naître une plus grande anticipation dans l'esprit de Salvatoris. Il devenu avide de connaissance, se demandant notamment comment ces deux crises diamétralement opposées pouvaient se suivre l'une après l'autre, et comment cet appauvrissement, c'était provoquer.
« Enregistrement numéro onze sur quinze enclencher. »
Une fois encore le titre disparu, affichant cette fois-ci des images similaires à la fin de l'ancienne enregistrement. Le centre des villes était également en grande partie composé d'imposant grattes-ciels, et la périphérie des villes montré par des vue satellite et panoramique à l'écran semblaient détruites. Plus important encore, plus l'écart avec le centre de la ville était loin, plus les immeubles devenaient décrépit, avant de céder place à des maisons devenant détruites, insalubres. De même, plus les maisons insalubres s'éloignaient, plus les habitations semblaient construite de bric et de broc, jusqu'au moment où même un bidonville semblait évoluer en comparaison de ce qui était montrée. Les gens que l'ont pouvait voir arpenté le centre de cette ville ne portait que des vêtements simples, mais la majorité ne portait que des haillons, pour ne pas dire qu'ils étaient presque nue tant leurs habille semblait déchirer.
Mais alors que les scènes montrant la pauvreté s'enchaînaient les unes après les autres, une voix mécanique refit surface des enceintes de la télévision, tout en continuant à faire défiler des images en accord avec ses paroles.
« Dans les années 2XXX, notre planète connu un événement irrémédiable, un appauvrissement très conséquent de ses ressources. Ce sont les scientifiques qui avaient créé en masse des clones, les armes qui avaient inondé le marché, la surconsommation qui régnait, ainsi que la nouvelle production en masse d'androïde, qui avait consommé un nombre conséquent des ressources de notre planète. La transmutation moléculaire n'existant pas encore, chaque pays était devenu pauvre à l'extrême. La majorité des ressources collectées à cette époque étaient en conséquence sois injecter dans l'armée, sois rediriger par les dirigeants de chaque pays. Les rivalités que possédaient déjà certains pays s'accentuèrent, chacun observant son voisin avec des yeux avide, avide de s'accaparer le peu qu'il possédait. »
Les images se stoppèrent alors, avant d'afficher de nouveau un champ de bataille, divers armes à feu, ou à impulsion, étant usé. La pauvreté se faisait sentir dans leur équipement, pourtant, ils étaient bien mieux lotis que les civils, prouvant ce qu'avait dit la voix mécanique.
« Ces rivalités et cette pénurie furent la conséquence directe de la guerre d'unification, qui poussa des pays mourant à s'affronter dans des combats sanglant et bestiaux avec tous les moyens qu'ils possédaient, y compris le nucléaire. Pour être plus précis, c'est cette menace de pénurie qui déclencha les premières guerres, la pénurie ne faisant ravage qu'au milieu de la guerre d'unification. »
Les images changèrent alors également, affichant cette fois-ci une machine très complexe, protéger dans une imposante chambre blinder. Laissant Salvatoris incrédule face à ce degré de complexité et de finition qu'il n'avait jamais vu, même dans sa vision.
« Afin de pallier à cet pénurie, les scientifiques de divers pays trouvèrent dans un court laps de temps des technologies similaire. C'est ce qui donnera naissance à la transmutation moléculaire que nous utilisons actuellement. »
Mais alors que Salvatoris essayait de comprendre comment fonctionnait cette machine, l'observant de près, l'image changea à nouveau pour afficher des batailles, mais bien différente des précédentes.
Cette fois-ci, les troupes étaient parfaitement équipées, elle ne manquait de rien, au contraire, c'était une véritable opulence. Les munitions étaient gâchées, les chars présents sur le champ de bataille tiraient à répétition leurs obus, en plus des prototypes les plus avancés tirant de faible, mais précis jet de plasma en directions des lignes ennemies. Toutefois, les images changèrent rapidement pour afficher un rapide résumer de la vidéo, suivi d'une vue des villes que Salvatoris avait vu dans sa vision, ainsi que divers hommes politiques qu'il n'avait jamais vu avant.
« La période de la pénurie ne représenta qu'un très court laps de notre histoire, mais elle là marqua pourtant de manière indélébile. Entraînant dans son sillage la guerre d'unification. Cependant, l'abondance de ressources suivant cette invention révolutionnaire et Salvatrice détruisit rapidement l'économie mondiale. Même le plus rare des métaux pouvait désormais être produite par notre simple volonté, ce qui poussa les pays ayant survécu à la guerre d'unification à s'unir pour parler d'un problème plus grand encore que la guerre : Les restrictions à mettre en place sur la transmutation moléculaire. Ce qui en résultat furent les restrictions toujours usée de nos jours, ayant préservé notre économie, ainsi que notre glorieuse civilisation. Puisse Arès être éternel. »
La vidéo s'arrêta alors. Elle était bien plus courte que toutes les autres, sans doute dû au cours laps de temps qu'elle expliquait. Pourtant, malgré sa courte durée, elle avait été très instructrice pour Salvatoris, qui essayait difficilement d'assimiler toutes ses nouvelles connaissances. Mais sa pensée dominante n'arrivait pas à trouver de conclusion.
[ Si cette civilisation avait un nombre illimité de ressource, comment à t'elle put devenir les ruines que nous connaissons actuellement ? Et pourquoi nos dieux ne semble même pas exister à leurs yeux ? Et qu'en est-il de la magie, Est-ce eux qui l'ont créé ? Ce seraient eux nos dieux ?]