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prologue

Paysage saccagé, des corps sans vie baignant dans le rouge nectar des vivants... Un enfant... Criant, sûrement terrifié par le spectacle macabre qui s'offrait à lui... Un spectacle digne d'une Liche ou d'un Faucheur... Un affrontement avait eu lieu... Et LA MORT avait de quoi remplir son registre pleinement... Tous ces corps sans vie jonchaient le sol, puant, amer et dégueulasse...

On entendait des cris, des pleurs, des supplications... Mais en vain... Revenons à cet enfant. Qui est-il ? D'où vient-il ? Que fait-il ici, dans pareil lieu au milieu de toutes ces atrocités... Tout le paysage devint noir et blanc... L'image se brouille... Des images affluent de toutes parts... Une femme fort souriante à la chevelure végétale... Elle veut tenir la main à l'enfant... L'enfant, lui, pleurant...

Pleurant tranquillement dans son berceau de lianes donnant l'impression d'avoir été tissé par la main d'un être transcendant, gardé de surcroît par un carnivore végétal titanesque, qui se rassasiait des carcasses, des malheureux... La femme se tenait droite, regardant dans le berceau avec un amour remarquable mêlé d'une pointe de tristesse... Elle fixait le lointain de manière puissante.

Des renforts arrivaient... Des renforts en masse, seule contre tous, elle s'élança dans la bataille, le regard vide... Les opposants lançaient des assauts spectaculaires... Aspis, Holons, Gastrophètes, Kopis, Sarisses, Xiphos, Chars, etc... Des myriades de flèches décochées de toute part... Des monstres végétaux se déchaînant sur toute la zone de combat... En plein carnage...

Trois autres personnages s'invitèrent au combat... Un homme aux yeux blancs électriques et à la chevelure en pic couleur gris électrique :

???: "Alors, Sylvia, tu t'amuses sans nous ? Ce n'est pas très sympathique, je trouve..." (Rire sadique) "... Mais bon, pour te remettre de ton égoïsme, laisse-moi le front Nord..."

Une femme plus calme aux yeux sombres avec des cheveux couleur crépuscule dégradé des deux couleurs fixa le champ de bataille, tout en matérialisant dans sa main gauche un arc de couleur noire avec des motifs en croissant de lune identique à celui dans son dos, visualisable par le vêtement qui laissait entrevoir parfaitement ce dos, au teint pâle… Comme la lune…

Elle dit sans distinction de manière calme à l'électrique :

" Il fait déjà nuit, la partie nord est saturée de cavaliers, de patrouilleurs et d'espions. Le terrain et le temps sont à mon avantage donc, laisse cela tu veux bien. Si tu veux d'ardues confrontations, tu peux te prendre le bataillon de l'ouest, ils arrivent…"

L'électrique fronça les sourcils et regarda dans l'horizon de l'Est à l'Ouest, mais tout était sombre, il était subjugué :

"Tu réussis à les voir dans cette nuit noire ?"

Elle lui répondit calmement en prenant de l'élan comme pour sauter très loin :

"La nuit est jour à mes yeux, la lune m'éclaire à la même enseigne que le soleil… Mais prépare-toi, la cavalerie Ouest arrive dans quelques minutes comme je te l'ai dit. Je te conseille d'aller les croiser si tu veux qu'on en finisse, prince Jupi!"

L'homme la regarda disparaître loin avec fascination…

"JUPI !!!? Ne me nomme plus ainsi. Moi Zeus… Prince ? Non, je n'aime pas trop les étiquettes ; Disons qu'on est camarade d'armes…"

Sylvia (la femme à la chevelure végétale) le regarda s'échauffer…

Sylvia : "Merci d'être venu m'aider. Je vous le revaudrais."

Zeus continuant de s'échauffer ne répondit pas tout de suite… Il prit quelques minutes pour regarder le ciel et lui répondit :

"Tu aurais fait la même chose pour nos enfants. Même s'il n'est qu'à moitié, il reste tout de même un des nôtres. Tu sais, les humains sont d'une faiblesse qui m'écœure. Ils sont à ta poursuite parce qu'ils ont eu peur, peur de ta nature. Or, tu vivais avec eux et les aidais. Ils t'ont trahi par prise de conscience de la possible emprise de ton pouvoir sur eux, et ils en veulent à ton fils parce qu'ils pensent qu'il pourrait avoir les mêmes pouvoirs. Donc, ils ne nous voient qu'en de potentiels dangers. Voilà pourquoi on vit loin d'eux. Nos pouvoirs ne pourront jamais déterminer une possibilité de paix !"

Après ces mots, le quatrième, silencieux depuis le début et effacé, il avait des cheveux couleur soufre et un regard de croque-mort. Il se prosterna devant Sylvia et lui dit, les yeux très émotifs :

"Tu es aussi une de nos souveraines, étant l'actuel Gaia. Cela fait de cet enfant un prince. Notre devoir est de le protéger tout comme vous. Tout est de notre faute de vous avoir laissé venir ici. On va en finir et retourner à l'Olympe !"

Sylvia : "(*snif) (*pleure) … MERCI !!! (*essuie ses larmes) Cette guerre est une déclaration contre nous, les DIEUX en personne. Ils devront payer cet affront… Zeus… Artémis… Hadès… PAS DE QUARTIER, MONTRONS L'ÉTENDUE DE NOS POUVOIRS, QU'ILS VOIENT LEURS ERREURS !!!!!!

Artémis au front Nord : (*sourire) D'accord, Gaia…

Hadès se précipita au front Est de la montagne d'où il était avec Sylvia et les autres. Tous les guerriers se ruèrent à sa suite.

Hadès : "Cerbères, À TABLE !!!!! Et pas de quartier comme l'a dit Gaia !"

salut!! je suits un nouveau auteur et ceci est ma premiere oeuvre. Je sais qu’il y’aura beaucoup d’erreurs et d’incompréhension mais j’essaierai de m’améliorer en même temps que mon histoire avance. Fait autant de commentaires que possible sa m’aidera.

merci

Nixonn_Duckcreators' thoughts