Chapitre 2: Parle moi Mathieu Smith

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Camila Cabello - Real Friends

" Why do I even try?"

POV: Maddy Carthers

Passé:

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Les années ont vite passé après Merry.

Je me demande si l'on peut la considérer comme l'un de mes traumatismes, j'avais quatre ans mais même à six ans, cette fille restait gravée dans ma mémoire. Depuis lors j'avais eu une petite sœur, l'on ne pouvait pas faire grande chose avec elle, elle passait son temps à pleurer.

J'étais en voiture avec mes parents, ma grande sœur et ma petite sœur qui dormait.

J'avais demandé à mes parents ou on allait, mais j'avais toujours les mêmes réponses:

"C'est une surprise, tu verra quand on sera arriver."

- On est presque arrivée, j'ai faim. 

- C'est ici, je pense Aicha avait dit que le manoir était de couleur blanche et grise

J'avais pas eu ma réponse mais au moins je savais qu'on était arriver.

L'on descendit de la voiture de mon père, ma grande sœur comme à son habitude était toujours sur son téléphone.

- Louise éteint moi ça, l'on vas voir des invitées

- Pardon maman, dit-elle en mettant son téléphone dans sa poche

Ma mère prit son téléphone et discutait joyeusement avec quelqu'un à l'autre bout du fil.

- Oui, le manoir blanc, d'accord, on est devant...

Mes yeux balayaient cette immense demeure, cette maison était très belle.

A l'entrée l'on avait un immense jardin, l'on pouvait voir d'ou j'était à quel point ce jardin avait été entretenu avec ces fleurs de toutes les couleurs qui étaient magnifiquement disposés.

Les arbres étaient taillés de sortes à ne former de magnifique forme, c'est vraiment ingénieux...

A l'extérieur ce manoir, ressemblait à ceux que l'on voyait dans les films avec des constructions anciennes mais d'un luxe inestimable.

Des pierres blanches étaient déposés a l'aller de sortes a former une allée de manière décorative.

J'ai vraiment hâte de découvrir l'intérieur !

Je sculptais toujours ce manoir, quand une femme apparu au seuil de la grande porte de ce manoir.

Une femme d'une beauté inestimable.

Elle avait un beau teint noire foncé, des yeux marron qui se reflétait même après que le soleil est disparu ce que s'associait magnifiquement avec ces cheveux afro, qui eux était tenus par un ruban d'un pagne africain rouge et vert. Cette femme étaient vêtu d'une robe en pagne qui dessinait ces formes à la perfection.

Son maquillage étaient léger et sophistiquer ainsi que ces manières. L'on pouvait voir dans sa démarche que son éducation avait été plus que réussite vu l'habilité avec lesquelles elle marchait sur ces talons.

- Aïcha !!!, cria ma mère en la voyant

- Ma tendre Lise, tu m'as manquée...

Elles se prient dans les bras quand cette dame appelée "Aicha" arriva à notre niveau, elle échangeait des salutations avec mon père qui lui aussi était joyeux de la voir.

Je comprends mieux pourquoi mère et elles étaient amies.

Elles sont semblables. 

Cette élégance, ce sens de l'affirmation, deux magnifiques belles femmes.

Elle se tourna vers moi et Louise en nous souriant.

- Tes filles sont magnifiques, c'est elle la petite dernière? dit- elle en pointant ma petite sœur du doigt

- Elle s'appelle Liyah

- Quel magnifique prénom ! Oh excusez moi, entrez je vous prie, le repas est presque près vous devez être fatiguer. Mes enfants sont à l'intérieur, les filles vous n'allez pas vous ennuyez !

- Tu as une combien d'enfant maintenant ?

- Une fille et deux fils

- Hâte de les rencontrer, ils sont tous de John ?

- Tu sais très bien que je ne quitterai jamais cette homme

- Il a bien changé je trouve...

- Enfaite ça sera notre dernière année en Côte d'Ivoire, l'on passera juste cette année scolaire, ces vacances et l'année scolaire prochaine, l'on retourne au Nevada.

- Cela semble bien triste, puis-j 'en savoir les raisons ?

- John a dit que cela offrira une meilleur opportunité au enfants

- Il n'a pas tort..

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Ce ne fut qu'après une grand et longue causerie qui accompagnait la visite de la maison, précisons que ça faisait plus de trente minutes que ces femmes papotaient, riaient et que nous les suivons partout. 

- Et encore, ce n'est que le quart de la maison, annonça l'amie de mère

Mon père se crispa à l'entente de cette phrase, je suppose que lui aussi était fatigué...

- Il reste combien de pièce encore ? demanda t-il en se stoppant dans sa marche

- Pour les pièces, je n'en sais strictement rien par contre on a encore quatre étages à voir et il y a le réez de chaussée

- Vous ne pensez pas que ces préférables d'aller manger avant tout on reprendra la visite après

- Avec plaisir, l'on descends alors

Je soufflais intérieurement quand l'on arriva enfin à la grande salle à manger.

Cette pièce était toutes aussi luxueuse que les autres pièces de la maison.

 Les chaises étaient fait de bois ainsi que la table qui fut vêtue d'une très belle nappe rouge, ma couleur préférée...

L'on n'avait des lustres qui avait des sortes de pierres précieuses à leur bords.

L'on s'y installait et des bonnes venaient en masses installées divers plats sur la table, ainsi que des couverts et tout ce qui pouvait servi durant le plat.

- Appeler les enfant s'il vous plaît, la femme aux yeux marrons venaient de s'adresser a une des servantes, j'avais oubliés qu'elle avait des enfants...

- Bien Madame, répondit la femme de ménage

Cette femme blonde empruntaient un couloir, tandis que les parents discutaient toujours.

- Enfaite et Georges, demanda mon père

- Il sera présent dans les environs de seize heures

- Mon chère mari se lassent- ils de cette conversation de femme ?

- Je me sens peu exclus..

Des que mon père eu prononcer sa phrase la même femme réapparu, avec en sa compagnie trois enfants.

Mon regard se porta sur le garçon au cheveux noires qui semblait avoir mon âge, il me regardait avec ces yeux marrons.

Il a les yeux de sa mère, sa peau elle aussi est mâte.

Les trois enfants s'approcha et prit chacun place en saluant mes parents.

La fille brune et le garçon brun me souriait chacun en me saluant de la main.

Celui au cheveux noire me lança juste un regard.

Rien.

J'essayais de lui sourire aussi, il ne répondit même pas. Assez troubler je décidais donc de ne plus y prêter attention.

J'irai le voir après.

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L'on avait finit de manger depuis longtemps, j'avais sympathisé avec les enfants de Tata Aicha, il était vraiment gentille, ma grande sœur avait passé son temps sur son téléphone et avait été grondée par mes parents.

La fille brune, elle s'appelle Zoeh et le garçon brun lui s'appelle Jordan ils sont jumeaux irlandais.

Zoeh est brune les cheveux ondulés court et les yeux d'un marron très claire, sa peu était légèrement mâte. Quant à Jordan, lui, il a la peu plus foncé et il a les mêmes yeux que sa mère. Ces cheveux sont marrons et légèrement ondulés.

Il sont vraiment gentils.

J'ai sympathisé avec eux tous sauf:

Cheveux noir

Là, ça faisait une dizaine de minute que je le cherchais dans leur grand jardin car il a quitté la table dès qu'on eu finit de manger.

J'en profitais pour visiter ce jardin majestueux.

Des roses rouges

Je m'en approchait car c'est l'une de mes fleurs préférées.

- Attention, n'y touche pas ça toi !

Une voix de jeune garçon venait de m'interrompre dans mon élan d'aller à la rencontre de mes fleurs préférées.

- Pourquoi, je n'en n'ai pas le droit ? 

Je me retournais pour faire face au petit garçon qui se tenait maintenant en face de moi.

- Ce sont mes fleurs

- Je veux juste toucher les roses 

- Justement il n'y a qu'elle qui m'appartienne

- Désolé...

- Pourquoi tu t'excuses ?

Je ne lui répondis pas.

Je le fixais.

Je n'avais pas envie de parler, cette fois-ci.

Car je n'avais pas réponse à sa question.

- Si tu ne réponds pas j'y vais

Je le voyais se diriger vers l'autre côté., j'étais dans l'impartibilité d'aligner les mots.

Je ne connaissais pas le chemin du retour, j'avais peur de perdre.

Il s'éloignait.

Et je ne dis toujours rien.

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Je ne sais pas combien de temps j'étais rester ici, mais le ciel devenait orange et le soleil commençait à se coucher.

J'avais laisser ce garçon partir et maintenant j'étais perdu, et personnellement.

Je déteste cet aspect de ma personnalité.

Maintenant j'étais là depuis un long moment à me promener dans ce grand jardin, j'avais finis par me perdre.

Il commençait à faire froid, et j'avais mal au pied surtout j'avais dû mal à tenir sur mes jambes. J'avançais très lentement et j'étais fatigué si je lui avais parlé il m'aurai aider.

Je sers vraiment à rien.

Si je n'étais aussi stupide je me saurai pas perdu, si j'avais parlée...

Si j'avais osée...

Mes parents doivent vraiment être inquiet.

Je commençais à avoir du plus en plus de mal à avancer, mon corps était lourd et je me laissais finalement tombé.

J'atterris à quatre pattes et je me suis mise à pleurer alors que je repliais mes genoux sur moi même.

J'ai peur...

- Maddy ?

Je pleurais toujours, alors que j'entendis la voix de ce garçon m'appelé.

- Tu es ou ? Tes parents m'ont dis de venir te chercher

Je ne répondis pas lorsque je sentis quelqu'un s'approcher, de moi.

- Pardon...

Je n'avais pas envie de parler.

- Je suis désolé, je savais que tu pouvais te perdre mais je ne t'ai pas attendu.

Rien j'avais aucune réponse.

- Ne pleure pas à cause de moi s'il te plaît

Il me prit dans ces bras alors que je le repoussais violemment.

Un reflexe.

- Ce...n'est pas de ta faute...