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Premier cour

Que c'est un plaisir le sommeil, mon dieu, je ne me rappelais plus que ça faisait autant du bien. Juste de laisser ton esprit divaguer et tes rêves se faire inspirer par la réalité. Évidemment, cela est bien vite détruit par un appelle qui vient je ne sais d'où.

- Jake William est attendu au bureau du directeur, je répète, Jake William est attendu au bureau du directeur.

Putain, je me tortille sous mes couvertures ne voulant pas me lever. Pourquoi je dois allé voir ce directeur alors que je suis si bien dans mon lit ? Après une minute, je décide de me lever. Va se brosser les dents dans la salle bain et puis essayer de trouver du nouveaux linges, mais il n'en a pas. Je me dirige vers la porte et l'ouvre, des élèves se baladent. Ils ont ce qui ressemble à un uniforme, au moins, il est beau. Vert avec des stries bleus ainsi qu'un dessin d'aile dans le dos. Mais bon, ce qui me dérange, c'est la porte 3580 devant. Elle n'était pas là hier. Je regarde à gauche et à droite et vois qu'il y a plusieurs portes dans le couloir. Je vais arrêter de usé de mon cerveau pour trouver une explication, mais j'interpelle plutôt un élève qui se balade dans le couloir.

- Hey, peut tu me dires où est le bureau du directeur, merci.

Il me regarde comme si je disais du charabia, mais répond finalement.

- Toi, t'es nouveau ?

- Ouais c'est ça.

- Bon écoute, j'ai pas trop le temps, imagine ta destination et marche.

Après avoir dit ces mots nébuleux, il s'en va presque en courant. Bon.... on va demander à quelque d'autre et hein... Il n'a plus personne dans le couloir ? Ok... on va essayer faire avec ce qu'on a. Imagine et puis marche. J'imagine une pièce avec des tableaux des ancien directeurs, un bureau et le directeur. J'ai vraiment l'air d'un con planté dans le couloir. L'image en tête, je commence à marcher. Et je marche et je marche, parfois je tournes à gauche ou à droite, je refais demi-tour. Jusqu'à ce que je tombe sur une porte différente des autres, un ornement d'aigle inscrit sur elle. Qu'est ce que ça peut dire, j'en n'est pas la moindre idée.

 J'ouvre la porte et j'entre. La pièce est très simple, un seul tableau accrocher au mur représentant un homme, un bureau avec un homme assis derrière celui-ci et une chaise en avant de celle si. Je décide d'inspecter l'homme. Cheveux noir, porte des lunettes, il écris quelque chose et le tous dans un silence pesant. Il semble être une personne normale, rien de particulier. L'instinct m'empoigne et je décide d'ouvrir mes '' yeux ''. Rien, absolument rein, pas le moindre fil dans la pièce ni autour de l'homme. C'est là que je comprend la gravité de la situation, pas un fil veut probablement dire que, soit qu'il n'en a pas ou soit qu'ils sont cacher. Pour ça, il faudrait un incroyable pouvoir et une forte volonté pour les contraindre.

L'homme lève les yeux vers moi, d'un noir profond.

- Jake c'est ça, tu peux t'assoir.

Je m'avance et m'assit sur la chaise comme si j'étais assied sur des aiguilles. Son regard me transperce et m'examine. Et pourtant, il ne semble pas menaçant.

Excuse moi, dit il en rétractant son regard, ce n'est pas tous les jours que nous voyons une personne du passé.

- Aucun problème, j'y suis habituer et j'ai vu pire. L'image de George me vient en tête.

- Très bien, donc bienvenue à Vinegard, tu es en début de semestre et les cours de l'avant midi sont terminé, car je t'es laissé dormir. On va faire vite, j'ai d'autre rendez vous, tu vas recevoir ton planning de semaine en fin de journée ainsi que l'uniforme et du nouveaux linge. En ce moment, tu es en pause diner et tes prochains cours sont le cour de joueur de mot et celui de l'analyse des bête. Des questions ?

Je suis un peu perdu à cause de la vitesse qu'il parle, mais j'ai compris et j'ai une question qui me dérange.

- Pourquoi l'aigle ?

- Pourquoi quoi ? dit il d'un ton interrogatif.

- Pourquoi l'aigle sur votre porte ?

- AH bonne question, dit il en riant, parce que l'aigle représente intelligence et sagesse, des qualités qui me décrivent à la perfection.

Je ne sais pas si il est juste narcissique ou si il est vraiment intelligent et sage. Il semble remarquer mon désarrois, puisqu'il arrête de rire et reprend la parole.

- Reprenons, tu dois avoir faim non ?

Maintenant qu'il le dit, je meure de faim. 

- Oui.

- Ne t'inquiète pas, avec mes puissants pouvoirs, je vais t'envoyer directement à la cafétéria en un rien de temps.

Il lève la main et claque des doigts. Des fils violet apparait soudainement autour de moi et tourbillonne à grande vitesse. Je n'ais pas le temps de réagir que je suis téléporté.

 Le directeur regarde Jake qui vient de disparaitre et retourne à son écriture. Si Jake était plus attentif, il aurait pu lire la feuille. Un poème d'on le titre est '' Ma grandeur ''

J'atterris devant l'entrée, j'ouvre celle-ci et j'entre dans la cafète. La salle est bondé, il y a plusieurs grandes tables qui sont remplit et je vois beaucoup d'élèves faire la file devant un Contoire. Celui-ci est remplit de victuaille diverse et que je ne connais pas. J'entre dans celle-ci et j'avance quand c'est le moment. J'arrive finalement devant le Contoire et prend une assiette que je remplis de nourriture. J'arrive devant la caissière qui me dit

- Cela fera 10 point.

- Hein ?

- 10 point pour la nourriture et si vous ne... attend c'est bon, tu peux y aller.

Je ne savais pas qu'il fallait payer, mais on dirait qu'elle a reçu un message comme quoi j'étais nouveau. Je vais dans le coin de la pièce et commence à manger, lorsque Luna apparait et me demande.

- Veux tu que je t'explique les plats ? dit elle d'un ton hésitant

- Ouais, pourquoi pas.

Elle virevolte de joies et commence à expliquer les plats

- Alors ce que tu viens de prendre s'appelle un pâté de chinan ensuite il y a ...

Je finis mon repas tous en écoutant Luna parlé, ensuite je vais porté mon assiette sur une des tables que les élèves ont déserté. Je sors de là et marche, j'imagine vers mon premier cour, mon cour de joueur de mot. Après avoir imaginé et marché, j'arrive devant une porte qui j'avoue en impose. Un homme debout sur une falaise et devant celle-ci s'agenouille des élémentaires. La scène est glorieuse, mais cela ne m'empêche pas de rentrer. Je suis surpris par notre nombre, en tous, dans la pièce, nous sommes 6. 5 élèves en incluant moi et un professeure. De plus, les élèves me regardent avec un regard noir. Je sens que le temps va être long.