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Dispute

Athéna 

Il me regardait d'un air menaçant, comme s'il allait me mettre en pièces. Mais soudain, sa colère s'est évaporée et il m'a embrassée passionnément. Si tendrement que j'en eus le souffle coupé. Je ressentis un léger vertige et un étrange chatouillement. Je suis tombée sous son charme, et il a souri. 

- Douce Athéna! Tu as besoin d'être caressée plus souvent! 

- Qui vous a laissé faire ? 

- Pauvre chérie, tu ne fais pas l'amour, alors tu es en colère ! moqua-t-il de moi . 

- Je le répète ! Laissez-moi tranquille ! tirai-je sur la poignée, mais elle n'a pas bougé. 

- Je ne suis pas votre prisonnière,connard ! 

- Tu as tort, Athéna. Je te baiserais jusqu'à ce que tu sois affamée. Rendez-moi les clés ! dit-il de manière grossière. 

- D'abord, sors de notre village ! 

- Attention, belle, je peux te mordre la gorge ! montra-t-il sa vraie nature. 

- Faites peur à qui vous voulez. Vous vous croyez plus fort parce que vous êtes plus riche ? 

- Je gagnerai quand même, une fille nevreuse ! Je me fiche de leurs larmes, de leurs souffrances, dit-il d'un ton sec. 

- Sans âme ! Je souhaite que vous finissez sur le sol humide et froid et que vous passez la nuit sans couverture chaude ! 

- Donne-moi les clés et au revoir. Dis à ton amant, Athéna, qu'il ne te satisfait pas bien. Puisque tu es toujours en train de gronder ! 

- Sale bâtard ! m'élançai-je pour le frapper, mais il prit négligemment la grappe des clés.

J'ai eu des pensées terribles, il n'aurait aucune pitié. Pendant que je travaillais, je réfléchissais aux moyens de lui faire du mal. Il est du genre pointilleux, il voulait notre terre. Je suis rentrée à la maison avec mes sacs pleins. Papa avait à peine atteint la cuisinière. 

- Pap, il ne faut pas aplliquer tes efforces!

- Pourquoi devenir un fainéant ? voulait -il faire la vaisselle, Il y a beaucoup d'agitation dans le village. Je ne sais pas ce qu'ils racontent ! 

- Un millionnaire a acheté notre village. Maintenant, ils nous expulsent comme des rats. Où va le monde ? 

-Laisse-moi, Athéna ! Va à la ville. Ici, tu mourras avec les invalides ! dit-il avec chagrin. 

- Foutaises ! Nous avons vécu ici toutes ces années ! 

- Athéna ! Quand l'argent est en jeu, il n'y a pas de règles ! ferma-t-il le robinet et pris une serviette. Mon visage est pâle, je ne peux pas être nerveux. 

- Je ne t'abandonnerai pas. Monsieur sans cœur, il va regretter de s'être frotté à nous ! me mets-je à préparer le dîner. 

Mais au fur et à mesure que la soirée avançait, il faisait très froid. Il fallait que je cherche du bois de chauffage, je me suis souvenue des souches qui avaient séché. Et pendant que je les chargeais dans la charrette, l'ombre familière d'Adam le puant s'est levée. 

- La pauvre, tu travailles beaucoup. 

- Dites-moi, vous n'avez rien de mieux à faire ? Vous aimez me malmener, Мonsieur Salaud? 

- Ma belle demoiselle! Je me débarrasse des cafards. Je vais bientôt démolir toutes les ordures ! Vous allez perdre votre terre ! l'a dit-il comme ça, sans même un muscle sur son visage arrogant.