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Elle est ma propriété

Auracio

Aux secours,aidez moi, lâche moi imbécile,bas les pattes, Mr Smith à l'aide.

- Mr Ferrari s'il vous plaît pouvez pouvez trouver un terrain d'entente, si elle ne veut pas partir.

- Ne vous mêler pas à ça John, c'est entre elle et moi.

- Mais c'est sur mon territoire.

- Alors considérez que je vous en dois une.

- très bien je ne l'oublie pas, mais si vous n'arrivez pas à la gérer je suis preneur.

- Cela ne risques pas d'arriver, merci pour l'hospitalité.

- Faîtes bon voyage, et amusez-vous bien.

- Merci, mais tu n'es pas invité.

- Je sais.

Je monte avec elle dans mon Jet,la chasse a été bonne.

- Mais qu'est ce qui te prend ? Tu n'as jamais fais cela auparavant. Ce n'est pas les femmes qui te manquent, elle te court tourtes après .

- Mais pas celle là et la veux, et je l'aurai. Quand j'en aurais fini avec elle, elle seras comme les autres.

- Je vous entends espèce d 'ignare, je ne vous appartiendra jamais vous m'entendez jamais, Misérable.Marianne où es-tu ?

- Je suis là, calme toi ma chérie,on va trouver une solution, vous allez vous entendre , allé calme toi d'accord ?

- Quoi ? M'entendre avec cet imbécile, ça jamais ,never,never,never, do you understand?

- Risparmia le forze per dopo, ne avrai bisogno ( garde tes forces pour plus tard tu en auras besoin) je lui dis avec un sourire carnassier.

- J'ai beaucoup beaucoup d'exigence au lit.

Je l'installe la chambre du Jet et lui montre l'armoire.

- Change toi,il y a des vêtements à ta taille. Tu peux te reposer avec ton amie ici.

- Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi, et je n'ai pas l'intention de porter des habits appartenant à tes maîtresses.

- Je n'ai pas de maîtresses.Aucune femme n'est assez importante pour l'être.

- Ou peut être que tu n'en vaut pas la peine.Tu es tellement misérable qu'elles te fuit.

- Ces vêtements sont neufs , personne ne les a porté, tu peux les porter, je les ai payé pour toi

- Je ne veux rien te devoir.

- Je connais un bon moyen pour que tu t 'acquitte de cette dette, dis-je en parcourant son magnifique corps des yeux.

- Tu peux toujours rêver espèce de pervers. Ce corps appartiendra à celui qui me respectera pas un impertinent comme toi.

- Hahaha.... hahaha j'éclate de rire,tu es vraiment rafraîchissante , je n'ai jamais autant rire de toute ma vie.

- Je peux toujours être un clowns à ton service pour payer ce que je dois, Salauds.

- J'ai l'impression que tu veux toujours avoir le dernier mot, sache qu'avec moi ce ne serait pas le cas.

- Abrutis

Je me rends prêt de mon second pour un débriefing de notre mission.

- Comment à tu trouvé le sanguinaire et ses hommes ?

- Il est très professionnel, organisé, j'ai apprécié de travailler avec eux.

L'hôtesse est passée nous demander ce que nous voulons boire, elle me regarde avec des yeux aguicheurs, pensant que nous allons baiser ensemble encore, mais je ne ferai pas cette erreur une nouvelle fois, je n'ai pas apprécié la première et la seule fois où nous l'avons fait, elle est trop large,moi qui ai un gros gabarit je suis rentré en elle sans frein, j'aurai voulu tout arrêter mais , je ne pouvais pas entrer et sortir sans éjaculer. C'était une mauvaise expérience. Je ne le referai plus, Ho non.

- Apporte-nous un vodka...heu Marianne ?Vous prennez quelques chose à boire ?

- Je voudrais un jus de fruits s'il vous plaît.

L'hôtesse part nous chercher à boire.

- Marianne, je voudrais que tu te sente à l'aise avec nous, nous ne Ferons pas de mal à moins que tu ne parles à quelqu'un de ce que tu verras là-bas quand nous serons en Italie. J'espère que vous me comprenez ?

- Oui monsieur, je vous comprends, je ne verrai rien et je n'entends rien de ce qui ce passera là-bas.Vous êtes italien ?

Oui, je suis Italien et le patron de la mafia italienne.

- Hooo mon Dieu, dans quoi Ariane nous à mis.Je vous en prie ne nous faites pas de mal, ne nous tuez pas,je m'excuse pour le comportement de mon amie, elle n'est pas aussi provocante d'habitude, S'il vous plaît pardonnez lui et laissez nous partir,je vous en prie.

Elle se met en genou,les larmes aux yeux,les mains jointes.

- Je vous en prie.

- Levez vous, vous n'avez rien à craindre comme je vous l'ai dit, mais je n'en dirais pas autant pour votre amie, elle a besoin d'être éduqué, elle est trop insolente, je vais lui apprendre les bonnes manières.

L'hôtesse envoie notre boisson, nous prenons chacun des gorgés.

- Mes parents sont riches, dites moi combien vous voulez comme compensation et ils vous feront un virement à la minute.

- Ma toute belle,ce n'est pas une question d'argent, j'en ai en ne sais plus quoi en faire, c'est une question de respect, vous comprenez ?

- Vous nous laisserez partir si elle s'excuse ?

- Bien sûr que non, je vois que vous ne comprenez pas bien : Elle est ma propriété maintenant et jusqu'à ce que je me lasse d'elle. vous comprenez maintenant ?

Je le dis avec véhémence pour qu'elle sache que je les laisserai pas partir avec quelques excuses à la con et de l'argent.

l'argent je n'en ai pas besoin, car je suis multi milliardaire, et les excuses je m'en branle, c'est elle que je veux, je l'ai entre les mains et je l'a garde, elle m'appartient , elle est à moi, à moi et seulement moi à personne d'autre. C'est mon nouveau joué jusqu'à ce que je m'en lasse , alors je pourrai l'a libérer.D'ici là elle est ma propriété.

Elle se rassoi dans le fauteuil, apeurée, buvant à grosse gorgé son jus de fruits.

Mon second me regarde et secoue la tête :

- Vas y doucement avec elles, elles ne connaissent pas notre monde,je te connais,tu voudras la casser la qu'elle t'obeisses ,mais on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre.mademoiselle vous pouvez rejoindre votre amie dans la chambre, essayez de vous reposer, d'accord ?

- Oui merci monsieur.

- Cette petite m'a manqué de respect à plusieurs reprises, elle m'a giflé, injurié, et veux que j'y aille doucement ? bordel,ce n'est pas possible, je vais lui faire ravaler tous ces mots et cette gifle, elle va regretter d'avoir croisé ma route.

- Quoi, elle a osé te gifler,merde, elle vient de creuser sa tombe. Mais pour sa défense elle se sait pas qui tu es.

- Peu importe , je vais fermer un peu les yeux, la soirée était rude.

- vous n'avez même pas encore couchés ensemble que tu es déjà épuisé ! Qu'à t-elle fait à mon ami , que ce passera-t-il quand vous allez passer à l'acte ?

- Ferme-la , toi.