chapitre 13

Regard amoureux

Roubi

j'arrive pas à croire ce qui m'arrive ,

mes oncles les frères de ma mère ,ils me tirent mes cheveux et me font tellement mal j'arrive pas à me défendre ma tante essaie de m'aider mais elle n'a pas assez de force pour ça

je hurle de douleur mais ils ne m'écoutent pas

mais soudain je ne sent plus leur mains sur mes cheveux , ils ont arrêté

je me retourne je vois un homme qui les donne des coups poings qui les mettent à terre, je reconnais l'homme qui m'a sauvé ,oui je le reconnais ?

il se retourne pour me regarder

oui c'est bien lui il est tellement beau et tellement grand, j'arrive même pas répondre à ses questions , juste à le regarder

l'homme : Roubi ça va? tu n'as rien ? c'est qui ces hommes ?

tante kadi : c'est ses oncles !

Roubi : oui oui c'est mes oncles

Tonton Aliou : on va porter plainte

Roubi : enh oui aller porter plainte ! aller !

vous n'avez même pas honte de vous en prendre à votre propre nièce celle à qui la mère est votre sœur décédé y'a juste quatre jours

vous pensez que je ne savais pas tous ce que vous avez fait subir à ma mère ?

à cause de vous mon grand père à chasser ma mère de sa maison et la déshérité et mon grand père est mort fâché contre ma mère par ce que vous l'avez accusé de votre faute

oui je sais tout vous avez voler deux millions de grand-père et vous avez accuser ma pauvre mère qui a l'époque ne pouvait pas se défendre car vous avez fait en sorte qu'elle soit accusée !

pourquoi ? par vous étiez jaloux d'elle

oui mon grand père le préférait plus que vous et par ce que vous n'avez pas la même mère !

ma mère était la seule fille de sa mère qui est morte en mettant ma mère au monde...

vous n'avez pas eu pitié d'elle !

et quand elle a rencontré mon père ils se sont mariés et ont travaille ensemble dur pour construire cette maison

aujourd'hui qu'elle n'est plus là vous vous présentez comme les frères idéal alors que non

je connaissais déjà votre vrai visage. c'est juste j'ai été élevé par une personne qui m'a appris à respecter les aînés même si je sais qu'ils ne mérite pas je dois les respecter quand même ...

et vous vous êtes dit que la mère est morte

on prendre la maison le vendre et partager l'argent

aaahhh ( rire) vous avez oublié une chose : je suis là fille de ma mère mais je ne suis pas ma mère !!!

je préfère donné cette maison en offrande à quelqu'un d'autre que de vous les donner...

Tonton Aliou : de toute façon on ne veut plus de cette maison maudite !

Tonton Djibi : oui c'est une maison maudite !

Roubi: les maudites c'est vous deux ! vous passez votre vie à escroquer les gens, pourtant tout les personnes de votre générations on maintenant leur propre maison des champs où cultiver sauf vous deux

Tonton Aliou : ça suffit !!!

il lève la main vers mon visage mais pour me sifflet l'homme l'arrêt

L'homme : sortez de cette maison !! aller dehort!!

ils décident enfin de partir de la maison

je me retourne vers ma tante , et je commence à pleurer sur ses épaules

ma tante kadi : ça va ils sont partis ; tu t'es bien défendu, arrête de pleurer ta mère est fière de toi

l'homme : désolé d'avoir entré dans la maison sans prévenir, je voulais m'excuser pour l'autre jour, j'étais partie sans te prévenir...et t'apporter aussi mes sincères condoléances

Roubi : encore une fois vous m'avez aidé merci monsieur !

l'homme : moi c'est Malick ! Malick Hanne

Roubi: enfin je connais votre nom, j'avais oublié de vous le demander l'autre jour, enchanté

tata c'est ce monsieur le seul qui avait voulu m'aider à payer l'opération de ma mère mais malheureusement on est arrivé trop tard

ma tante kadi: tu n'es pas le fils de Monsieur Cheikh Hanne l'homme qui habitait à l'entrée du village ?

Malick : oui j'étais mon père

tante kadi : vous êtes identique, c'était un homme d'un grand gentillesse

roubi : enh vous vous connaissez ?

tante kadi :non je connaissais son père et un peu sa mère aussi, je me rappelle d'elle aussi

c'était de bonnes personnes

Roubi : enh bon ! assisiez vous

Malick Hanne : merci

tante kadi : ok je vous laisse seul , je vais allé me promener un peu avec Amadou

Roubi : d'accord à tout à l'heure

Roubi : et toi vous voulez un peu d'eau ?

Malick Hanne : non merci, et ces hommes c'est tes oncles ?

Roubi : oui les seuls oncles que j'ai du côté maternel

Malick Hanne : et ils voulaient que tu leur donnes les papiers de la maison ?

Roubi : oui

Malick Hanne : et celle qui vient de sortir c'est ta tante ?

Roubi : oui ma tante kadi la sœur de mon défunt père

Malick Hanne : et toi ça va ?

Roubi ; ça va bien merci

à suivre....