Je me dirige vers la porte de sortie, voulant ouvrir et partir de cette chambre. Je me heurte à un grand torse musclé en levant les yeux ! Le voilà encore face à moi !
Tayleur : Tu vas où ?
Lunea : Euh, je vais ....
Tayleur : Demi-tour !
Lunea : Si vous le désirez, mon seigneur !
Je me mets en plein milieu de la pièce et je le regarde. Son odeur est revenue envahir la pièce. Mon corps se remet à trembler.
Tayleur : Mange !
Lunea : Je n'oserai pas, mon seigneur !
Tayleur : Je t'ai dit de manger ! Et appelle-moi Tayleur !
Je reste scotchée par sa réponse ! Je n'ai même pas bougé de ma place, je le regarde fixement. Mais il est bien au courant que je suis une esclave ! et qu'on ne manque pas de respect en appelant un haut gradé par son prénom.
Tayleur : Tu veux que je te le répète ? Ou vas-tu venir manger ?
Lunea : Oui !
J'accepte et je me dirige vers le plateau garni. Il y a de tout dessus, des choses que je n'ai jamais encore mangées !
Tayleur : Tout est pour toi !
Lunea : Comment ? En êtes-vous certains ? Mon seigneur, je ....
Tayleur : Je t'ai dit de m'appeler Tayleur !
Il me dit ça avec son regard perçant. Il est d'une beauté extraordinaire, ses yeux sont magnifiquement perçants. Je commence à me sentir mal à l'aise. Mais mal à l'aise, parce qu'il me fait de l'effet ! Je prend timidement une bouchée de cette magnifique nourriture qui me fait palpiter la langue et me fait tourner mon estomac de joie .
.... Tayleur....
Après avoir appelé du personnel pour lui préparer un bain et la mettre à l'aise, je suis rentré de nouveau dans la chambre. Elle dormait toujours. Je suis allé vérifier ce qu'ils ont fait et, en sortant de la salle de bain, la voilà dans la chambre. Mes yeux ont parcouru tout son petit corps. J'ai eu l'effet d'une bombe quand mon sexe a commencé à monter. Cette fille me rend fou, à peine si je la connais ! Je ne m'attendais pas à son réveil, je pensais qu'elle allait encore dormir. En la voyant bouger partout avec son corps dénudé, la chaleur m'a pris des orteils aux cheveux. Comment est-ce possible ? Aucune fille ne m'a jamais fait d'effet à ce point. J'ai déjà eu des parties de jambe en l'air, même des orgies, mais je n'ai jamais eu d'effet comme ça. L'effet compagnon, on m'en a parlé, on m'a dit que c'était puissant, très puissant ! Mais après le marquage... La louve et le loup se marquent avec une morsure au niveau du cou. Cette marque est à vie, aucun mâle ni femelle après un marquage ne pourra venir défier le compagnon ! C'est quelque chose de sacré chez nous. Mais je ne pensais pas qu'il y aurait de l'effet aussi avant la marque ! C'est peut-être juste une envie de baise après tout. J'essaie de renier du mieux que je peux l'envie de la prendre de tous les sens possibles et imaginables. Je sors de la pièce et je la laisse faire ce qu'elle a à faire. Il faut que je sorte prendre l'air ! Au plus vite. J'ai enfin pris le temps de me calmer quand je remonte et je la vois déjà en train de vouloir s'enfuir ! Ah non, ma belle, tu vas rester ici avec moi. Je lui propose de manger et je la regarde. Je suis totalement sous l'hypnose de ses petits doigts prenant les bouchées de petits pains, les mettant dans sa bouche. On dirait de la sorcellerie. Je secoue la tête pour remettre mes idées sales en place.
Tayleur : Comment es-tu devenu esclave, Lunea ?
Elle me regarde avec ses yeux bleus, je vais succomber à force. Mais, grand guerrier que je suis, je peux faire face.
Lunea : Pourquoi voulez-vous savoir, mon seigneur... enfin, Tayleur ?
..... Lunea .....
À chaque bouchée du repas, je prends goût. Je sens que je suis regardé, j'ai honte de croiser son regard. Je peux le sentir me fixer, ses yeux se posent sur chaque partie de mon corps. Il est juste en face de moi, les mains croisées. Et là, j'entends les premières questions.
Tayleur : Comment es-tu devenu esclave, Lunea ?
Je prends quelques minutes avant de lui répondre. De toute manière, il va vouloir me tuer. Avec tout ce qu'il m'a offert avant ma mise à mort, sinon c'est impossible qu'un haut gradé puisse offrir tout ça gracieusement à une esclave. Même regarder un esclave, on a toujours été des parias pour eux.
Lunea : Pourquoi voulez-vous savoir, mon seign.. enfin, Tayleur ?