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The Omnivers is mine

Il y a plusieurs types de monstres qui me font peur : des monstres qui causent des problèmes sans se montrer, des monstres qui enlèvent des enfants, des monstres qui dévorent des rêves, des monstres qui sucent du sang... et puis, des monstres qui ne disent que des mensonges. Les monstres menteurs sont une véritable nuisance : ils sont bien plus rusés que les autres. Ils se font passer pour des humains même s'ils n'ont aucune compréhension du cœur humain ; ils mangent même s'ils n'ont jamais eu faim ; ils étudient même s'ils ne s'intéressent pas aux universitaires ; ils cherchent l'amitié même s'ils ne savent pas aimer. Si je devais rencontrer de tels monstres, je serais probablement mangé par eux... car en vérité, je suis ce monstre.

Atsyl · Andere
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1 Chs

Prologue

Au coeur de l'Omivers, dans un endroit ou le temps et l'espace n'existaient pas mais, qui reliait différant monde se trouve une Orbe qui éxistait toujours et continuerait a éxister meme alors que le temps se faneraient. On pourrait meme dire que cette Orbe était comme un coeur qui pulsait doucement, malgré le fait qu'elle n'était pas tangigle. Un instant un vortex est apparu et recracha une Sphere d'une lumière vaguement frémissante, comme si d'un insant il pourrait s'éteindre dans le silence qui était quelque chose de complètement normal dans ce Vide, ou rien ne peut éxister.

On ne sait combien de temps s'est passé, parceque le concepte du temps, ou plutot aucun concepte que ce soit, n'éxistait dans cet endroit, avant que le Sphere et l'Orbe ne commence a pulser ensemble comme si c'était deux coeur qui battait de facon simultanée comme si elles ne fesaient qu'un.

Puis un autre changement est arrivé, lorsqu'elles ont commencé lentement à être signalées vers les autres comme si une traction invisible et inévitables les conduisaient.

Lorsqu'elles ont fini de fusionner, tous ce qui restait a leur place, c'était une jeune femme endormie dont la bautée ne pouvait etre mésuré dans une position foetal, le visage tourné vers l'éxtérieur, vetue d'une longue robe, qui flottait autour d'elle ainsi que ses long cheveux d'un blond scandinavie tres clair.

Un instant plus tard elle disparut sans bruit comme si elle n'avait pas éxistée, l'endroit retourna a son calme, comme si rien n'avait troublé la paix, si ce n'était la disparition de l'Orbe.

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