Conférence de presse
La nouvelle que Sai avait accepté une conférence de presse se répandirent dans tout le pays et même au monde, après tout que le numéro se trouve être par la même occasion le plus grand criminel du pays en question n'était pas quelque chose à ignorer. Pendant se temps là, Sai était tranquillement chez lui, à regarder les clown à la télévision, ses ennemis quand à lui pensait qu'il avait finalement cédé à la pression du public. Pour un personne voulant devenir Héros avoir le public se retournant contre lui était quelque chose de très dur à vivre, malheureusement pour eux, il ne savait pas que Sai n'avait même jamais désiré être un Héros !Quelques jours après la déclaration, le jour de la conférence de presse était arrivé. Sai monta dans une voiture qui l'amena à l'endroit ou avait lieu la conférence de presse, Rumi était à côté de lui alors que sa mère était chez elle, il ne voulait pas l'exposer à ce déféremment gratuit de haine, son petit frère quand à lui était retourné en cour, il ne comprenait toujours pas pourquoi son grand frère pouvait être Héros et Vilain en même temps.Sai regarda Rumi à côté de lui « Tu sais tu n'était pas obliger de venir avec moi, je comprendrais très bien si tu décidais de ne pas venir, pour ne pas démolir ta carrière de Héros durement construite ici, je n'aurais quand même pas moins bien penser de toi. »Rumi à secoué la tête, remuent par la même occasion mignonnement ses oreilles tout en resserrent l'emprise de sa petite main dans la sienne « Non, j'ai déjà regretté une fois, alors je ne referais plus cette erreur, si ma carrière est terminée alors c'est tout. De toute façon, je ne suis devenue Héroïne que pour me battre légalement. » Rumi lui fit un magnifique sourire.Sai rit « Hé, ce n'est pas une réponse très héroïque ça. »Rumi gloussa « Au pire, je deviendrai seulement une Vilaine pour pouvoir taper sur des Héros et ont sera en cavale tout les trois. »Sai n'a pas pus s'empêcher de rire en entendant ça et si ses politiciens corrompus les avaient entendu, alors ils auraient eu des sueur froide, le numéro 1 et la numéro 5 s'allient dans le mal pour taper sur leur Héros ... Sai posa sa main entre ses oreilles et la caressa, ce qui fit presque ronronné Rumi à son toucher.Durent la semaine après avoir éclaircis les chose entre eux, il ne s'était rien passé de fou, mais Rumi venait par moment le voir pour quelque contacte de se genre, il avait rapidement trouvé son point faible qui était la caresse entre deux oreilles, avec ça peu importe que Rumi soit boudeuse, en colère ou déprimé, elle devenait aussitôt docile. Une arme secrète dont il ne fallait pas en abuser ... Mais de qui ce moque ton ? Il en abusait tout le temps, bien évidement.Sai était vraiment heureux qu'il se soit plus ou moins remis ensembles et surtout que Rumi n'avait pas une vision aussi étroite que son petit frère, sinon sa serait probablement dure pour elle dans certain monde.La voiture s'arrêta et Sai demanda « Près à être sous les feu des projecteurs Madame ? »Rumi roula des yeux et attrapa la main qu'il lui tendit, pendant se temps la Lucy claquer son petit pieds de mécontentement sur son épaule et Sai gloussa et demanda la même chose à Lucy ce qui la fit sauté de joie.« Sous les feu des projecteur ? Plutôt brûler sous les projecteur. » Rumi lâcha une pique en se moquant de lui, ce qui n'était pas faux puisque c'était quasiment un procès publique là.« J'écraserais tout ceux qui voudrons te faire du mal ! » Lucy cria mais seule Sai et Rumi pouvait l'entendre, Sai sourit et caressa le petite tête de sa mandragore sauvage.« Malheureusement se n'est pas un bon idée, c'est mon monde principale, alors évitons de faire de moi un meurtrier de masse, mais je n'ai aucun doute qu'un jour ou l'autre ont tombera sur un monde remplis de trou du cul, tu pourras alors faire ce que tu veux. »Sai lui dit en lui caressant la tête et elle sautilla de joie, Lucy n'aimait vraiment pas les humains, au point ou si Sai lui demander de raser un petit village d'un monde sans pouvoir, il était sur que cela ne lui ferrait ni chaud ni froid. Certains pourraient penser qu'elle avait un certain talent pour devenir une psychopathe, mais ce n'était pas le cas, c'était juste que pour Lucy les Humain ne représentait déjà rien à l'origine.C'était comme demandait à un Humain s'il avait de l'empathie quand il écrasait le moustique pour que celui-ci ne le pique pas, c'était la même chose. De base, Lucy n'avait de sentiment n'étant ni positif ni négatif envers les Humains. Cependant, entendre les crie télépathique de vos sœurs pendant 30 ans ... pourrait changer même l'être le plus pur en Démon vengeur. Mais malgré tout ça Lucy avait tout de même réussi à rester un être pur, elle n'aimait pas les Humains, mais pas au point de les tuer à vue ou d'élaborer un plan machiavélique pour tous les extrémités. À sa place, Sai ne savait pas s'il aurait pus garder sa santé mentale et rester aussi gentille qu'elle, en entendant des membres de sa famille être tuer pendant 30 ans.Sai descendit de la voiture avec Lucy sur son épaule et tenant la main de Rumi. Les journalistes attendaient avec impatience l'avenue de Sai pour pouvoir le descendre socialement, comme un certain Vilain avait dit un jour.« Ils vous ont trouvé amusant, pendant un moment, les habitants de cette ville. Mais la seule chose qu'ils aiment plus qu'un héros, c'est de voir un héros échouer. Tomber. Mourir en essayant. » Si c'était juste une réplique banal de méchant, il ne s'en serait pas souvenu, mais ça l'avait marqué alors même qu'il était en Enfer, pourquoi ? Tout simplement parce que c'était la vérité et il le savait.L'être Humain était une espèce vicieuse et tordu, répandant le mal partout autour d'eux, il se tuer entre eux, tuer les autres espèce les entourent et tuer même leur propre monde. Dans un monde ou les Héros se comptait sur les doigts ses gens était heureux quand vous veniez les sauvaient, mais n'hésite pas à cracher dans votre dos une fois fait.Alors imaginer le traitement du publique à l'encontre d'un Héros dans une société remplis de Héros … pour eux c'était comme trouver un jouet, ça les amuser temps que c'était neuf et quand ils en avaient marre, ils le jetaient. « De toute façon, ce n'est pas comme si l'ont en manquaient ! » était probablement ce qu'il se disait.Les journalistes voyant Sai ont commençaient à s'exciter comme des enfants la veille de Noël et en le voyant tenir la main de Rumi c'était comme rajouter un dessert à leur repas, une chose de plus sur laquelle ils pourraient cracher en toute impunité !« Pouvez-vous nous dire pourquoi vous avez décider de devenir un Héros, alors même que vous étiez déjà un Vilain avant ça ? Pensez-vous que le monde ne le découvrirait pas ? »« Qu'avez-vous à dire sur les différents meurtre dont vous êtes l'auteur, ne ressentez-vous rien pour les victimes et leur familles ? »« Est-ce que le faite de devenir le numéro un du pays malgré que vous soyez déjà un Vilain était une sorte de message, comme celui de Stain le tueur de Héros ? »« Qu'elle est votre relation avec le Vilain, Héroïne numéro 5 Mirko ? Vous ne semblez pas être là pour l'escorter vus votre proximité, qu'elle indécence de votre part, n'avez-vous aucune honte d'être ainsi avec un Vilain ? » Ont craché les journalistes l'un après l'autre comme une mitraillette.Sai se fichait royalement de ce qu'ils pouvaient bien lui dire, ça rentrer d'une oreille et ressortait de l'autre, cependant, quand l'un d'eux commença à raconter de la merde sur Rumi, cela dépasser un peu sa ligne de tolérance et il s'arrêta pour regarder le jeune journaliste en question.Sous son regard le jeune journaliste se sentit oppresser et se recroquevilla sur lui-même, cependant, l'instant d'après il se souvenu d'où il était et qu'il y avait plein d'autre journaliste autour de lui, ainsi il regagna confiance en lui et fit un pas en avant avec un léger sourire, trouver la faiblesse de quelqu'un pour le faire craquer devant la camera était la spécialité d'un journaliste après tout et il venait de trouver un point faible à l'instant même.« Héroïne Mirko esse vrai ce que l'on dit ? Que vous vous accrochez à n'importe qu'elle homme qui vous porte un peu d'affection ? Quand même n'avez-vous aucune pudeur pour vous accrocher ainsi à un criminel ? » Le journaliste souria comme s'il avait déjà gagné.Sai a sentit la colère monter en lui, cette ordure traiter presque Rumi de salope avec son micro et devant les camera en plus, cependant, il réussi à se calmer, il utilisa néanmoins sa carte Platine qui disparue sans que quiconque ne le remarque, le journaliste voyant que Sai était déstabilisé décida de le pousser un peu plus, mais l'instant d'après quelque chose l'étrangla.Le journaliste croisa les yeux de Sai et son cœur se refroidit, c'était les yeux de quelqu'un qui avait déjà tuer, il regarda à gauche et à droite cherchant désespérément de l'aide alors que l'aire lui manquer, mais tout autour de lui il n'y avait que des journalistes bien trop occupé à bombarder de question Sai et ne lui prêtait pas la moindre attention.Sai partit avec Rumi, mais ne lâcha la télékinésie qui étrangler l'homme qu'après une minute, lui laissant suffisamment de temps pour réfléchir. Sai entra dans le bâtiment ou la conférence de presse avait lieu, la salle était remplis de journaliste et à l'avent il y avait une estrade avec un pupitre remplie de micro avec différente chaîne de télévision et radio inscrite dessus.Au moment ou ils sont entré dans la pièce, celle-ci commença à devenir bruyante, les journalistes en question le regardait comme une meute de loups venant de trouver une proie, s'ils arrivaient à l'humilier plus bas que terre, alors leur carrière s'envoleraient certainement. Sai remarqua que le regard des journalistes les plus proches de l'estrade avaient les regards les plus vicieux. Sai comprit sans mal que le Gouvernement avaient placé les plus vicieux à l'avent exprès pour le détruire.Sai prit une grande inspiration, c'était le moment de vérité, après cette conférence de presse, il serait soit un homme libre, libéré de tout souci et pouvant parcourir le monde comme il le voulait. Ou alors il serait un criminel obligé de fuir d'un pays à l'autre, bien sur, il pourrait toujours se réfugier au États-Unis ou en France, cependant, cela leur causerait des ennuis d'abriter un criminel.Dans le pire des cas il pourrait toujours changer de monde, mais il voulait y revenir à l'avenir, au moins pour sa famille, alors le quitter comme un criminel infâme lui laisserait un goût amer en bouche. Rumi et Lucy lui ont tout les deux tapoter l'épaule, même si Lucy semblait plus lui avoir donné un coup de pieds, il leur sourit et s'avança, il était temps de commencer la conférence de presse, qui allait changer son destin.