Une légère lumière verte et fluorescente s'échappait faiblement du petit trou qu'avait laissé le zombie après s'être relevé, confirmant les soupçons de Salvatoris. Cet endroit n'était pas qu'un simple tumulus, ou quelconque fosse commune érigé en ces plaines. C'était une ruine ayant volontairement été dissimulé ici pour n'éveiller aucun soupçon, ayant visiblement scellé la mort lors d'un effondrement de l'homme qui avait essayé de dissimuler précipitamment l'entrer souterraine avec de la terre et divers grava.
Salvatoris s'agenouilla au sol, essayant de relever le cadavre avec une grande concentration. Mais, quand celui-ci se releva sans un mot, Salvatoris tapa du pied le sol avant de s'immobiliser, se rappelant qu'il était poursuivi. Ignorant tout principe de sécurité, il se mit à creuser avec la pelle que tenait son nouveau mort-vivant l'endroit où se trouvait la brèche à travers la terre qu'avait involontairement créé son zombie. Il l'élargit assez pour pouvoir y ramper, accompagné par ses zombies, et reboucha ensuite le troue avec quelques gravats et moreaux de terre. Il faisait cela en espérant ne pas se faire suivre par les routny à ses tousses, comptant sur le faite que cet endroit serait suffisant pour se cacher quelques heures.
Lorsqu'il tourna la tête en direction de la seule lumière illuminant ce petit espace renfermant un air vicier, une odeur de putréfaction et de renfermer similaire à celle des tombeaux l'agressa. Il mit immédiatement son bras devant son nez, observant les quelques cadavres portant les mêmes habilles que le tout premier mort coincé entre les gravats et la terre. Ils étaient faiblement illuminés et disposer devant une imposante porte d'un béton bleuâtre, mélangé à un acier noirâtre similaire à celui de la pelle. Pourtant, en dépit de son âge, celle-ci ne portait aucune trace de rouille malgré les bosses ou fissure ici et là qui laissait passer l'humidité, tout en témoignant des multiples tentatives d'ouverture infructueuse de cette porte. Au-dessus de cette imposante structure se trouvait un panneau vert fluo maladroitement fixé, indiquant une sortie de secours, bien qu'il tenait désormais à peine, et semblait pouvoir tombé à chaque instant.
Salvatoris essaya méthodiquement de relever quatre des neuf cadavres gisant ici. Cependant, une fois ceux-ci relever il secoua la tête, impuissant alors qu'une pensé envahissait son esprit.
[ Encore des échecs...j'arrive vraiment pas à leur faire retrouver leurs souvenirs... putain ! Juste une putain mémoire musculaire inutile...je devrais laisser les autres à des nécromanciens plus confirmer ou des héros, eux pourrons les réanimer et savoir ce qu'il c'était passé dans ces ruines. Nous pourrions peut-être même en apprendre plus sur l'ancienne civilisation comme ça ! ]
Après avoir soupiré en essayant de penser positivement, Salvatoris se dirigea avec sa troupe de morts-vivants en direction de la porte. Il ordonna rapidement aux morts portant des blouses ou veste blanche de l'ouvrir, ce qu'ils firent facilement, comme si ils se souvenaient parfaitement de la procédure à faire. L'un deux finit même par montrer un badge dont il ne restait presque rien devant une machine détruite non loin d'une plaque ou des inscriptions indéchiffrable, et depuis bien longtemps effacer, étaient écrite. Cela ne provoqua aucun changement, mais ce n'est pourtant qu'après qu'il poussa manuellement la porte dont la partie électronique du verrou semblait briser ou détruite par le temps et le manque d'entretiens, en plus des diverses marques de violence ici et là.
Cependant, le squelette qui venait de passer son badge se retourna devant les êtres ne portant pas de vêtement blanc. Il parla difficilement dans une langue inconnue à Salvatoris, bien qu'il puisse comprendre les pensées ayant été diffuser au travers de sa magie qu'il partageait avec le cadavre, lui permettant une traduction approximative.
« Bienvenue...centre... luxe...conservatio...de cryogénie... »
En voyant cela, Salvatoris sursauta, étant submerger par un sentiment mêlant la peur, l'inquiétude, et la joie de voir l'une de ses créations parler, le laissant hurlé d'excitation.
« Oui !! J'ai pas réussi à lui faire retrouver la mémoire mais j'y était presque ! Je pourrais y arriver et le contrôlé la prochaine fois quand je serais au calme j'en suis sûre ! Par contre... « cryogénie » ? »
Salvatoris, était emplie d'interrogation face à ce mot qu'il ne connaissait pas alors qu'il penchait la tête. Il laissa ensuite passer sans un mot ses deux guerriers devant lui, essayant de regagner son calme et sa concentration, tout en laissant deux des quatre morts-vivants qu'il venait de réanimer devant la porte qu'il avait franchi à l'instant afin de l'alerter de tout danger potentiel. Il laissa ses deux autres pantins à l'intérieur, avant de leurs ordonner de fermer la porte par mesure de sécurité. Toutefois, dès qu'il fit un pas à l'intérieur de cette structure souterraine, il fit face à des escaliers menant plus bas, illuminer par le même panneau de sortie vert fluo qu'au-dessus, en plus de quelques lumières qui commençait à faiblement illuminer l'endroit grâce aux lumières artificielles fixé au plafond, réagissant aux mouvements. Salvatoris sursauta, pensant à un sort ennemi tout en positionnant ses quatre soldats restant tout autour de lui.
Ce n'est qu'après plusieurs longues secondes qu'il compris qu'aucun danger ne le guettait, et décida d'emprunter l'escalier, gardant deux guerriers devant lui. Toutefois, il laissa tout de même le mage portant le cadavre de routny, et le tout premier cadavre en veste blanche qu'il avait réanimé, le suivre derrière lui. Un léger sourire s'étirait toujours sur les lèvres de Salvatoris suite à sa presque réussite, mêler à une grande peur des potentiels dangers antiques que pourrait renfermer cet endroit.
Quand il commença à s'enfoncer par les escaliers, illuminer par des lumières désormais clignotantes dont il ne pouvait même pas imaginer le fonctionnement, Salvatoris sentit ses mains devenir moite pendant que tout son être lui hurlait de s'enfuir de cet endroit sinistre, dont il ne pouvait sentir aucune magie, mais ou tout semblait si magique. Cela ressemblait à quelques-unes des descriptions que certains héros avaient pu faire de leurs mondes d'origine, laissant Salvatoris d'autant plus intriguer malgré sa peur, alors qu'il atteignait la fin des escaliers. Il faisait désormais face à un encadrement de porte vide, mais sentait marcher sur quelque chose de rouiller et de métallique semblable à la porte qui aurait dû être ici. Il laissa en conséquence ses deux guerriers avancer devant lui, avalant difficilement sa salive en se retrouvant face à une salle vide, ayant comme seul élément distinctif du mur et du sol de la même couleur bleuâtre, une vitre teinter à côté d'une autre porte, cette fois-ci presque intacte en apparence, malgré les quelques traces de rouille négligeable. Toutefois, elle était entrouverte, coincé par un cadavre portant un uniforme futuriste blinder de sécurité rouiller et détruit, bien que cela soit insuffisant pour ne plus pouvoir discernée son but premier, protéger son porteur encore en partie conservé et presque momifier dans l'armure elle-même, bien que sa tête soit totalement décomposée dû à l'absence de casque.
Il poussa ses guerriers à ouvrir la porte, mais comme aucun piège ne s'activa, il les suivit assez rapidement, essayant de relever le cadavre qui ne fit qu'essayer de ramper, ne sachant pas se relever à cause de l'état de l'amure qu'il portait. N'ayant aucune idée de son utilité, Salvatoris passa simplement son chemin en postant le rampant à l'entrée comme un détecteur d'ennemie potentielle. Une fois la porte passer, il se trouva nez à nez avec un Centre de sécurité détruit. Des débris étaient éparpiller sur le sol de la pièce ne comportant que deux portes similaires à celle qu'il venait d'ouvrir. Cependant il sursauta en voyant qu'il pouvait voir de l'autre côté de la vitre teinter, qu'il pensait précédemment être un mur. Il n'avais aucune idée de l'utilité de cette salle, ni ce qu'était toutes les structures l'entourant, pourtant, il était émerveiller par toutes ces choses inconnue.
Il observa ensuite plus attentivement la salle, réalisant qu'il n'y avait qu'un autre cadavre en armure tenant un morceau de ferraille qui aurait pu être jadis une arme, présent dans cette salle. Il ne prit pas la peine de le réanimer étant donné l'utilité du premier, en plus de toujours vouloir laisser des cadavres à des nécromanciens plus confirmer que lui-même.
Quand Salvatoris se dirigea à droite pour ouvrir l'une des portes, il se retrouvas face à une petite salle de serveur, également détruite, qui devait par le passé coordonnée l'ensemble du poste de sécurité dont il venait de passer outre. Il survola rapidement la pièce, ne comprenant pas son utilité réel. Pourtant, il semblait faire de son mieux pour mémorisé chaque détaille de son environnement, passionner à l'idée d'imaginer à quoi servait tout cela.
Salvatoris se déplaça ensuite vers l'autre porte que ses guerriers avaient déjà passer, pour se retrouver face à une grande salle à manger rectangulaire comportant deux grandes tables entourées de chaises dans un alliage similaire à celui des portes, avec à sa fin à droite et gauche une porte, une gazinière et un lavabo, en plus de quelques placards rouiller au possible, et parfois même détruit, tombant en ruine au sol. La pièce était également bordée de quatre portes de chaque côté, que Salvatoris et ses zombies ouvrirent, révélant dans la salle la plus proche de l'entrer les restes de grande serre détruite, dont il ne restait que de la terre et quelques mauvaises herbes pousser dans l'obscurité, en plus d'une odeur encore plus nauséabonde que cette structure en elle-même. Une autre porte mena à une salle de stockage comportant diverses étagères qui parfois tenait toujours debout, comportant des objets détruit, si vieux et en mauvais état qu'il est impossible à deviner ce que cela aurait pu être. Le même spectacle était également vrai pour le sol empli de ce genre de déchet. Les autres salles révélèrent une salle de bain, et même une salle de sport avec quelques tapis, poids rouiller, en plus d'un tapis roulant détruit à l'intérieur. Étrangement, aucun cadavre ne pouvait être vu dans ces salles.
Une fois toutes les portes explorer et laisser ouverte, Salvatoris ouvra lui-même la dernière porte au fond de la salle qui était entourée de lavabos, affichant un petit escalier qu'il parcourra, pour se trouver face à un couloir avec cinq portes de chaque cotée, et une situer au fond de celui-ci.
Les dix portes sur les cotées menaient chacune à de petites chambres ayant un lit plus ou moins en bonne état, une table de chevet, ainsi qu'un petit bureau et d'une petite armoire, toujours fait du même alliage étrange.
Salvatoris se dirigea alors avec curiosité vers la dernière porte qu'il ouvrit, mais se trouva nez à nez à une sorte de complexe cryogénique où quelques cadavres humains geler pouvait être vu à l'intérieur des quelques capsules. Il y avait également une chose semblable à une femme ayant une partie de son visage sans peau, affichant une armature métallique, mais pourtant si semblable à un humain. Elle possédait également de long Cheveux rose, ainsi que des yeux toujours ouverts, eux même rose. Elle était vêtue d'un uniforme militaire léger et déchiqueter par endroit, révélant une peau blanche ou des parties mécanique complexe et robotique. Toutefois, elle était adossée à une étrange machine rectangulaire border de ligne grisâtre. Cette vue terrifiât Salvatoris alors que ses deux guerriers se précipitèrent instinctivement devant lui pendant qu'il hurlait.
« Un go- un...un un...Un golem de métal !Ici ?!!!»
Il essaya de garder son calme devant l'inaction du golem, mais s'approcha prudemment derrière ses guerriers, intriguer par la machine ayant été réactiver qui voyait ses lignes s'illuminer d'une légère lumière vert clair à son cri. Malgré tout, il laissa avant d'être trop proche son guerrier le plus imposant donner un coup de poing dans la tête du golem, ce qui ne le fit pas réagir, donnant à Salvatoris la confiance de s'approcher pour commencer à toucher la machine, et essayer de découvrir ce que cela pourrait être, et pourquoi celle-ci fonctionnait toujours. Cependant c'est à ce moment précis qu'une légère lumière rose vif passa dans les yeux du golem, et qu'elle attrapa le bras de Salvatoris, tétanisé par la peur, ne pensant même pas à donner l'ordre à ses zombies de l'attaquer malgré leurs inactions devant le manque d'hostilité du golem. A la place, il se débâtit misérablement pendant que le golem parlait d'une voix féminine, bien que grandement mécanique, qu'il ne comprenait pas.
« I-IdentifiantA-A-Alice...7274...Des-de-destruction des prto-totocoles 852, 903, 783, a-accès à la mémoire du sujet...Ajout d'infor...mation forcé en cours.Vi-vi-vi-vi...sualisationforcé-éé-é lancé.»
Presque immédiatement après cela, la machine derrière le golem se mit à briller de plus en plus, alors qu'elle se reliait au golem, et qu'un minuscule fils métallique ne se plante de lui même dans la tête de Salvatoris, avant qu'il ne commence à briller d'une lumière verte, lui infligeant une atroce douleur alors qu'il hurlait. Cependant, aucun de ses serviteurs ne réagirent, ne percevant aucune hostilité ni danger potentiel, laissant ainsi leur maître hurler et souffrir alors que des connaissances confuses entraient dans son esprit. Il comprit ensuite ce que le golem avait prononcé et écarquilla les yeux, avant de se débattre en hurlant.
« Non ! Ne touche pas à ma mémoire !AAAAH !»
Rien ne changea malgré ses cris ou ses tentatives d'évasions. Soudain, des images confuses de combat commencèrent à affluer dans son esprit. Des explosions, des fusillades, des montagnes de cadavres humain, de sang, et des paysages dévaster et sanguinolent, avec en leurs centres les représentations de leurs dieux, ainsi que d'immenses machines les combattants, se faisant briser aisément par les dieux. Tout cela fluait dans son esprit comme si il les avait vécu. Cependant, en un instant, les images devinrent claires, et Salvatoris tomba sur le sol. Il se fit rattraper par l'un de ses guerriers pour lui éviter une possible blessure, alors que le golem se désactivait de nouveau, lâchant la machine pendant que Salvatoris reposait raide au sol, simultanément au golem.