Après avoir appelé son nom quelques fois de plus, la femme finit par sortir de son état de transe.
"Ah. Oui. Tu me parlais ?"
"Oui. Je t'ai demandé qui t'avait laissée monter. C'était Violette ?"
"Ahh. Oui, c'était Violette. Ne t'a-t-elle pas dit que je venais ?"
"Non. C'est de ça que vous avez parlé pendant qu'elle s'enfuyait avec mon téléphone ?"
"Hihi. Je pense qu'on nous fait marcher tous les deux."
Alexandre se gratta l'arrière de la tête. Maintenant que la femme était là, il ne pouvait pas la renvoyer chez elle, n'est-ce pas ?
De plus, ils avaient toujours besoin d'avoir une conversation. Il soupira lourdement et laissa la femme entrer chez lui.
"Violette est dans le salon, juste devant. Installe-toi confortablement, pendant que je vais finir de m'habiller."
"D'accord."
Alexandre remonta les escaliers, retournant dans sa chambre, tout en pensant à ce qu'il avait bien pu faire aux dieux pour mériter cette situation compliquée.
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