LE MILITAIRE ET MOI.
ÉPISODE 04. BONUS.
Il lui infligea une gifle qui l'a rendu sourd pour quelques secondes. Halimatou Sadiya ouvre grandement ses yeux qui se sont fermés sans son consentement, elle compris alors que cette gifle était dans sa tête . Colonel Youssouf ne l'a pas gifler.
Le militaire arrache le voile de Halimatou Sadiya de sa tête sans relâcher sa prise sur son cou. Malgré qu'il soit mort de colère il était surpris de voir des longs tresses sur sa tête, pas faux ce sont ses propres cheveux. Il nettoie la salive avec les cheveux de Halimatou et son voile . Il l'a jette hors de lui, elle tombe lourdement au sol, sa voix est si faible que son cri n'a pas de son.
Sans rien dire d'autre, sans la regarder aussi, Colonel Youssouf appuie l'embrayage de voiture et disparaît des lieux. Jusqu'à ce qu'il a garé sa voiture devant une mosquée sa poitrine palpite. Il haït Halimatou Sadiya.
Après le départ de Colonel Youssouf, Sadiya regarde autour d'elle, elle respire fortement pour donner de l'air à ses poumons. L'endroit est calme et les hommes sortent de chez eux pour répondre à l'appel de Dieu.
Elle commence à marcher sans savoir quoi faire. Son unique soucis maintenant, c'est de retourner à la maison mais elle n'a pas d'argent sur elle pour prendre le taxi.
Plus de 30 minutes elle marchait.
Sadiya : j'ai si faim , j'ai aussi soif, je suis épuisée mon Dieu ! tout ça c'est la faute de cette salle ordure je le plains à notre prochaine rencontre.
Sadiya : maintenant à qui vais-je demander de l'aide ?
Autour d'elle y a des maisons ,mais elle ne Peut pas se le permettre . Elle n'a plus confiance en personne !
Deux hommes ,le visage masqué sur une moto s'arrêtent à côté d'elle. L'homme accroché derrière le conducteur descendit portant un long couteau à la lame éguser à son cou.
Les lèvres de Halimatou Sadiya tremblent, son estomac se déchire .
— Donne ton téléphone et ces boucles d'oreilles en or !
Ses yeux sur la lame elle retire les boucles d'oreilles ensuite lui donne .
— Ton téléphone !
Sadiya : j'ai…pas …de téléphone.
Il la regarde longuement ensuite monte rapide sur sa moto, ils s'échappent .
Halimatou cria : des voleurs, aidez-moi, ils ont arraché mes bijoux, des voleurs !
Certaines femmes sortent de chez elles
— qu'est-ce qu'il y a jeune fille ?
Sadiya en larmes : ma mère va me tuer, des voleurs sur une moto ont arraché mes bijoux en or . Innalillahi wa Inna illaihin raju'un
—Tu es nouvelle dans ce quartier ça se voit. Ici c'est courant... L'autre jour certains voleurs ont transpercé le sein d'une jeune fille parce qu'elle avait refuser de leur donner son téléphone , au final ils ont blessé la fille et ont eu le téléphone . Mais toi tu es en bonne santé, c'est ça l'essentiel.
— Que Dieu nous préserve de cette génération qui renchérit la facilité au travail.
Halimatou Sadiya s' éffondre au sol, sa mère va la découper en deux morceaux c'est certains. C'est du vrai or ses boucles d'oreilles, sa mère l'a averti de porter ça qu'au jour où elle sera acompagner chez son mari mais comme Halimatou Sadiya est Halimatou Sadiya elle a porté ça la nuit de cette fichue fête qu'elle a fuguer.
La voiture de colonel Youssouf s'arrête en ce moment devant elle.
Elle se relève en force puis se jette dans la voiture comme une chose qu'on a jetter dans une pièce .
Sadiya : salle ordure tout ça c'est de ta faute . Ses bijoux…oh j'ai failli oublier mais monsieur n'a pas de sentiment comment pourrait-il comprendre cela ?
Elle criait et pleurait .
Il n'adresse aucun regard à Halimatou à plus forte raison lui parler. Il conduisait tranquillement sa voiture comme si elle n'était pas dans la voiture.
L'atmosphère dans la voiture était intense alors le colonel allume la radio .
De bonne minute, il gare sa voiture sous le portail de chez Halimatou Sadiya. La maison de ses parents pas celle de sa tante Mariama.
Colonel Youssouf : Rien de bon ne peut t' arriver sans la bénédiction de tes parents.
Il la conseilla sévèrement .
D'un côté Halimatou remercie le militaire d'un autre côté elle lui en veut, si ses malheurs lui sont arrivé, en contre parti c'est de sa faute !
Elle ne lui répond pas d'ailleurs elle n'avait pas l'intention .
Comment il connait chez elle ? Elle se questionne s'éjectant rapidement de sa voiture sans attendre quoique c'est soit.
Elle se mord la lèvre inférieure,
Elle tenait toujours la portière,
Sadiya crie : Au secours ! Aidez-moi, Kidnappeur , Au secours…
Incompris, Le colonel quitte son habitacle cherchant des yeux le kidnappeur.
Les hommes du quartier qui reviennent de la mosquée accourt,
Sadiya pointe Colonel Youssouf du doigt.
Halimatou Sadiya pleurait tout en accusant son sauveur de l'avoir kidnappé et violé.
Ils étaient nombreux sur colonel Youssouf, il se débattait malgré qu'ils soient nombreux.
Ensemble ils étaient plus fort que lui, il ne sait pas par comment quelqu'un l'avait blessé à l'œil avec un truc. Sa poitrine palpite il réussi à sortir son arme sur lui et appuie sur la gâchette vers le ciel.
Ils atterissent tous au sol y compris Halimatou Sadiya.
…
Halimatou Sadiya pleurait des larmes de crocodile dans le bureau du commissaire. Sa mère, son père et son frère étaient dans le bureau. Colonel Youssouf aussi était assit un pied sur l'autre, le visage rouge.
Elhadji : Dis-nous en détail ce qui c'est passé Sadiya.
Commissaire : ne soit pas effrayé, la police est là pour toi.
Sadiya : j'étais dans les toilettes de la cours de maison de ma tante Mariama quand j'ai entendu un bruit , je me retourne et vis cet homme derrière moi sous la douche
Elle montre du doigt Colonel Youssouf.
Il la regarde avec dégoût . Il était calme à l'apparence mais intérieurement c'est une guerre qu'il mène.
Commissaire : continue ?
Sadiya : il ,il , il m'a étrangler ensuite je me suis évanoui … Et …
Elle se racle la voix qui tremble
Commissaire : n'est pas peur continue .
Sa famille eu pitié d'elle,pensant qu'elle a été affecter par ce qui lui était arrivé ,hors que Sadiya pleurait parce qu'elle a merdé et qu'elle réfléchissait à la suite de son mensonge.
Sadiya : Je me suis réveillée dans une petite pièce nue, cet homme m'a..m'a… violé
Elle fondue tristement en pleurs.
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