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chapitre 1: motivations et contexte

Il paraîtra sans doute étrange  aux plus curieux d'entre mes lecteurs, d'avoir choisi l'écriture comme support de diffusion à une époque où , les moyens de communication moderne auraient été plus propices à  son accessibilité, cette dernière  prenant toute son importance au vue des faits singuliers dont j'ai laissé paraître sans exagération en prologue la prétention a un t niveau d'étrangeté et d'horreur qui n'a pas été donné de voir jusque là à aucun homme. Les raisons de ce choix quelque peu absurdes , ne sont guère à voir plus loin que dans mon propre orgueil ,  réputé dans les milieux académique et philosophique pour être un fervent défenseur du matérialisme athée , je me suis  imposé  en débat comme l'adversaire opinîatre des toutes formes d' irrationalité , je ne pouvais guère supporter ouïr dans mon entourage des références à la magie , à l'ésotérisme ou n'importe  quel autre forme d'anomalie sans que je ne sursauta sur mon interlocuteur avec  énergie brandissant mes arguments avec une telle virulence que le plus souvent , mes adversaires me donnaient raison  plus par inconvenance de rester plus longtemps en compagnie d'un insupportable athée à l'attitude agaçante et prétentieuse, qu'à l'exactitude d'arguments que j'avançais. Jusqu'au bout de ce calvaire ,je ne puis me résoudre à m'exposer à  la moquerie et aux railleries de mes collègues goguenards en laissant compromettre mon aversion pour le spirituel par ces troublantes révélations dont j'ai été l'objet . Au moins ainsi , bien que victime d'une fin de plus tragique qu'il eût été donné de vivre à un esprit scientifique et rationnel , je m'eût préservé de la honte et de l'effort de le faire connaître par ma propre bouche .

8 août 2019 , voilà qu'un jour vient de s'écouler après la rédaction de mon prologue que le couché du soleil m'a hâté à interrompre .J'écrit ce récit recroquevillé  sous le porche  assis sur la troisième marche en partant de la porte rouge qui donne accès à ma demeure ou plus tôt devrai-je dire , à leurs demeure ,  car c'est depuis un temps maintenant que ces trois petites créatures humanoïdes ne rechigne plus à s'exposer même en plein jour,  très timide au début , ces choses affreuses avec jusque là la décence de ne se laisser voir qu'à des heures tardives; mais hélas, cette attitude peureuse s'étiole pour laisser place à une assurance qui ne me plaît aucunement , en effet ,ces trois petits hommes effrayants et dégoûtant s'offre le luxe de déambuler un peu partout dans ma maison même pendant le jour , s' il ne se montre pas agressif quand je le surprend à se délecter de me réserver de nourritures , ces affreuses petites choses laisse entrevoir une indifférence humiliante à mon égard , je n'en puis plus ... Il faut que ...

Me voilà encore qui divague , c'est donc pour  éviter de cohabiter avec ces choses que j'écris en étant assis dehors , je ne manque pas d'ailleurs d'attirer l'attention de quelques passant  qui du tiroir me regarde d'un aire stupéfait , qui leurs visages qui laissent paraître une suspicion, " quel homme intelligent , se disent-ils quitterai une aussi belle demeure pour écrire assis dehors sur les marchés ?" peut-être pensent ils de moi que je suis fou  Hugh ! ( Ricane ) Et peut-être  qu'ils ont raison.

j'estime urgente  une remise en contexte  pour donner à mes lecteurs une meilleure appréhension de ces étrangetés. Je me nomme Barco Phillipe Kein , à 23 ans je suis d'une très grande vigueur aussi bien physiquement que mentalement , d'une très grande rationalité alimenté par des lectures de plus éminents savant de notre siècle et des plus grands philosophes athée ,telle que : le Marquis de Sade , Nietzsche ... J'estime en avoir donné l'ébauche plus haut dans mes écrits . Après avoir mis fin à mes études secondaires par une distinction , cette dernière m'a valu une bourse à la prestigieuse université  Johnson en faculté des philosophies et des lettres . Mon oncle, Joseph Kein un riche entrepreneur , que je connaissais alors fort mal décida en guise de récompense , de m'offrir ma propre maison. Au début mes parents ne se montrent guère optimiste vis-à-vis de cette soudaine attention de la part de mon oncle , qui , depuis sa fulgurante ascension dans les affaires se montrait froid et distant envers ses frères. Le moins qu'il puisse permis dire est qu'il entretenait une relation de faible qualité avec tout ceux qui l'avaient connu naguère avant qu'il ne fasse fortune . Mes grands parents , Gérard et Yvette Kein , propageait des rumeurs pas plaisantes au sujet de leur troisième fils , ils disaient de mon oncle Joseph , qu'il avait conclu des pactes avec une loge ou une secte , ces rumeurs inquiétante était souvent relayé avec beaucoup d'incohérences, parfois des contradictions par le couple sénile . Mon père , fils aîné de la famille Kein , portait ces rumeurs au crédit de la vieillesse de ses parents et de leur pessimisme, mon grand-père, un homme de peu de foi selon le parole de mon père , n'avait jamais réussi à appréhender l'accession de son fils Joseph à un telle niveau de prestige sociale au vue des conditions très modestes dans lesquelles il a été appelé à grandir et qui , dans la conception du vieux homme , ne le prédisposé à plus qu'une simple carrière de petit commerçant d'étalage . Mon père , ne prenait pas avec beaucoup des considérations les rumeurs du vieux couple , il avait pour rassurer ces parents, établis une sorte de distance entre lui et son frère mais leur antagonisme n'allait pas plus loin . Et moi , j'estime avoir été assez clair quant à mon rapport avec ces genres des divagations , je n'y portait aucune considération le mettant pour ma part sur les dos des esprits superstitieux et un peu jaloux du couple sénile .

L'opposition de mon père qu'à l'achat de la maison perdait toujours en vigueur sous les coups de la culpabilité . Culpabilité de n'avoir pas pu offrir à son fils un cadeau aussi prestigieux que Celui de son frère Joseph. C'est en juin qu'il finit par céder , très déshonorer. " Accepter la maison , ce que je n'ai pas pu t'offrir de mes mains , reçois le de ceux de mon frère ." Je lisais un profond désarroi sur sa figure , mais ma triste à son sujet ne fut que de très courte instant , balayé comme d'un revers de main par l'idée d'avoir ma propre maison .

Très timide , je me fixais d'accepter la maison sans y joindre la moindre exigence, mis à part que la maison fusse situé dans les environs de l'université Johnson .

Cette préférence fut respectée. Au début du mois de juillet ,je me voyais l'heure propriétaire d'une résidence dans la taille et la beauté était bien au-dessus de tout ce que mon imagination excitée ne pouvait concevoir.