Cipher se relève avec une respiration plus constante et régulière. La petite fille blond souris puis lui pose sa main droite sur l'épaule en lui disant de continuer. Pendant ce temps la fille aux cheveux noirs, était salement amoché, des blessure ce régénérer à chaque coup de balle reçu, la boîte d'une couleur marron clair était viré de la couleur marron foncé du au sang qui serait imbibé, mais c'est plaie avait beau cicatriser, elle était maintenant à bout de souffle et c'était réfugiés derrière des poubelles proche d'un bâtiment. La voilà maintenant assise poussant des gémissements de douleur qu'elle retenait, afin d'éviter de se faire rapidement repérer par des hommes armés. Le chapelier, était à bout de souffle la douleur de ses blessures, lui lancer de plus en plus, sa respiration était à peine audible. Pendant qu'elle essayait de se rétablir, des voix s'entendirent, un homme aurait donné l'ordre de les éliminer ou plutôt de les dégager du Cartier. La fille aux cheveux noirs, bouge quelques poubelles pour mieux se cacher, en essayant de faire le moins de bruit possible. J'observais la scène, cependant cela m'énerve de plus en plus, car je trouvais ces démons tellement désespérants. Je me demandais quelle était l'utilité de vouloir tenter à la vie de personnes ne pouvant pas mourir, d'autant plus que l'un des deux peut les renvoyer tout droit dans les entrailles des enfers.
Quelques minutes, c'était écoulé et mon petit chapelier avait repris des couleurs et une santé normale, elle regardait la boîte contenant les quatre chats, l'ouvrirai puis regardait le contenu de celle-ci. Un soupir s'échappe de sa bouche, elle avait un visage rassuré et se lève en ayant un sourire aux lèvres. Elle leur adresse quelques mots et commence à courir. La direction empruntée allait là rapprocher plus rapidement du petit chat cheshire, mais je ne pouvais avoir un sourire et un sentiment de soulagement qu'ils puissent se revoir. J'avais aussi une légère incompréhension de ses sentiments qui m'animent, je pouvais faire ce que je souhaitais alors pourquoi je suis à ce point heureux de les revoir ensemble. Les observant avec difficulté me fis légèrement ricaner puis un profond désir sadique me pris. Je voulais absolument voir ce qu'il se passerait si je faisais en sorte de les blessés encore plus, me mordilla la lèvre, je lève légèrement le poignet de ma main droite et m'incline délicatement. Ce simple geste rend Jiyu et Cipher couvert de blessure, rien qu'à cette vue, je me mordis l'index de ma main droite. J'ai l'impression que je vais bien rigoler. Les deux amis tournent leurs têtes en direction du ciel, ils avaient parfaitement compris que la partie de cache-cache allait bientôt se terminer et qu'ils leur restent très peu de temps. Les deux se ruaient, tout en recevant plusieurs salves de balle, le garçon à oreille de chat esquivera avec énormément de facilité malgré quelques égratignures qui apparaissent, mais la fille aux cheveux noirs se prit d'innombrables balles et n'arrêtait pas de revenir à la vie. Le chapelier passe par une ruelle des hommes étaient sur le toit pointant leurs armes sur elle, elle plonge vers le détritus qui était présent pour se protéger et courut tout du long, le garçon quant à lui ne voyais plus d'hommes armés puis une voix retentit. À toutes les personnes cessées le feu, ordre du patron ! À cet instant, mes deux tarés avaient compris que la partie était belle est bien terminé et qu'ils avaient perdu.
-C'est vraiment nul ! Makoto d'une faible voix. Je suis parfaitement au courant de ne servir à rien, encore plus si je ne suis qu'un être humain, mais Cipher lui n'est pas plus humain que moi ? Makoto, grogne légèrement. Si c'est pour avoir du favoritisme, je m'en serai bien passée.
-C'est marrant. Je ne pouvais m'empêcher de prononcer ses mots.
Juste à l'instant que ma phrase se termina, l'humaine se fit pousser par l'avant d'un camion qui freinait. Un homme sortit la tête du camion, il avait une soixantaine d'années et sourit, je penche la tête puis me rappelant qu'il était intervenu pendant la discussion entre Jiyu et Hulter. Je croise les bras et je regarde un instant, la scène, les deux humains étaient en train de parler de ravitaillement pour ce quartier pourri jusqu'à la moelle. J'expire un bon coup tout en regardant le chapelier, je m'accroupis en fixant dans sa direction, elle avait ramassé le carton avec les quatre chats à l'intérieur puis mon regard se tourne vers le chat qui suivait toujours l'enfant, mais il était impossible pour lui de la rattraper, bien qu'il courait largement plus vite que cette dernière. Soudain, des voix survinrent à mes oreilles, ce qui me fit sourire, c'était le bruit de personnes s'apprêtant à tirer et à tuer sa proie. Différentes personnes sorties des bâtiments en pointant leur arme sur mon deux taré préféré, leurs regards se tourne vers le bruit des cartouches prête à charger l'index relevé et la gâchette s'élance puis une pluie de balles entra en scène. Ce spectacle me fit me recourber en riant de toutes mes tripes, le chat lui avait repris sa véritable apparence, des oreilles et une queue de chat avaient apparues, ils étaient d'une magnifique couleur blond et quelques courant d'électricité entouré quelques mèches de ses cheveux, il était affalé sur des caisses complètement détruites. Il redresse la tête et évite de justesse une balle lui frôlant son oreille gauche le clébard avait quant à elle reçu de nombreuses balle sur les jambes et d'autres dans l'abdomen, du sang coulait de sa bouche ayant taché le carton refermé des chats, elle avance difficilement en tremblant et s'appuie sur ses jambes la faisant souffrir et commence une course effrénée vers enfin sa sortie final, de l'autre côté le garçon qui avait légèrement la tête qui tourne, aperçu Alice lui faisant signe de la main et il courut à son tour pour revoir la fille qu'il considérait comme sa famille. Le bruit des fusils ne s'arrêtait, le rythme était parfaitement régulier qu'on aurait presque pensé voir un rouage qui déferlant devant nous, mais la situation devenait beaucoup plus tendu pour mes deux tarés préférés, l'un poursuivait une petite fille que personne ne pouvait voir, l'autre avait une boîte avec quatre chats qui était fermée. Je m'étais pris d'un immense fou rire suite à cette scène qui se présentait sous mes yeux. L'odeur du métal des balles, le bruit des canons, la vue du sang des blessures du chapelier et du chat de cheshire était pour moi une belle symphonie. Le garçon commençait à être de plus en plus épuisé, sa respiration se fit lourde et il s'arrêtait beaucoup plus fréquemment, Alice s'approchait de Cipher régulièrement et lui demandait s'il voulait faire une pause, mais ce dernier refusait constamment.
- Je ne compte pas, Cipher, ayant des bouffées d'air pourquoi, j'ai l'impression qu'on tourne en rond ?
- Je ne sais pas plus que toi, Alice, étant elle-même confuse peut-être qu'elle à aussi des problèmes à éviter.
- Tu as raison...C'est vraiment pas normal, Cipher, ayant toujours du mal à respirer, mais bon faut vite... La trouver pour la sortir de là, même si elle connaît mieux le cartier que moi.
Cipher ce relève avec une respiration plus constante et régulière. La petite fille blonde souris puis lui pose sa main droite sur l'épaule en lui disant de continuer. Pendant ce temps la fille aux cheveux noirs, était salement amoché, des blessure ce régénérer à chaque coup de balle reçu, la boîte d'une couleur marron clair était viré de la couleur marron foncé du au sang qui serait imbibé, mais c'est plaie avait beau cicatriser, elle était maintenant à bout de souffle et c'était réfugiés derrière des poubelles proche d'un bâtiment. La voilà maintenant assise poussant des gémissements de douleur qu'elle retenait, afin d'éviter de ce faire rapidement repérer par des hommes armés.Le chapelier, était à boue de souffle la douleur de ses blessures, lui lancé de plus en plus, sa respiration était à peine audible. Pendant qu'elle essayer de ce rétablir, des voix s'entendirent, ils discutent d'un homme qui aurait donné l'ordre de les éliminés ou plutôt de les dégagés du cartier. La fille aux cheveux noirs, bouge quelques poubelles pour mieux se cacher, en essayant de faire le moins de bruit possible. J'observais la scène, cependant cela m'énerve de plus en plus car je trouvais ces démons tellement désespérant. Je me demandais quel était l'utilité de vouloir tenter à la vie de personnes ne pouvant pas mourir, d'autant plus que l'un des deux peux les renvoyer tout droit dans les entrailles des enfers.
Quelques minutes c'était écoulée et mon petit chapelier avait repris des couleurs et une santé normal, elle regardée la boîte contenant les quatres chats, l'ouvrir puis regarde le contenu de celle-ci. Un soupir s'échappe de sa bouche, elle avait un visage rassuré et ce lève en ayant un sourire aux lèvres. Elle leurs adresse quelques mots et commence à courir. La direction emprunter aller là rapprocher plus rapidement du petit chat cheshire mais je ne pouvais avoir un sourire et un sentiment de soulagement qu'ils puissent ce revoir. J'avais aussi une légère incompréhension de ses sentiments qui m'animent, je pouvais faire ce que je souhaitais alors pourquoi suis-je à ce point heureux de les revoirs ensembles.Les observant avec difficulté me fis légèrement ricaner puis un profond désir sadique me pris. Je voulais absolument voir ce e qu'il ce passerait si, je faisais en sorte de les blessés encore plus, me mordilla la lèvre, je lève légèrement le poignet de ma main droite et l'incline délicatement. Ce simple geste rendis Jiyu et Cipher couvert de blessure, rien qu'à cette vue, je me mordis l'index de ma main droite. J'ai l'impression que, je vais bien rigoler. Les deux amis tournent leurs têtes en direction du ciel, ils avaient parfaitement compris que la partie de cache-cache aller bientôt ce terminer et qu'ils leurs restent très peu de temps. Les deux se ruer, tout en recevant plusieurs salves de balle, le garçon à oreille de chat esquiver avec énormément de facilité malgré quelques égratignures qui apparaissent mais la fille aux cheveux noirs se prennent d'innombrables balle et n'arrêtait pas de revenir à la vie. La chapelier passe par une ruelle des hommes étaient sur le toit pointant leurs armes sur elle, elle plonge vers les détritus qui était présent pour ce protéger et courut tout du long, le garçon quand à lui ne voyais plus d'hommes armés puis une voix retentit. A toute les personnes cessé le feu, ordre du patron ! A cette instant, mes deux tarés avaient compris que la partie était belle est bien terminé et qu'ils avaient perdus.