Environ 43200 heures,720 minutes et 30 jours, autrement dit un mois c'est écoulé. Ce quotidien pénitentiaire qui semble être le paradis pour n'importe quel homme peut aussitôt démontrer des aspects plus contraignants ou cauchemardesques... C'était en apparence une prairie de sensations fortes et saveurs exaltantes pour une personne qui en est vraiment dans le besoin de contact affectifs tel que le jeune élu, essayant tant bien que mal de s'extirper de se tas de corps tout aussi imposants que magnifiquement élancé au dessus de lui. Chaque jours commença ainsi et se conclua ainsi de même ce faisant goûter et partager par ses femmes impitoyables et coriaces mais qui se révélaient nécessiteuses, affamées et bien plus qu'avide, ne laissant non plus le temps au simple "instrument de jeune" pris au piège dans un tourbillon de luxure bien que cela le dérangeait au plus haut point. Il parvient enfin à se libérer de leur emprise, elles dormaient toutes épuisées par les différents efforts et niveaux de plaisir atteints manipulant efficacement le "jeune produit défectueux" mais plutôt bon à leur goût. Les doigts serrés aux draps épais, tandis que le jeune homme essayait de prendre sur lui-même ne voulant pas montrer d'indices de vulnérabilité alors qu'il continue de compter les jours puis les semaines puis les mois... sa respiration saccadé et irrégulière pendant qu'il gardait en tête ses moments de satisfactions mais aussi des marques de baisers ou morsures apparentes autour de son cou, des griffures et légères lacerations le long de son dos, plein d'autres signes d'héritages lui étaient laisser après chaque moments mais il se contente de gémir en silence. Le désir n'es louable et bon qu'au court terme,se disait-il inlassablement à l'intérieur de son subconscient essayant de se convaincre la véracité de ses pensées envers cette "stimulation éphémère" ,cela lui permettait d'oublier, mais une fois l'effet dissiper il ne reste plus que le passé.
Les ténèbres faisaient place à l'aurore, les rayons du soleil pénétrant les nuages au dessus de la tribu, le jeune homme descendit du lit ramassa le peu de vêtements qu'il possède éparpillés un peu partout au sol afin de s'en aller sans vouloir troubler le sommeil réparateur de ses intimidantes "propriétaires". En dehors de l'habitation tout près de la grande cour il se fit accueillir par son éternelle accompagnatrice,suba. Adossée contre le mur en face elle resta comme toujours à jeter un coup d'œil à son boulet. Elle s'approcha et veilla à tapoter sa joue plus ses cheveux déjà en bataille afin de se rassurer de se rassurer de son immersion dans le monde réel après tout ses ebats amoureux et intenses.
Suba:"oh tu en fait une tête, petit idiot."
Elle se moqua comme toujours après qu'il ait eut sa dose d'affection, lui orna un sourire narquois mais avec le temps quelque chose d'autre pris place comme une certaine forme de sympathie voir même...de la pitié ? Elle ne pouvait l'accepter pensant qu'il n'a pas un quelconque intérêt à sympathiser avec un "faible", mais l'être humain peut se montrer si contradiction.