Ceci est une histoire ce passant dans l'univers de My Hero Académia. Arata Issei est un collégien qui vit une vie banale dans son petit village, mais quand sa vie est détruite, il est brisé et tout ce qu'il connaît part au loin. Mais maintenant il est déterminé à se venger... Avant l'ère de la chute d'All Might, il y eu celle du Symbole de la Paix. Mais qu'y eut-il entre ces deux ères ? Entre chaque changement d'époque dans l'histoire il y a une cause, un très grand évènement. L'histoire est toujours plus compliquée qu'elle n'y paraît. En effet le combat contre All for One est la clé, enfin...l'histoire est toujours plus compliquée... L'histoire prends place (commence) après la mort du maître d'All Might, et quand All Might est parti s'entraîner aux États-Unis. Je publie l'histoire principalement sur Wattpad. Donc, allez plutôt la lire là-bas. (Chapitres sortis un peu avant, commentaires...) https://www.wattpad.com/story/265829686-before-the-war
Je suis une légende
D'après les gens qui m'ont trouvé, j'étais comme la lumière qui éclairait les ténèbres, une source de chaleur, une chaleur agréable...
Plutôt chelou quand j'y pense...
Tout ce que je sais sur mon passé c'est que j'en sais rien. Des gens m'ont trouvé bébé, seul, dans une forêt. Un jour de neige en plus, le destin s'acharne vraiment sur moi. Le pire c'est que je n'avais rien, je n'étais ni malade ni rien du tout, quand ils m'ont ramené au commissariat ils étaient plus mal en point que moi.
Quand j'y pense ça me fait rire, puis ça me rend triste...
Il parait qu'avant ma "naissance" une grande héroïne est morte en combattant un vilain du nom de "All for One".
Je m'appelle Arata Issei, et ce nom je le chérit plus que tout. C'est celui que m'a donné ma mère adoptive, c'est le lien qui prouve qu'on est liés. Arata Kozato c'est la mère parfaite, elle m'a toujours soutenue, encouragée, et remis sur le droit chemin... Avec cette pointe d'autorité qui m'empêchait de faire toutes sortes de bêtises. Elle était là quand j'avais besoin d'elle, elle m'empêchait de sombrer, elle était la chaleur qui faisait de ma vie quelque chose d'agréable malgré les obstacles.
Elle m'a fait comme je suis et c'est pour ça que je l'aime.
Je suis actuellement en 3ème et mon alter a commencé à apparaître quand j'avais 3 ans. De petites oreilles de chat poussait lentement dans ma chevelure, puis une queue fit de même. Et je pus aussi faire rapetisser et grandir mes ongles en les rendant tranchants à volonté. Comme n'importe quelle partie du corps, ces particularités se développèrent normalement. Mais je ne possédais pas uniquement ça du chat : j'avais les même habiletés et caractéristiques qu'un chat (souplesse, force à l'échelle, vitesse...). On en déduit donc facilement ce qu'était mon alter.
Mais les différences, même en cette époque où elles sont nombreuses à cause des alters, sont toujours prétexte à la discrimination. Je fus donc victime de harcèlement pendant quelques temps, mais par chance je fus capable plutôt rapidement de faire disparaître mes oreilles et ma queue. Ce qui mit fin à cette période de harcèlement. Mais ce passage de ma vie m'a fait renier cette partie de moi, je n'aime pas la montrer.
Maintenant je maîtrise plutôt bien mon alter, ce qui fait de moi un des plus fort de mon collège, mais cela ne m'empêche pas d'être solitaire.
--—
Du feu. Beaucoup de feu. Du feu dans lequel je me noie, il m'engloutit dans une très grande tristesse. Tout semble flou, de plus en plus...
Je me réveille en sortant d'un rêve étrange. Je souffle, comme soulagé, puis me réveille complètement.
--—
Haaaa, plus qu'un trimestre et le collège c'est fini ! Enfin les grandes vacances, un peu de tranquillité. Je me lève souriant, sort de mon lit, prend quelques habits et rejoins ma mère au petit déjeuner.
« Salut Maman, dis-je toujours en souriant.
-Bonjour Issei, me répondit-elle avec sa chaleur habituelle.
-Il se passe quoi aux infos ?
-Je ne sais pas apparemment des vilains seraient venu s'installer en ville.
-Dans un petit village comme le nôtre, quel intérêt ?! »
Elle acquiesce d'un simple mouvement de tête. Je prends alors la télécommande et augmente le son.
« En effet, il semblerait qu'un petit groupe de vilains ait établit sa nouvelle base dans le petit village de Taketomi... Et ils se proclamerait comme venant d'une branche inférieure du grand regroupement de vilains : les Pro-Legends... »
« Vu comment ils s'affichent je doute qu'ils soient agressifs, ils doivent sûrement vouloir étendre leur territoire, dis-je avec mon air omniscient.
-Probablement, mais il faut quand même être vigilant.
-Oui oui maman, t'inquiète pas. »
Je prends finalement mon sac et sort de ma maison en allant sur le chemin du collège. Et il ne se passa que peu de temps avant que je rencontre Konya.
Konya c'est mon meilleur ami depuis de nombreuses années, il est généreux et gentil. Ces qualités ont beau être remarquables, elles deviennent vite un enfer si on ne les mesures pas... Et c'est le cas de Konya, il est trop généreux et trop gentil, mais ce n'est pas le seul problème. Son alter est très faible, il peut uniquement émettre une faible lumière de sa main droite. Et en plus, ils lui ont donné un nom pas très..., comment dire, qui le met encore moins en valeur : Lampe torche...
Et comme on peut le deviner à toutes ces caractéristiques il s'est fait lui aussi harcelé. Je l'ai rencontré quand je sortais de ma période de harcèlement, et le voyant martyrisé par ses camarades de classe je ne pus m'empêcher de me rappeler la douleur que ça faisait. Alors j'allas le « sauver » puis je le pris sous mon aile, de cette manière il ne s'est plus fait harceler depuis ce jour.
On prend le même chemin pour aller à l'école donc c'est plutôt pratique, on part toujours un peu en avance pour pouvoir parler un petit peu en marchant.
--—
On arrive au collège à l'heure puis on se sépare pour aller dans nos classes. On n'est pas dans la même classe mais tout le monde sait qu'il est mon ami donc personne ne l'embête et ça lui a aussi permis de se faire d'autres potes.
Les cours passent, c'est chiant. Il y a toujours Esumi Ruko qui me lance des regards de temps à autres, du genre : « Viens on va se battre pour voir qui est le plus fort, je suis sûr que tu fais genre t'es fort alors qu'en fait t'es nul... »
Il y a aussi Yoshida Gemmei, qui elle pour le coup ne veux pas se battre mais c'est jusque que « je l'intrigue »... Je me souviens quand elle avait dit ça : c'était entre deux cours on était dans la classe et je lui avais demandé pourquoi elle me fixait depuis le matin et elle m'avait répondu « Je sais pas, c'est juste que...tu sais, t u m' i n t r i g u e »
Ça avait mis un énorme malaise dans la classe, tout le monde nous regardaient et moi je pensais : « Heuuu, Ok...je suppose...
-Hmm ? »
Merde.
J'avais parlé à voix haute.
Depuis ce jour elle me fixe encore plus. Je pense qu'elle a dû tomber dans une marmite quand elle était petite. Pas pleine de potion magique mais totalement vide. Bah, se cogner la tête quand on est petit ça doit surement avoir des répercutions, je suppose...
Enfin Bref.
--—
Je retrouve Konya pour la pose du midi et on va sur le toit pour manger. On monte les escaliers et j'entends des voix sur le toit. J'active mon alter, en présence de certaines personnes (uniquement ma mère et Konya en fait) je peux monter mes oreilles (ma queue étant caché dans mes habits de base).
J'entends le groupe d'Esumi qui parle.
« Et merde.
-Quoi ? Me demande Konya.
-Il y a Esumi et sa bande sur le toit.
-Haaaa, bah on va manger dans la cour. »
Il est en train de se retourner.
« Non, dis-je d'un ton sérieux »
Il me regarde en se questionnant.
« C'est mort, tu crois qu'ils vont nous empêcher de bouffer où on veut ?
-Je sais très bien qu'ils ne pourront rien faire contre toi, mais je n'ai pas envie d'embrouille pour rien...
-Bah fait ce que tu veux, moi je vais manger là-haut... »
Je monte les dernières marches et il me suit. J'ouvre la porte et-
« Ohohoh, mais ce ne serait pas Arata et son petit protégé Konya par hasard ? dit Esumi en nous provoquant.
-Tu t'es pris pour le père noël ou quoi ? Réagis-je en souriant.
-Hooooo ! Firent le reste de sa bande.
-Ok tu veux te battre fillette ? Me demande Esumi énervé.
-Si tu veux mais tu pourrais arrêter d'être énerver ?
-Pourquoi !?
-Parce qu'il y a trop de sel, ça me pique les yeux. »
Il me fonce dessus en me lançant des lames de vent. Il utilise son alter dès le début du combat ? Il doit vraiment être énerver. Juste avant que les lames me touche je mets ma capuche, pour cacher mes oreilles de chat, active mon alter et saute très haut.
Grâce à mes sens très aiguisés le temps est comme plus lent pour moi. J'ai le temps d'analyser la situation, et comme j'ai la flemme je décide d'en finir vite.
Je retombe sur le sol et m'élance à une très grande vitesse. Sans qu'il me voie venir j'arrive à son niveau et lui mets un coup de poing dans le plexus.
Il ne bouge plus puis d'un coup il attrape mon bras enfoncé dans son ventre, me lance un regard meurtrier, puis tente de me lancer son alter dans le visage. Je réagis à temps et sautes en lui tournant autour par le dessus. Je suis dos à dos avec lui, il lâche mon bras étant donné que dans cette position son bras est tordu.
Mais avant qu'il ait le temps de bouger je lui balaye les jambes tout en restant dos à dos. Il tombe sur le côté et se prend le sol violement, il tente de se relever mais je le finis par un coup de pied dans le ventre.
Je le regarde en souriant, mais il reste à terre.
« He, Issei, viens on va manger autre part, dit Konya en me regardant.
-...
-Aller, c'est gênant de toute façon.
-Tout ça pour ça, dis-je en soupirant, c'était de la perte de temps. Ok, j'arrive. »
--—
Les cours ne tardèrent pas à se finirent, la cloche sonne, tout le monde se ru vers la sortie comme d'habitude. Les surveillants essayent de les calmer tant bien que mal, mais on ne peut pas dire qu'ils aient vraiment du succès. Malgré cet entrain général il reste quelque personne ayant encore leur raison, marchant lentement.
Je me dirige vers l'endroit habituel où je retrouve Konya pour rentrer chez nous ensemble quand j'entends des bruits dans la ruelle à ma gauche. Je n'y prête pas attention jusqu'au moment où je reconnais la voix de Konya.
Je me précipite dans la ruelle et m'arrête net en voyant des gens frapper Konya en s'amusant...