A cinq heures du matin, un vent frais souffle sur leurs peaux, les bras croisés, des tremblements, les dents qui claquent et des visages fatigués.
- Ce n'est pas possible... Il fait super... F-froid. Rétorque Cipher avec ses oreilles et sa queue de chat apparente.
- Je ne s-sais, m-mais sérieux reprend ton apparence hu-humaine. Répondit Jiyu, tremblante, Cipher prit une apparence humaine, mais avait tout aussi froid.
- Vous pouvez-vous coller à moi, si vous avez froid ? Kill avait ouvert les portes du bar et les attendait à l'intérieur. Il semblait même en pleine forme, les deux jeunes, s'approchant de lui et s'accrochant de toutes leurs forces. Kill sort une feuille en papier et la leur donne puis il part doucement en bas.
- Le chat, c'est une liste de tâches à faire ?
- Humm... Il jette un coup d'œil. Tu as raison, du coup notre punition, c'est de s'occuper du bar quand Yuri n'est pas là.
- Oui, même si nous faire venir sous ce froid, c'était criminel...
- Oui... Mais on est quand même con, pour venir habillé léger, surtout en approche de l'hiver...
- ...
- Tenez des couvertures pour vous réchauffer. Le frère de Cipher jette des couvertures vers eux. Bon, je vais vous préparer des boissons chaudes.
Kill arrive avec deux tasses de chocolat, les deux jeunes les boivent, doucement pour éviter de se brûler. Une fois les tasses vidées, il est pris pour les laver puis revient pour inspecter la liste. Il regarde intensivement tout en lâchant des petits bruits de concentration. Il pose le bout de papier et regarde l'heure sur une horloge.
— Bon ! J'espère que vous êtes prêts pour une matinée chargée !
— Arrr ! Non... Je n'ai pas envie... Le clébard, on ne peut pas essayer d'esquiver le boulot ?
— Non...
— Génial.
— Bon, c'est parti ! Kill fait un grand sourire et montre une détermination dans sa gestuelle,suivie de Jiyu et Cipher moins motivées.
Pour commencer, Jiyu faisait les comptes de la caisse et bien sûr elle a dû recommencer plusieurs fois, dû à des erreurs de calcul, une fois cette étape terminée, ils réceptionnent la marchandise, contrôle ci tout est en ordre, puis les range dans la chambre froide derrière grâce au transpalette, ils mettent un coup de propre dans le bar en commençant par les toilettes donc Cipher avait la charge, le sol du salon les chaises, les tables, les portes qui avaient attrapé de la poussière et les fenêtres, pour finir il commençait à préparer la vaisselle à mettre en place pour les clients, et organiser le bar pour être prêt. Une fois toutes ces tâches effectuées, ils ouvrent les portes. Puis le temps passe et une personne entre dans la pièce, une femme d'une trentaine d'années, portant des bottes à talons, un short à ras les fesses, débardeur avec un grand décolleté, un manteau à fourrure, les cheveux attachés à la va-vite avec des épingles.
—Hustler, c'est toi ? Surprise de la voir ici, la jeune fille avait un visage surpris, Cipher regarde derrière son amie en étant blasé
— Yes bitch !
— Tu fais quoi ici ? Rétorque, la demoiselle en s'approchant d'elle.
— J'ai besoin de tune, en plus mon escroquerie, d'il y a quelques jours n'a pas fonctionné, du coup, je dois rembourser, une bonne somme. Hustler croise les bras au niveau de sa poitrine.
— Super arnaque. Répondu aussitôt Kill, qui ne semblait pas du tout enchanté de la voir. HEUREUSEMENT, qu'on est là pour t'aider à gagner un peu d'argent, HUSTLER, PAS VRAI ? On sentait qu'il insistait bien sûr des mots.
— Hey petit Google traduction, il a dit quoi l'autre pyromane ? En le pointant du doigt derrière son dos.
— En vrai, tu n'as pas besoin de traduction, vraiment...
— Ouais, bah, je ne comprends rien à ce qu'il me raconte l'Asiatique, moi, je suis Tunisienne et Brésilienne de base ! L'ANGLAIS ÇA EXISTE, TU SAIS ! Elle hurlait à côté des oreilles de la demoiselle et le jeune garçon aux cheveux blonds se couvrait les oreilles.
— GO FUCKING WORK, BITCH ! Kill, était fortement soulagé et par dans la pièce à dormir.
— Pourquoi faut-il qu'ils hurlent...
Toute cette animation s'est terminée, pour commencer une journée de boulot à trois-quarts le garçon aux cheveux sanguins n'était pas remonté, vers le début d'après-midi, de nombreux clients commencent à venir et Yuri et Kill sortent de la pièce pour les aider. La journée se termine, en pleine soirée, Yuri était toujours derrière le bar à nettoyer son plan de travail, Hustler jubilé devant les pourboires obtenus et Kill nettoie la vaisselle.
— Vive les pourboires ! fortement la dame avide d'argent. Hey le barman,quant est-ce-que j'aurais mon fric?
— À la fin du mois, comme tout le monde. Lui répondit en anglais, tout en continuant de ranger.
Hustler, soupir de dépit et part du bar en les laissant tout nettoyer, Kill sort des cuisines, il s'arrête un moment puis laisse échapper un sourire, le garçon aux cheveux charbons, regarde dans sa direction et aperçoit, les deux adolescents affalés sur des chaises endormis et complètement épuisés. Yuri et Kill partent prendre des couvertures puis les posent délicatement.
— Ils ont bien bossé. Yuri pose une main sur sa hanche avec une petite fierté.
— J'espère qu'ils ont compris et ne feront rien pendant quelques jours. Kill pose sa main sur son épaule, comme pour le rassurer.
Des heures se sont écoulées, depuis la fermeture du bar, Cipher était affalée sur son amie le bras effleurant le carnage du bar, il bouge légèrement pendant qu'il dort puis se retourne et tombe lourdement sur le sol, le bruit réveil brusquement, Jiyu qui était encore dans les vapes. Il se frotte le dos et lâche des bruits de douleur quant à la demoiselle qui émerge petit à petit, ils regardent autour d'eux et ne virent personne, les tables et chaises étaient rangées, la vaisselle n'était plus disposée sur les tables et le sol nettoyé, dehors, c'était la pénombre presque aucune lumière pour éclairer. Cipher et Jiyu se lèvent avec difficulté, tout en craquant leurs bras et jambes, le garçon regarde l'heure, il était déjà onze heures du soir passées, jetant à nouveau un regard vers l'extérieur puis en direction de son amie, ils regardent tous deux vers la porte de la pièce à vivre et hoche la tête. Ils ouvrent la porte, puis entendent une voix, la lumière des escaliers s'allume et Yuri apparaît au bout des escaliers.
Il était dans un pyjama blanc et gris, il baille et frotte, les yeux, les deux adolescents, descendent doucement pour éviter de faire du bruit, Kill était sur un canapé avec une couverture épaisse, le bras sous sa tête et l'autre tenant sa couverture. Yuri se met dans son lit et invite les deux à dormir, Cipher saute littéralement dessus et Jiyu s'écroule de fatigue.La lumière traverse les fenêtres en hauteur de la pièce, éclairant, le canapé où Kill était allongé et le lit donc Jiyu, Cipher dorment. Kill éblouit par la lumière du jour et bouge puis essaie de se cacher de la lumière mais comme il n'arrive pas à ce rendormir, il se lève, baille, s'étire, se frotte les yeux puis regarde le lit, la couette de cette dernière tombe, il se lève, remets la couette sur eux,sourit, regarde autour mais Yuri n'était pas dans la pièce à coucher, il regarde dans la salle de bain personne, il monte les marches en essayant de faire le moins de bruit possible, ouvre la porte, le bar était vide, la pièce pour les clients vide,les toilettes et les cuisine vide aussi mais les grilles métalliques étaient relevés, ce qu'il signifié qu'il était parti quelque part. Kill ouvre une porte et se pose contre le mur, croise les bras et attend. Quelques minutes ou plusieurs heures plus tard Yuri arrive, les mains dans sa veste en cuir, Kill regarde comme étonner.
— Bonjour, ça va ? Tu as bien dormi ? lui demande Yuri en se posant à côté de lui.
— Euh... Je... Euh... Il reste quelques secondes sans rien dire. Oui, bonjour, j'ai... J'ai bien dormi et je vais bien... Il continue de le regarder et essaie de regarder derrière sa veste.
— Qu'est-ce qu'il t'arrive encore ? Yuri ricane légèrement et cache son dos le plus possible.
— S'il te plaît... Tu peux... Tu peux te retourner juste quelques secondes.
— D'accord, juste pour te faire plaisir. Le garçon aux cheveux charbons se tourne doucement et derrière la veste en cuir était marqué du couleur doré en gros " Eternity is an illusion", il se retrouve face à face.
— C'est la veste que je t'ai offerte ! Tu l'as enfin mis ?
— Pff, tu rigoles, j'ai déjà mis la veste plein de fois.
— Ah vraiment ? Combien de fois au juste ? Kill avait un sourire sournois sur son visage.
— Aujourd'hui... Mais bon... C'est pour une occasion spéciale.
— Une occasion spéciale ? Il avait un regard intrigué puis Yuri le regardait à son tour.
Yuri lui donne un léger coup à son binôme puis sort un paquet de cigarettes, en sort une, l'allume et commence à fumer calmement, un vent frais vient les frôler, Kill frissonne, Yuri le regarde, le t'apporte l'épaule et lui fait signe de rentrer à l'intérieur, il lui répond d'un non de la tête.
Dans la pièce à dormir, Jiyu pousse Cipher du lit, ce qui le fait tomber, il pousse un cri et s'explose au sol puis à son tour prend la couette et la retire brutalement, son amie pousse un cri d'énervement. Elle se lève et sort du lit en faisant la tête, Cipher lui boude et ils montent les escaliers brusquement, ouvrent la porte et voient leurs frères discuter et rigoler dehors, Cipher reste sans bouger les observant, le regard vide et souffle, il sort dehors suivit de Jiyu puis discute avec eux.Le vent frais continué de frapper leurs peaux apparente, des gyrophares résonne au loin, les quatre tournent leurs têtes et Yuri les fait rentrer rapidement à l'intérieur. Ils s'exécutent rapidement puis le garçon aux cheveux charbons, prend sa sœur par le bras et l'emmène dans les frigos du bar et la cache dans un placard, elle bloque légèrement les portes du meuble.
—Yuri ! Laisse-moi rester !
— Tu sais très bien, que tu ne peux pas.
— s'il te plaît.
— Désolé, c'est impossible, je suis vraiment navré. Yuri enlève sa veste et enroule autour de sa sœur, il lui caresse la tête.
— Je le sais maintenant, je le sais très bien. Jiyu rentre dans le placard entièrement pour que son frère puisse fermer derrière, les portes se ferment sur le sourire et un regard rassuré de son grand frère.
Des bruits de pas résonnent sur le parquet du bar, au son du bruit, c'étaient des semelles en fer qui résonnent, le bruit des mensonges et de clés s'entend. Yuri sort discrètement de la cuisine pour éviter le moindre soupçon, puis se précipite derrière le bar et attrape un vieux torchon et prend une bouteille pour la remettre à sa place comme s'il venait de la ranger. Sa vue scrute la pièce, à peine quelques mètres de l'entrée deux hommes d'une trentaine ou quarantaine d'années, vêtus de chapeau de cow-boy et une tenue rappelant celle des policiers au Mexique. Un notre coup d'œil dans la pièce afin de repérer Kill et Cipher, faisant semblant de faire une partie de billard. Le bruit du bâton tapant violemment, l'une sur la boule blanche et fait rentrer une boule pleine de couleurs rouge dans un trou puis rejoue et en mets deux autres et son troisième coup puis rate avec le bruit de la canne en bois qui tape contre le bord du Billard.
— Pardonner notre entrée si soudaine messieurs, mais nous désirons boire. L'un des messieurs, qui avait pris la parole, parle clairement américain avec un léger accent du Kansas, les mains posées sur sa grande ceinture de son uniforme.
— Le bar est fermé, messieurs.
Yuri avait répondu instinctivement en japonais comme à son habitude, les deux hommes se regardaient puis ricanent légèrement, il s'avance du comptoir et s'assoit, posé leurs chapeaux.
— Désolée, jeune homme, mais la langue qui prime ici, c'est l'anglais ou l'Américain. L'homme, le regard fixe puis regarde derrière lui. Oh ! Je n'en reviens pas, dites moi que je ne rêve pas ? Dit-il d'un ton moqueur. Kill, il descend de sa chaise en laissant violemment tomber ses talons sur le sol, je vois que tu fais une partie avec ton petit frère. Il regarde Cipher, du coin de l'œil. Je suis étonné qu'il continue de traîner avec toi, personnellement... Il a le regard d'un air supérieur. J'aurais coupé complètement les ponts avec toi, en plus le commissariat semble vide sans toi, hum... Kill, le regard dans les yeux, était plutôt calme. Bon puisque le bar est fermé, messieurs, nous vous laissons !
Il s'approche du bar, afin de récupérer son champ, mais Yuri, lui plante un couteau sur sa veste, puis du voix sèche.
— Jouer pas dans mon bar et encore moi, faites les malins. Mon territoire ! Mes règles !
— Humm, j'espère que tu respectes bien les règles qu'on t'a imposées, le japonais.
Il prend son chapeau, enlève le couteau puis part avec son collègue.
Les portes battantes derrière eux et l'ombre de leur silhouette s'éloignant, le garçon aux cheveux charbons, va dans la cuisine et ouvre les portes puis fait sortir sa sœur, il jette un coup d'œil pour voir si tout va bien, et ils retournent dans la salle principale, Cipher était dans ses pensées et rangé rapidement la canne en bois. Jiyu s'assoit sur une chaise suivie de Cipher qui ne dit toujours rien et de Kill soufflent.
— Bon, Jiyu, Cipher. Commence Yuri d'une voix sérieuse. J'ai décidé qu'à partir de demain Kill vous surveillera et prendra soin de vous, quand je ne serais pas là.
— Quoi ! Répondirent les deux adolescents.
— Hein ? Je n'ai rien demandé !
Kill pose ses mains sur les épaules de son binôme.
— N'essayez pas, de me faire changer d'avis, j'ai pris ma décision.
— Attends, Yuri ! Pourquoi, moi ?
— Parce que tu es l'une des personnes en qui je peux compter, tu le sais bien. Et puis, je n'ai pas besoin de te le rappeler, pas vrai ? Yuri lui fait un sourire malicieux.
— Non, je le sais bien. Il détourne le regard. Mais je t'aide déjà au bar, tu ne peux pas gérer tout seul ?
— Qui t'a dit que j'étais seul à gérer le bar ?
— Attends ? Non ! Non ! Tu ne vas pas me dire... Non... Sérieusement !
—Humm ! On vous dérange peut-être ? Jiyu avait haussé la voix pour qu'on puisse bien l'entendre.
— Le clébard et moi, on n'a pas besoin que quelqu'un nous surveille.
— Tu en es vraiment sûr ? Yuri, lui répond d'un air blasé.
— Je suis du même avis que le chat, on n'a pas besoin que Kill nous surveille.
— C'est moi qui commande ici, j'ai pris ma décision point, de toute façon, il ne va pas vous suivre tout le temps, c'est vraiment que si, j'ai un mauvais pressentiment, ok. D'autant plus, que je vais le payer.
— Attends, quoi ? Me payer ? Si ce n'est que ça, je travaille même aujourd'hui si tu veux. Kill, avait un ton narquois.
— Sûr, ce, rentrer au ranch, Makoto, ne va pas rester toute seule éternellement.
— Soupir, Bon, très bien. Jiyu attrape Cipher par le bras puis sort tous deux du bar.
— Alors, combien, tu veux en plus sur ta paie ?
—Laisse tomber, je ne veux rien du tout.
— Euh... Tu en es sûr ? Ça te fera de l'argent de côté pour te faire plaisir.
— Yuri, je n'ai pas besoin d'argent en plus, j'ai un toit où dormir, de quoi vivre confortablement, de la bonne compagnie. Kill pose sa main à nouveau sur son épaule.
— Je m'inquiète pour toi. Et t'ont frère aussi, j'ai vu la tête qu'il a fait quand, le policier à parler du commissariat...
— Je sais, mais ne t'inquiètes pas, je m'occupe de vous aussi, tu n'es pas le seul.
— Oui. Yuri pose sa main sur celle de Kill est semble plus rassuré.
Le stress de son ami redescendu, il décide de descendre en bas puis revient quelques minutes plus tard avec du papier, un ruban adhésif et un stylo. Il commence à écrire et surveillé du regard de l'œil par le garçon aux cheveux sanguins, ensuite le ruban adhésif pose des bouts de chaque côté de la feuille et la plaque à l'extérieur du bar.
— Voilà, demain grève pour le bar. Il se frotte les mains et prend un manteau et part dehors.
— Hey ! Attends ! Kill le suit rapidement. Tu es sûr de toi ?
— Mais oui. Lui répondit-il instinctivement. Demain, je suis pénard, je fais essayer de changer les papiers habituels et de faire d'autres trucs... Qui ne sont pas ...
— Humm... Kill lève un sourcil, en lui faisant comprendre qu'il avait des doutes.
— Quoi ? Tu ne me crois pas ? Je te promets que c'est vrai... En plus, si je veux bosser demain, j'ai juste à faire un petit boulot à gauche ou à droite.
—Mouais, bien rattrapé, tu es un peu suspect.
— Tu rigoles entre nous, c'est toi, le plus suspect. Yuri avait un ton de voix à la fois moqueur et à la limite du rire.
— C'est vrai... Bon, bah moi, je vais te laisser. À PLUS TARD ! Kill part dans une autre rue en faisant signe de la main.
— Humm... Lâcheur. Yuri, roule des yeux, affiche un sourire puis continue son chemin.
Yuri, marché en étant perdu dans ses pensées, le vent qui était frais éraflé ses joues devenant rosâtre, il remonte le col de son manteau afin de se réchauffer, les mains dans les poches, il songeait.
" Si, je n'avais pas caché, Jiyu... Qu'est-ce qu'ils auraient fait ?"
"Est ce que maintenant, je pourrais changer le dossier ?"
"Combien de temps ça va durer ?"
"Kill, j'espère qu'il fait attention"
"J'espère qu'il sera se montrer discret, il fait moins de conneries en ce moment."
Tout ceci traverse en boucle, dans sa tête, toujours effleuré par le vent devenant plus supportable, il finit de marcher puis relève la tête, il était au centre-ville et devant son regard le commissariat, il regarde quelques secondes puis ouvre les portes.
Kill est revenu au quartier de Ghost rider, il semblait arborer un regard froid, marchand sans se soucier de ce qui l'entoure, il vit au sol des traces de sang d'hier, ayant posé l'une de ses chaussures dessus des traces de pas se dessiner sur la terre et les galets, il s'enfonce dans les rues jusqu'à trouver une maison plus éloigné que les autres et un peu plus en hauteur, elle semblait abandonné, il l'a regarde quelques instants, puis souffla, il continue sa marche dans les rues du quartier puis arrive devant un campement avec plusieurs petites maisons et des camping-car.
Il frappe à la porte d'une petite maison qui était mieux entretenue que les autres. La porte s'ouvrit et devant cette dernière Yakuza fit son apparition, un verre de scotch à la main.
— Qu'est-ce que tu veux encore ? Yakuza, but une gorgée de son verre et s'appuya sur le rebord de sa porte, son t-shirt se relève et montre légèrement le bas de son bassin.
— Attends, t'es torché ? Kill avait un visage étonné.
— Ta gueule, je ne t'ai rien demandé ! Yakuza commence à suivre son regard. Hey, je rêve où tu es en train de me mater.
— Oui et alors tu vas jeter ton verre ? Kill, lui avait répondu sans filtre et avait un visage neutre.
—Tss... Bon, qu'est-ce que tu veux ?
— Rien, je suis juste venu te dire qu'à partir de maintenant, je surveille les deux idiots. Le garçon aux cheveux sanguins avait les mains dans les poches puis s'approchait. Si tu as un problème avec eux, tu devras le régler avec moi. Son regard était sombre, ses yeux étaient à la fois clairs et sombres, la couleur était semblable à du sang.
— Je vois... Mais ça ne m'empêchera pas de tuer la gamine.
— Essaie et je viendrai te casser la gueule, connards ! Il le regarde à nouveau puis sourit. Humm, Tojo était beaucoup trop gentil avec toi, et puis j'ai vu largement mieux.
Il tourne brusquement les talons, Yakuza souffle de fatigue et pose son point sur son front et affiche un regard fatigué. Soudain, son verre prit feu et quelques bâtiments autour aussi. Il appelle des gens aux alentours pour éteindre ce dernier et il repart chez lui, avançant tout droit pour se rendre dans son salon et s'écrouler sur le canapé.
— Je suis épuisé…