Chapitre 168 Tu es un loup

Tan Zhenghong émit un ricanement niais par deux fois, releva rapidement les objets tombés, et pouffa, l'air timide de sa femme était vraiment mignon.

Avec cet incident, la séance d'acuponcture de cette soirée devint gênante.

Une fois que Qiao Duo'er eut terminé avec les aiguilles, elle ne put s'empêcher de laisser son regard dériver. Devant elle se tenait un bel homme portant seulement un short court retroussé à la taille, révélant sans équivoque une physique indéniable. Comment ne pouvait-elle pas laisser son esprit s'emporter par les pensées?

Elle avala inconsciemment, ce sentiment de bouche sèche revenant.

Après avoir observé un moment, Qiao Duo'er, poussée par une impulsion, tendit la main et toucha ses abdos.

Fermes, rebondis au toucher, c'était plutôt agréable.

Après avoir appuyé sur les abdos, sa main se déplaça lentement vers les muscles pectoraux, où elle s'arrêta de nouveau, songeant à la platitude de sa propre poitrine, Qiao Duo'er se sentit déprimée.