Je préférerais que vous coopériez, ma Dame

Le prince Théron a ri de sa réaction adorable. Il a touché le bout de son nez avec le sien. "Quand tu as profité de mes lèvres, je suis sûr que je ne t'ai causé aucun dérangement. Tu étais libre de faire ce que tu voulais. Ne te sens-tu pas mal pour moi ?"

Esther n'a pas réagi à sa taquinerie et a continué de garder ses yeux et sa bouche fermés. Son apparence faisait penser au prince Théron à un lapin idiot devant un loup affamé, pensant qu'en fermant les yeux le loup s'en irait de lui-même.

Il a joyeusement cogné son nez contre le sien à nouveau. "Si tu insistes pour me causer du dérangement, alors nous pouvons poursuivre avec le prochain châtiment. Les uniformes des serviteurs royaux sont taillés pour être faciles à mettre et à enlever, pour le bien de la commodité du travail. Enlever ta robe ne sera pas difficile pour moi."