Chapitre 325 - être prudent...

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Alors qu'elle était attachée à la chaise, elle n'a pas cessé de crier de douleur à cause de ses os brisés jusqu'à ce qu'elle perde connaissance.

"Je reviendrai," dit le général à ses hommes.

Deux heures plus tard.

"De l'eau," a plaidé Mara, qui avait repris connaissance et demandait, ses yeux fermés tandis qu'un des gardes du corps ricana,

"Personne n'est ta femme de chambre ici."

Mara a ouvert les yeux faiblement. Elle était heureuse que le général ne soit pas là.

Ses mains étaient liées et c'était si douloureux parce que ses os étaient brisés et qu'on ne lui avait donné aucun antidouleur.

"S'il vous plaît, aidez-moi et je vais vous donner tout ce que vous voulez," marmonna-t-elle, agressée par la douleur dans ses bras et ses jambes qui étaient déjà rouges et enflés mais les hommes l'entendirent et éclatèrent de rire.

"Qu'est-ce qui te fait penser que nous voulons quelque chose de toi?" L'un d'eux demanda, la regardant comme un déchet.