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Dont look back

Author: Emirielle
LGBT+
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Synopsis

Ayafumi, un lycéen de dix-sept ans, vit dans la terreur de la violence qui règne dans son école, le lycée Fujinomiya, réputé pour sa criminalité. Tiraillé par sa peur, il s'efforce de l'éviter à tout prix. Cependant, ses camarades, conscients de sa vulnérabilité, le harcèlent de plus en plus, le plaçant dans des situations de plus en plus dangereuses. Un jour, il est victime d'une machination qui le conduit entre les mains du redoutable gang du lycée, les Ryūjin, dirigé par le sadique Kazuki Tanaka. Soumis à une brutalité inouïe, Ayafumi se retrouve confronté à un choix déterminant pour son avenir. Quelques temps plus tard, alors qu'il rentre chez lui après des courses, Ayafumi découvre Kazuki dans un état alarmant. Malgré son ressentiment, il décide de lui tendre la main, ignorant que ce geste altruiste va bouleverser le cours de sa vie à jamais.

Chapter 1chapitre 1

Le réveil sonna, rompant brutalement le silence paisible de ma chambre,. J'ouvris les yeux avec réticence, laissant mon regard se poser sur la photo de mon père posée sur ma table de chevet. Il me sourit, un homme aimant et bienvaillant..

Je me levai, enfouissant ses pensées dans le recoins le plus lointain de mon esprit . Les souvenirs de notre vie ensemble, avant qu'il ne disparaisse me réconfortèrent dans l'obscurité de la nuit. Je regardais mon uniforme posé cintre accroché à la porte de mon armoire, une boule se créa dans ma gorge et une peur insidieuse traversa tout mon corps, le faisant frémir. Je me décida à me lever, enfouissant mes pensées stressante le plus loin possible . Mon studio, était à l'image de ma vie : en piteux état, il ne contenait que le strict nécessaire, à l'exception de la photo de mon père, mon bien le plus précieux. Je m'habillai rapidement, me préparant mentalement pour affronter une nouvelle journée au lycée Fujinomiya.

Dans le bus , je me fondis dans la masse anonyme des élèves, évitant soigneusement tout contact visuel.

Arrivé au lycée, je m'engouffrai dans les couloirs, espérant passer inaperçu, mais la destinée en décida autrement. Les railleries et les moqueries fusaient dès que je posais un pied dans les couloirs. Je ne comprenais pas pourquoi j'étais la cible de tant de haine, et puis un jour, tout s'éclaira.

Je trouvais une lettre glissée dans mon casier, écrite avec des mots d'une cruauté insoutenable. Elle révélait un secret que je croyais enfoui à jamais : les sombres agissement de mon beau-père, un homme connu pour son comportement abusif envers les jeunes filles de mon ancien quartier..

Le contenu de cette lettre se répandit comme une trainée de poudre dans tout le lycée. Soudain, je me retrouvai isolé, rejeté par mes camarades qui me considérait comme le fils d'un malade en puissance.. Chaque regard accusateur, chaque chuchotement méprisants chaque rire moqueur creusait un peu plus le gouffre dans lequel je m'enfonçais.

Ma salle de classe était le seul endroit ou j'avais la paix, ma classe n'était pas la plus turbulente de l'établissement, et les enseignants arrivait a tenir quelque peu les élèves les plus embêtant....Mais les heures de classe était malheureusement pas éternel et dès les première pose, mon sort étais jeté... Des coups « maladroitement » donnée, des insultes à peine dissimulé et des remarques toute plus ignoble les une que les autres. Ma cicatrice me démangeait affreusement, le stresse et la peur réveillait de vielle blessures mais il m'était impossible d'assouvir cette pulsion, au risque de leur donner d'autre raison de me tourmanter.

A la pose déjeuner, je sorti de la salle de classe à la recherche d'un coin isolé pour manger mon repas, mais je fut tiré en arrière et tiré dans un cul de sac étroit .

- On te cherchait, Tu nous fui ou quoi ? On va pas te manger tu sais ...

La voix de Jun , le meneur du groupe qui me harcèle était toujours aussi fausse, ses grand air me rendait fou mais il m'étais impossible de lui répondre, bien trop peureux et surtout effrayé des conséquences que cela aurait.

- Je...voulais juste mangé dans le calme...

- Oui oui... prend nous pour des cons ! Bref on n'a un service à te demander, tu va accepter n'est-ce pas Ayafumi ?

Sa main encore posée sur mon épaule se resserra et son regard changea, le non n'était visiblement pas envisageable..

- Euh...

- Parfait ! On doit nettoyer le batiment est pour le fête de l'école mais tu comprend on n'a prévue autre chose, donc.. c'est TOI qui va t'en charger , compris ?!

- Je ne ...

Un cri aiguë plaintif sorti de mes lèvres, la pression exercé sur mon épaule était douloureuse, et bien que j'essayait de me soustraire de sa poigne, je ne faisait qu'augmenter la pression. Apeurés je senti mes larmes commencer à couler, et l'envie de demander l'aide de mon père , comme un enfant me traversa l'esprit mais cela n'aurai servi à rien.. cela aurait juste été de jeter une bouteille à la mer.

- Oh Ayafumi... A chaque fois tu finis par pleurer et tu nous fait passer pour des méchants , si seulement tu était obéissant... tu devrais savoir comment le faire ton beau-père a du te l'enseigner !

- Je ... vais le faire PROMIS !

Je reculais dès que la pression diminua , massant l'endroit douloureux quelques seconde avant de venir essuyer mes joues humides.

- Va dans le bâtiment à la fin des cours on t'aura tout préparé, on n'est sympa tu vois ! Allez à plus mon petit Aya .

Ils me laissèrent la, leurs rire faisant écho dans le murmure du vent.

Mes yeux violet boursoufflé par mes larmes , mon regard perdu dans le ciel je compris rapidement que cette histoire était louche mais j'avais promis et mon père m'avait appris à toujours tenir ses promesses et ceux qu'importe ce qu'il ce passe.

Le bâtiment ressemblait à un lieu totalement abandonné , il se dressait devant moi, une masse sombre et imposante qui semblait dévorer la lumière environnante. Ses murs étaient criblés de fissures, la peinture écaillée laissant entrevoir le béton nu et grisâtre en dessous. Les fenêtres étaient recouvertes de poussières et de crasse, certaines brisées laissant échapper des lambeaux de verre brisée.

A l'intérieur, l'atmosphère était étouffante, chargée d'une odeur de moisi et de désespoir. La lumière du jour peinait à percer à travers les fenêtres sales, créant des ombres dansante qui semblaient prendre vie. Le sol était jonché de débris et de poussière, chaque pas soulevant un nuage de particules qui dansaient dans les rayons de lumières.

Les objets de nettoyage laissés par mes harceleurs étaient dispersés ici et là, témoins muets de leur mépris. Des balais usés et des seaux éventrés gisaient sur le sol, abandonnés comme des trophées macabres dans ce théâtre de l'absurde. Des chiffons sales pendaient négligemment des étagères, imprégnés de saleté et de crasse.

- Super...

Le silence oppressant était seulement brisé parle bruit lointain du vent qui s'engouffrait à travers les fissures, faisant frémir les vieilles poutres de bois pourries. Chaque craquement semblait résonner comme un avertissement, me rappelant la fragilité de cet endroit lugubre.. Je me demandai ce que mes harceleurs avaient espéré accomplir en me jetant ici. Etait-ce juste une autre manière de me rabaisser, de me montrer ma place dans ce monde cruel et impitoyable ?

Alors que je m'attelais à la tâche, le bruit de mes pas résonnait dans les couloirs déserts du bâtiment, rompant le silence lugubre qui y régnait. Chaque coup de balais, chaque raclement de chiffon semblait amplifier l'atmosphère oppressante qui m'entourait.

Mon pied frappa brutalement une armoire dont les étagère étaient remplie de vielle boite de peinture, leurs chute provoqua un brouhaha horrible qui me fit reculer de peur, la métal et le béton chantait harmonieusement, me rappelant ma maladresse.

- Merde... manquait plus que...

Soudain, le son d'une porte qui s'ouvre violemment me fit sursauter, interrompant mes efforts. Je levai les yeux pour découvrir trois membres du gang Ryujin, qui se tenaient devant moi, leurs regards perçants m'observant avec suspicion. Dans leurs expressions, je pouvais lire une menace muette, un avertissement implicite que j'avais franchi une limite invisible et que je devrais en payer le prix.

- Mais t'es qui toi putain ?!

La panique me pris et s'empara de moi, balayant l'air de mes mains tremblante , incapable de parler.

Le moment où je me fis attraper par les membres du groupes fut comme une descente aux enfers. Leurs mains, agrippées à mes bras, me traînaient avec une force implacable, m'entrainant vers l'obscurité étouffante des sous-sols du bâtiment. Chaque pas résonnait dans le silence pesant, comme le battement de mon cœur tambourinant dans ma poitrine. Les escaliers grinçaient sous nôtre poids, émettant des plaintes lugubres qui semblaient anticiper le destin funeste qui m'attendait plus bas. Je me débattais pour la première fois, sachant que ma vie était en danger mais leurs poigne était ferme et ne désirait pas me lâcher.

Enfin, nous atteignîmes le niveau inférieur, là où se trouvait leur repaire, leur QG secret. Une lueur faible émanait d'une ampoule vacillante, éclairant à peine les murs couverts de graffitis représentant un énorme dragon au yeux émeraude. L'air était lourd de tension, ravisseurs et de ma propre terreur grandissante. Je fus poussé, me retrouvant face à face avec les membres du gang, leur regard froid et impitoyable semblaient me transpercer, me jugeant comme un intrus, un ennemie à abattre. Je frissonnai, submergé par une vague de panique glacial, réalisant que j'était complètement à leur merci.

Une voix sorti de derrière moi, mais étant paralysé par la peur je n'osais me retourner. Cette voix était rauque et autoritaire mais avec une légère douceur dans le timbre.

- Qui es-tu ? Et pourquoi tu fouille dans notre bâtiment ?!

Sa question était rempli de colère et était menaçante.

Je tentai de parler, de leur expliquer que c'était un malentendu, que je n'étais pas leur ennemi, mais mes mots se perdirent dans le silence oppressant, étouffés par mes sanglots et la peur qui nouait ma gorge.

- Qui t'envoi ? REPOND !

Je senti mes cheveux être tiré vers l'arrière, avec une tels violence que je sentis mon cuir chevelu craquer, mon cœur tambourinait si fort que la douleur commençait à me donner la nausées. C'est alors que je le vis pour le première fois, le jeune homme qui tenait d'une main de fer les RYUJIN , Kazuki Tanaka. Son regard vert clair aurait pu êre magnifiques, si il n'était pas rempli de haine ... Il rapprocha son visage du mien, laissant ses magnifiques long cheveux blond tomber sur mes joues humides, je ne pu le regarder plus , car un coup brutal me fit valser quelque mètre plus loin.

Ma lèvre était déjà ouverte en deux et un filet rougeâtre s'écoulait, je ne bougeais pas, tétanisé. Je fermais les yeux et priais pour que cela ce termine vite... mais je perdis la notion du temps au fur et à mesure que les coups déferlait sur moi, je senti quelques os craqué avant que je ne tombe dans les pommes.

L'homme qui me battait fut arrêté par deux jeune gens, une jeune fille et un jeune homme.

- KAZU CALME TOI ! Ce gosse est la victime de la classe A, des bouffons lui ont fait une mauvaise blague !

J'entendais la voix de la jeune femme, qui semblais passer un sale savon à son chef... avant qu'une autre voix ce fasse entendre.

- Pauvre gosse.. Chef tu la pas loupé, on fait quoi de lui ? On le dépose à l'hosto ou devant les portes du bahut ? le gardien doit bientôt faire sa ronde...

Je gémissait en essayant de ne pas replonger dans les ténèbres mais la douleurs eu raison de moi...

A mon réveil j'était à l'infirmerie de l'école avec une infirmières dans tout ses états... et un corps si amoché que les pompiers furent appelés.

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