Lunea : Qu'est-ce qu'il y a ?
Ses yeux de loup sont revenus ! Il est dans une frénésie totale. Sa voix est devenue la même que celle de son loup, rauque avec une pointe de grognement.
Tayleur : Lunea, tu es à moi ! Rien qu'à moi !
Lunea : OUI !
Tayleur : Dis-le !
Je suis encore tremblante de ce qu'on appelle un orgasme ! S'il continue, je ne vais pas réussir à me calmer, j'ai besoin de lui en moi.
Lunea : JE SUIS À TOI, TAYLEUR !
Il m'enfonce deux doigts en moi, mais son intensité a baissé, il est plus lent.
Tayleur : Ton corps m'appartient ! Je veux que personne ne le touche, as-tu bien compris ?
Je ne peux plus, il continue à m'embrasser les tétons, à les mordiller tandis que ses doigts sont à l'intérieur de moi. Je perds le contrôle de mon corps qui se met totalement à trembler. Je hurle de plaisir avec des larmes aux yeux. Il se met à aller de plus en plus vite.
Lunea : Oui, oui, oui, Tayleur ! Je suis à toi, rien qu'à toi, mais s'il te plaît, arrête ça, je vais...
Il s'enfonce en moi d'un coup sec, tout son membre est à l'intérieur de moi. J'ai tellement hurlé que mon corps s'est relevé d'un seul coup et je l'ai entrelacé directement par le cou. Il m'a attrapée par les hanches pour m'avancer vers lui. Il attend quelques secondes, le temps que mon corps accepte son membre.
Tayleur : Tu es si étroite, c'est BON !
Il commence à faire des va-et-vient doucement en me regardant. Son regard est toujours le même, les yeux rouge sang. Il va de plus en plus vite, en me léchant le cou. Je hurle à poumons ouverts de plaisir, c'est tellement bon, c'est tellement incroyable. Arrivée au moment où mon corps va partir dans une extase totale, il va de plus en plus vite jusqu'à l'explosion totale. On hurle tous les deux de plaisir et mon corps se relâche sur le sien comme si je n'avais plus de force. Il m'embrasse sur le front.
..... Tayleur....
Je la regarde ; elle ferme les yeux pour s'endormir. Je lui donne un baiser sur le front. Je n'ai jamais auparavant vécu cela, c'était vraiment autre chose que ce que je connais habituellement. Son corps est totalement en accord avec le mien, c'est comme si nous ne faisions qu'un. L'orgasme que nous avons eu ensemble est comme une explosion de nos deux corps au même moment, une frénésie totale. Je la prends dans mes bras et me dirige vers sa meute. Tous les alpha sont déjà partis où copuler quelque part. Je monte dans ma chambre et je l'installe sur mon lit. Je la prends dans mes bras et je nous couvre. Je repense à ce qu'elle a dit. C'est une esclave maintenant, mais avant, elle faisait partie d'une grande meute et c'est la fille d'un alpha. Demain est un autre jour. Son petit corps se blottit contre moi comme si elle cherchait du réconfort ; c'est hallucinant l'effet qu'elle me fait.