Est-ce de la fierté ou quoi ?

Fu Hua et son équipe ont été très occupés avec le spectacle d'automne à venir, et ils ont travaillé sans relâche.

Cela faisait aussi quelques jours que Fu Hua n'avait pas parlé à sa petite amie. Il a finalement eu un peu de temps pour respirer après avoir travaillé sans relâche dans son bureau ce matin.

Tout en se détendant, il se souvint de Feng Alix et vérifia son téléphone, mais il n'y avait ni appels ni messages de sa part. Il soupira et posa son téléphone, refusant de l'appeler. Il n'avait pas le temps de calmer qui que ce soit.

Fu Hua était habitué à ce que les gens le poursuivent. Après le dernier appel avec sa petite amie, il savait qu'elle n'était pas contente de lui, mais il croyait n'avoir rien fait de mal, alors il refusait de céder.

Fu Hua remit son téléphone sur le bureau, refusant de l'appeler. Il avait beaucoup de travail à part calmer cette petite amie.

Il est arrivé une chose similaire à Feng Alix. Elle était plutôt contrariée que Fu Hua n'ait pas pris de ses nouvelles, et elle croyait qu'il savait qu'elle n'était pas de bonne humeur, mais il refusait quand même de l'appeler.

'Est-ce de l'orgueil ou quoi ?.' Feng Alix demanda avec un air agacé. 

Elle n'avait pas reçu de texte ou d'appel de son soi-disant petit ami pendant ces deux jours, et lui était très à l'aise. C'était toujours elle qui appelait pour s'excuser, et il ne savait pas comment calmer une femme.

  'Quel iceberg !' s'énerve Feng Alix.

Après s'être calmée, elle murmura pour elle-même, "Puisque tu ne veux pas t'excuser et me calmer, je ferai de même."

Comme elle avait une séance photo pour une publicité aujourd'hui, le manager de Feng Alix l'appela pour qu'elle descende.

C'est vrai, à cause de sa colère, elle avait oublié que son manager l'attendait en bas, donc avec l'appel, elle s'en souvint et elle prit son sac avec son téléphone à la main et quitta son appartement.

À la maison Qin, à plusieurs kilomètres de là, Li Huan est venu rendre visite. Cette fois-ci, la famille de trois était réunie.

Tandis qu'ils parlaient d'emplois en Ville, Mme Qin posa une question à Li Huan, à sa surprise, et à l'étonnement de M. Qin, car il ne savait pas pourquoi sa femme poserait une telle question.

"Li Huan, puisque tu as été en Ville depuis quelques années maintenant et avec un bon travail, je suis sûre que des jeunes femmes se battraient pour toi. As-tu une petite amie ?" demanda Mme Qin avec un sourire en regardant Li Huan.

Jia Li se sentit embarrassée par la question, alors elle détourna le visage. Son visage et son cou étaient déjà rouges de la question gênante posée par sa mère.

Bien qu'il fut surpris par la question soudaine qui était personnelle, Li Huan décida de répondre. Il sourit en disant, "Non, Tante, je suis toujours célibataire."

"Bien." Mme Qin répondit. Sa réponse la rendit heureuse. Elle avait tellement envie de faire un clin d'œil à Jia Li et de lui faire un pouce en l'air 👍, mais alors cela serait évident.

'Eh bien, il y a encore du temps après cela pour la taquiner.' Elle pensa.

Jia Li, pour sa part, se sentit soulagée que Li Huan soit toujours célibataire.

'Cela signifie que j'ai encore une chance.' Jia Li se dit à elle-même sur un ton excité.

Li Huan ne savait pas pourquoi Mme Qin avait posé cette question, mais il sentait que, étant réussi et beau, il était normal que les gens pensent qu'il aurait une petite amie à présent.

"Chéri, pourquoi as-tu posé cette question ? Li Huan est jeune et réussi, tu devrais respecter sa vie privée." M. Qin à sa femme en lui tenant la main.

"Il n'y a pas de problème oncle, cette famille est comme une seconde famille pour moi." Li Huan dit avec droiture.

"Bien !" Mme Qin dit avec un sourire, donc M. Qin dut également sourire.

Après que Li Huan a quitté leur maison ce jour-là, Mme Qin traîna immédiatement Jia Li dans sa chambre, après qu'elle était revenue de raccompagner Li Huang.

"Maman, qu'est-ce qu'il y a ?" Jia Li demanda alors que sa mère la traînait dans sa chambre à coucher.

"Ne devrais-tu pas me dire quelque chose ?" Mme Qin dit avec un sourire en regardant directement dans les yeux de sa fille.

"Merci !" Jia Li dit avant de monter dans son lit.

"Qu'est-ce que tu fais ? Tu dois préparer quelque chose de spécial pour moi, peut-être un dessert sucré ou quelque chose que j'aime, car je refuse d'accepter cette manière verbale de remercier." Mme Qin dit en restant debout à sa place.

"D'accord, ma Déesse, je préparerai un plat sucré pour te dire merci. Peux-tu me laisser maintenant ?" Jia Li demanda avec un sourire.

"Pas question, nous n'avons pas fini de parler." Mme Qin dit sur un ton excité en marchant vers le lit de Jia Li pour s'asseoir dessus avec un sourire.

"Maman ! Qu'est-ce que tu veux entendre ?" Jia Li demanda avec un air froncé sur son visage. Elle savait très bien que sa mère était intéressée par les potins.

"De quoi as-tu parlé avec Li Huan, tu as mis du temps à revenir dans la maison. Ton père l'a remarqué et j'ai dû le distraire." Mme Qin parla comme la bonne mère qu'elle était.

"Pas grand-chose. Il a demandé comment j'allais, puis nous avons échangé nos contacts." Jia Li répondit.

"C'est tout ?" Mme Qin demanda avec un sourire en coin.

"Il a dit qu'il m'appellerait plus tard." Jia Li ajouta en s'allongeant sur son lit, refusant de regarder sa mère.

"Je peux voir que tu rougis, mais il n'y a pas de temps pour ça. Viens faire la douceur que tu m'as promis, je t'attendrai dans ma chambre à coucher." Mme Qin dit en marchant vers la porte.

Jia Li leva la tête et se tourna pour regarder sa mère qui était sur le point de quitter sa chambre.

"Maman, il est tard, s'il te plaît laisse ça à demain." Elle supplia. Elle ne voulait pas entrer dans la cuisine pour cuisiner quoi que ce soit.

"Coucou ma chérie, je partirai tôt pour le travail demain matin." Mme Qin l'informa.