Quand Mu Lan se réveilla le lendemain matin, elle se sentit rafraîchie. Elle regarda la porte du balcon d'où la lumière du soleil saluait la pièce. Elle tournoya son corps en se levant. Elle se rafraîchit et descendit. Là, elle vit Mu Liang assis sur le canapé en train de lire le journal.
Il y avait une tasse de café chaud sur la table, elle se rendit compte qu'il n'avait pas attendu trop longtemps. Mu Lan le salua, "Bonjour, Liang Liang."
Entendant sa salutation, Mu Liang leva les yeux. Voyant son visage brillant, à l'opposé total de la nuit dernière, il se sentit soulagé. Il lui sourit aussi et la salua, "Bonjour."
Comme Mu Lan s'assit à côté de lui, Mu Liang lui donna un magazine de mode. Elle le remercia. Le voyant si détendu, Mu Lan leva les yeux vers l'horloge, il était presque l'heure de travailler. Alors elle demanda, "Liang Liang?"
Mu Liang leva les yeux et sourit, "Qu'est-ce qu'il y a?"
"Tu ne vas pas travailler?" demanda Mu Lan.
"En fait, aujourd'hui, je dois aller quelque part ailleurs. Quelqu'un vient de New York. Nous partirons ensemble."
Mu Liang n'osa pas dire qu'il allait visiter le dortoir des filles pour la décoration de sa chambre.
Mu Lan acquiesça, "Oh, d'accord." Puis elle regarda le magazine. Elle essaie de cacher son visage légèrement rosé. Elle pensait que la façon dont elle lui demandait donne l'impression qu'ils étaient un couple marié.
Bientôt, le Majordome en Chef est venu saluer Mu Lan et leur a dit que le petit déjeuner était prêt.
Après avoir terminé leur petit déjeuner, Mu Liang l'emmena dehors. Ils se rendirent à l'aile est où se trouvait le potager. Là, ils virent un homme en t-shirt et pantalon noir avec des lunettes noires. Il se tenait là avec deux Bergers Allemands.
En voyant Mu Liang et Mu Lan venir, ces bergers se mirent à aboyer et coururent vers eux. Mu Lan s'arrêta sur place. Elle n'avait pas peur mais restait prudente.
Les bergers ont d'abord sauté sur Mu Liang et lui ont donné quelques léchouilles sur les mains puis ils ont porté leur attention sur Mu Lan. Lorsqu'elle les vit la regarder avec suspicion, elle se rapprocha de Mu Liang. Voyant son inconfort, Mu Liang l'entoura de ses bras à la taille et la tira plus près de lui. Puis il les introduit à Mu Lan.
"Lan, ils sont Oscar et Lucy. Ils sont mari et femme. Récemment Lucy a donné naissance à des jumeaux, la fille s'appelle Lola et le garçon s'appelle Noé. Ils ont un mois. Ils sont revenus aujourd'hui. Parce que je les ai envoyés dans ma maison familiale en Italie quand j'ai entendu dire que Lucy était enceinte. Ma grand-mère adore Lucy. Ils semblent peu amicaux au premier abord. Pour les rendre amicaux, il suffit de se mettre à genoux, de leur donner ton plus doux sourire et d'essayer de serrer la main avec eux."
Selon les instructions de Mu Liang, Mu Lan s'agenouilla et sourit légèrement. Elle tendit sa main droite.
"Grrrr." Oscar se mit entre Lucy et elle. Il semblait très protecteur envers sa femme.
"Comporte-toi bien." Mu Liang l'avertit froidement.
Entendant l'avertissement de son maître, Oscar lui jeta un regard plein de pitié puis sentit la main de Mu Lan. 'Elle n'a pas l'air hostile ou d'une mauvaise fille, contrairement à ces harpies sans vergogne qui essaient de séduire mon maître.' Oscar était sage. Puis il avança sa patte droite pour lui serrer la main. 'Huh, ce n'est pas parce que je secoue ma patte avec toi que je te fais totalement confiance. Si tu veux rester avec le maître, ça ne me dérange pas mais reste loin de ma femme.' Oscar ricana.
Mu Lan fut très heureuse. Elle serra aussi la main avec Lucy.
Quand Mu Liang vit qu'ils ne lui seraient plus une menace, il regarda l'homme qui s'approchait d'eux. Cet homme en noir s'approcha et s'inclina devant lui.
Mu Liang dit à Mu Lan, "C'est Hugo Muller. Désormais, c'est ton garde du corps personnel."
Mu Lan fut surprise. "Je n'ai pas besoin d'un garde du corps." Elle protesta.
Mu Liang lui sourit, "Je n'ai pas besoin de te rappeler ce que Feng t'a dit, n'est-ce pas?"
Mu Lan se souvint de ce que Mu Feng lui avait dit avant de partir. Elle déglutit. "Non, tu n'as pas besoin."
__________________________________________________________________________________________
C'est génial lorsque mes Lecteurs Adorables sourient en lisant mon roman.
Je suis désolée de ne pas l'avoir publié plus tôt. J'avais un cours alors j'étais pressée. Maintenant, quand j'ai vérifié, j'ai vu que c'était en brouillon, pas encore publié. :(