Tayleur et sont complot

.... Familles royales...

Tayleur ...

J'ai mangé ce qui était dans le plateau, j'ai mis mes vêtements et me voilà descendre dans cette meute maudite. J'aurais aimé me bloquer dans ma chambre tout le long de cette fête, mais pour ne pas éveiller de soupçons, je vais descendre et faire des repérages, faire comme si de rien n'était. Je regarde tous ces gens ! Toutes ces personnes qui travaillent pour lui, j'essaie d'enregistrer chaque pièce de cette endroit et je vois dans le grand salon mon père et ma mère.

Reine : Tayleur ! Te voilà.

Tayleur : Mère, oui, me voilà !

J'embrasse ma mère et je regarde le grand salon. Tous les alpha sont arrivés et font signe de soumission. Je les salue un par un.

Alpha Treine de la meute Lune Rouge.

Alpha Seli de la meute du Sarah.

Alpha Tom de la meute des Îles.

Alpha Erik de la meute des Jungle (une des meilleures meutes).

Alpha Féline de la meute des Rocher.

Alpha Conor de la meute Croissante.

Et encore plein d'autres alpha, mais ceux-là sont les plus grands qu'il existe. Les meutes comptent plus de 10 000 espèces de loups, aussi forts et très dévoués pour leur meute. Aucune trahison, fidèles jusqu'à la moelle. Les six grands alpha, mis à part Érik et Féline, les autres sont dans mon collimateur. Ils me haïssent à un point inimaginable, je les ai combattus à plusieurs reprises. Mais là, tous font comme si de rien n'était, quelle bande de fausses personnes. Ils me donnent tous des faux sourires, je leur rends l'appareil.

Ma mère me chuchote.

Reine : Comporte-toi bien, mon fils, c'est la fête. Ne leur donne pas ce qu'ils viennent chercher. Ne te rabaisse pas à eux.

Je fais un sourire à ma mère et je m'éloigne d'elle. On me tend une collation. Je n'ai absolument pas confiance, je la prends dans les mains, mais je ne poserai pas mes lèvres dessus, hors de question.

Tay : Tayleur, notre compagne est en danger !

Tout en fixant la foule, je réponds à mon loup sans que personne ne le remarque.

Tayleur : Comment tu peux le sentir ?

Tay : Son odeur est brouillée par une sensation.

Je capte très vite son odeur, je me dirige vers l'endroit où l'odeur est de plus en plus forte. En quelques secondes, je la retrouve. Et j'assiste à un spectacle ! Une folle furieuse est en train de la défigurer. Je regarde attentivement chaque mouvement de cette folle, c'est comme si tout se mettait au ralenti dans ma tête ! Le coup de poing, elle le prend de la gorge. Mon loup a parlé ! Il est sorti !

LACHE-LA ! .....

Je la vois tomber dans les pommes, je la rattrape en quelques secondes, elle est dans mes bras ! Je la regarde fixement. Puis ...

Gouvernante Dali : Mon seigneur, laissez cette esclave, elle va vous souiller !

NELIA : Oui, seigneur, je vais m'occuper de vous, j'étais justement en train....

Tayleur : STOP ! AVEZ-VOUS UNE INFIRMERIE ICI ?

Tout le monde me regarde avec des yeux de chien battu, mais personne ne répond. J'utilise mes pouvoirs de lycan.

Tayleur : Est-ce que quelqu'un m'a entendu ?

Gouvernante Dali : Oui, seigneur, je vous accompagne !

Je hoche la tête !

Nelia : Mon seigneur, vraiment, ne vous préoccupez pas de cette esclave, vous gâchez votre temps pour une merdeuse !

Tayleur : Je ne t'ai pas ordonné de m'adresser la parole ! Je reviendrai m'occuper de toi !

Je la vois ouvrir la bouche en grand et me fixer, choquée. Je prends le chemin de l'infirmerie et j'entre. Je vois le premier guérisseur !

Tayleur : Vous venez ici !

Il hoche la tête et vient directement vers moi et me montre une chambre seule ! Je la dépose sur le lit. Je vais fermer la porte et je lui donne des instructions.

Tayleur : Vous savez qui je suis !

Guérisseur : Pas besoin de vous présenter, votre aura fait l'affaire, mon seigneur !

Tayleur : Bien ! Soignez-la !

Guérisseur: Vous savez qu'elle est esclave, n'est-ce pas ?

Tayleur : Le statue ne compte pas, mais il y a de la vie à l'intérieur de cette personne. Guérisseur, soignez-la, je reviendrai prendre de ses nouvelles. Vous rester avec elle jusqu'à sont réveillée elle en priorité !

Je laisse le guérisseur faire son travail. Je retourne dans le grand salon.