Chapitre 110 Si tu meurs, je me remarierai avec Ziheng

Ma Sufen fixait Shen Baolan, agenouillée raide comme un piquet devant elle, bouche bée et sans voix, la bouche grande ouverte comme pour y loger un œuf de poule.

« Maman, je sais que j'ai eu tort. Je ne réfléchissais pas avant, j'étais confus. Mais maintenant, je suis de retour à la réalité. Shuhuan et moi sommes encore jeunes, nous pouvons avoir d'autres enfants à l'avenir. Une fois rétablie, je t'assure que je te donnerai un grand et vigoureux petit-fils. À l'avenir, lui et moi prendrons soin de toi, pour que tu puisses jouir de ta vieillesse en paix. Maman, s'il te plaît, pardonne-moi. »

Ma Sufen était assise sur le canapé, jetant des regards vers la cuisine de temps en temps, l'esprit plein de doutes.

Cette petite effrontée serait-elle possédée ?