Chapitre 237 : L'Adieu du Second Frère

Pour les pauvres paysans, remplir leur ventre est la priorité numéro un, le goût délicieux vient en second.

« Les villageois eux-mêmes n'en retirent sans doute pas beaucoup de bénéfice à manger ceci, mais ça peut être vendu en ville. N'est-il pas préférable d'utiliser l'argent pour acheter du riz et de la farine ? Tant que cela n'interfère pas avec l'agriculture, prendre un peu de temps pour les ramasser et les vendre peut aider à compléter le revenu familial, » proposa Wei Ruo.

Aux mots de Wei Ruo, des expressions d'excitation et d'anticipation ont traversé le visage de chacun.

Oui ! Ils pourraient vendre aux nobles fonctionnaires !

Shi Dayou fut réveillé en sursaut, puis demanda avec surprise à Wei Ruo : « Maître Xu, pourquoi vous montrez-vous si bon envers nous ? Si vous ne nous l'aviez pas dit, vous auriez pu les ramasser en silence pour vous-même et les vendre en ville. »