Chapitre 113

PDV d'Aimée

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La lumière matinale filtrait à travers les grandes fenêtres de la salle principale, projetant de longues ombres sur le sol de pierre. Je me tenais près du centre de la pièce, les bras croisés, écoutant Vincent et Jacques discuter des détails de nos défenses. Je pouvais sentir la tension émaner de Jacques par vagues, une tempête silencieuse mijotant derrière son façade calme. C'était presque palpable, un rappel constant du fossé qui s'était creusé entre nous.

Je détestais cela.

Je détestais comment les choses avaient changé entre nous, comment chaque conversation semblait être comme marcher sur des œufs. Nous étions si proches avant, partageant tout sans hésiter. Mais maintenant… il y avait une distance entre nous que je ne savais pas comment combler.