L'affrontement

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Roland réfléchissait aux balles pour les armes à feu rotatives. Les balles de plomb circulaires et la poudre à canon en vrac étaient une combinaison qui était tout simplement trop dépassée. En prenant en compte la capacité d'Anna, la fabrication directe de douilles en cuivre pour les munitions était techniquement faisable. La préoccupation principale était qu'ils ne disposaient pas d'un amorçage fiable pour enflammer la poudre noire dans la cartouche pour un tir fiable.

Au début, l'enveloppe externe de la munition était généralement fabriquée à partir de fulminate de mercure qui était extrêmement sensible aux chocs. Lorsqu'on appuyait sur la détente, cela stimulait le percuteur, et frappait la base de la balle. Le fulminate de mercure s'enflammait, allumant la poudre noire, et éjectait la balle de la chambre.