webnovel

Vampire noir

Fantasy
Sedang berlangsung · 2K Dilihat
  • 1 Bab
    Konten
  • peringkat
  • N/A
    DUKUNG

What is Vampire noir

Baca novel Vampire noir yang ditulis oleh penulis Abdul_Rehman_8119 yang diterbitkan di WebNovel. Beau...

Ringkasan

Beau

tagar
10 tagar
Anda Mungkin Juga Menyukai

Revenge of the last bloodline of Florentine

Amina Elle Vida Florentine the most precious daughter of Duke Escobar Celestino Florestine the brother of the emperor and Duchess Franciáe Almida Praquis of the empire Qualiantine everything is going well in her life just like a normal noble daughter she only cares of social events, dresses and jewerlies, drinking tea with her bestfriend, walking in the beautiful garden of Florestine castle with her loving Fiancé..... but in one night everything changes.... she's just a pawn in the chess pieces.... she can't believe how naive she is.... "this is just a dream..... i have... i have to wake up! Mother! Father! Don't leave me..." "Amina, did you actually believe our friendship is pure? Such a naive and pathetic girl... why can't you just die?!" "Do you believe i really loved you?.... wake up Amina i just need the power of your family....." "torture her.... tormented her.... cut her tounge... let her feel the wrath of my power!" "AMINA ELLE VIDA FLORENTINE, IN THE NAME OF THE LAND OF QUALIANTINE, BY THE EVIDENCES GATHER BY THE ELITE INVESTIGATION MAGE! YOU ARE DECLARE GULITY IN INVOLVEMENT IN TREASON TO YOUR OWN COUNTRY AND SHALL BE BEHEADED IN THE MIDDLE OF THE CAPITAL!" Perfect family? Loving Fiancé? Loyal best friend? Damn those people! they will pay blood for blood IM ALIVE AGAIN? but the mysterious man on her dreams give her a chance to reborn again but.... "WHY DO I NEED TO RELIVE THOSE PAINFUL YEARS AGAIN!"

Peynshalala · Fantasi
Peringkat tidak cukup
1 Chs

War and peaceful day

Historical fiction rose to prominence in Europe during the early 19th century as part of the Romantic reaction to the Enlightenment, especially through the influence of the Scottish writer Sir Walter Scott, whose works were immensely popular throughout Europe. Among his early European followers we can find Willibald Alexis, Theodor Fontane, Bernhard Severin Ingemann, Miklós Jósika, Mór Jókai, Jakob van Lennep, Demetrius Bikelos, Enrique Gil y Carrasco, Carl Jonas Love Almqvist, Victor Rydberg, Andreas Munch, Alessandro Manzoni, Alfred de Vigny, Honoré de Balzac or Prosper Mérimée.[15][16][17][18][19] Jane Porter's 1803 novel Thaddeus of Warsaw is one of the earliest examples of the historical novel in English and went through at least 84 editions.[20] including translation into French and German,[21][22][23] The first true historical novel in English was in fact Maria Edgeworth's Castle Rackrent (1800).[24] In the 20th century György Lukács argued that Scott was the first fiction writer who saw history not just as a convenient frame in which to stage a contemporary narrative, but rather as a distinct social and cultural setting.[25] Scott's Scottish novels such as Waverley (1814) and Rob Roy (1817) focused upon a middling character who sits at the intersection of various social groups in order to explore the development of society through conflict.[26] Ivanhoe (1820) gained credit for renewing interest in the Middle Ages. Many well-known writers from the United Kingdom published historical novels in the mid 19th century, the most notable include Thackeray's Vanity Fair, Charles Dickens's A Tale of Two Cities, George Eliot's Romola, and Charles Kingsley's Westward Ho! and Hereward the Wake. The Trumpet-Major (1880) is Thomas Hardy's only historical novel, and is set in Weymouth during the Napoleonic wars,[27] when the town was then anxious about the possibility of invasion by Napoleon.[28] In the United States, James Fenimore Cooper was a prominent author of historical novels who was influenced by Scott.[29] His most famous novel is The Last of the Mohicans: A Narrative of 1757 (1826), the second book of the Leatherstocking Tales pentalogy.[30] The Last of the Mohicans is set in 1757, during the French and Indian War (the Seven Years' War), when France and Great Britain battled for control of North America. Cooper's chief rival,[31] John Neal, wrote Rachel Dyer (1828), the first bound novel about the 17th-century Salem witch trials.[32] Rachel Dyer also influenced future American fiction set in this period, like The Scarlet Letter (1850) by Nathaniel Hawthorne[33] which is one of the most famous 19th-century American historical novels.[34] Set in 17th-century Puritan Boston, Massachusetts during the years 1642 to 1649, it tells the story of Hester Prynne, who conceives a daughter through an affair and struggles to create a new life of repentance and dignity. In French literature, the most prominent inheritor of Scott's style of the historical novel was Balzac.[35] In 1829 Balzac published Les Chouans, a historical work in the manner of Sir Walter Scott.[36] This was subsequently incorporated into La Comédie Humaine. The bulk La Comédie Humaine, however, takes place during the Bourbon Restoration and the July Monarchy, though there are several novels which take place during the French Revolution and others which take place of in the Middle Ages or the Renaissance, including About Catherine de Medici and The Elixir of Long Life.

Amna_Junaid · Sejarah
Peringkat tidak cukup
2 Chs

peringkat

  • Rata-rata Keseluruhan
  • Kualitas penulisan
  • Memperbarui stabilitas
  • Pengembangan Cerita
  • Desain Karakter
  • latar belakang dunia
Ulasan-ulasan
Disukai
Terbaru
Abdul_Rehman_8119
Abdul_Rehman_8119PenulisAbdul_Rehman_8119

d'alors[D 1]. C'est en effet la forme slave qui est l'étymologie la plus probable des termes européens. Le vocable slave désignant les revenants a été par la suite systématiquement rendu par le mot « vampire »[A 1]. En 1752, dans la troisième édition du Dictionnaire de Trévoux, l'entrée Vampire renvoie au mot « stryge » comme seule explication francophone du concept de vampire[25]. Le terme de vampire devient rapidement plus populaire que celui de stryge, au point qu'on commence à expliquer les stryges en les comparant aux vampires, toutes deux présentées comme créatures légendaires. On oppose ainsi les Lumières aux superstitions d'Europe de l'Est et à ceux, en France, qui reprennent celles-ci. Voltaire consacre ainsi une entrée ironique au concept dans son Dictionnaire philosophique (1764), qui — outre une mésinterprétation d'A. Calmet et une attaque frontale contre les superstitions jésuites — se moque d'une mode qui a conduit « l’Europe a [être] infestée de vampires pendant cinq ou six ans » et à rechercher, en vain, « dans l’ancien Testament ou dans la mythologie quelque vampire qu’on pût donner pour exemple. » On finira par confondre en un seul mythe, avec Pierre Larousse, stryges et vampires[25]. En 1900, le Nouveau Larousse illustré est le premier dictionnaire à définir les vampires comme étant « des morts qui sortent de leur tombeau, de préférence la nuit, pour tourmenter les vivants, le plus souvent en les suçant au cou, d'autres fois en les serrant à la gorge au point de les étouffer

Zera3004
Zera3004Lv10Zera3004

C'est tellement manifique que j'en ai des larme . Canis lupus est une espèce de canidés comprenant plusieurs sous-espèces sauvages, domestiques ou férales, toutes parfaitement interfécondes, comme le loup gris commun1 (Canis lupus lupus), le loup arctique1 (Canis lupus arctos), le chien (Canis lupus familiaris), le dingo (Canis lupus dingo) ou encore le chien chanteur (Canis lupus hallstromi). Si les formes sauvages sont d'origine holarctique, la domestication et le marronnage ont permis à l'espèce de coloniser l'ensemble des écozones terrestres. Sous ses formes sauvages, le loup gris a été peu à peu exterminé par l'homme dans plusieurs zones de son aire de répartition originelle, en particulier au xixe siècle. Au xxie siècle, il ne reste plus qu'environ 300 000 individus2 dans le monde, principalement dans des zones « de grands espaces » restées sauvages, telles que la taïga de Sibérie et du Canada ou les steppes et les massifs montagneux d'Europe et d'Asie centrale. Il est désormais protégé dans de nombreux pays occidentaux, où l'on tente de préserver les populations restantes. Quelques programmes de sauvegarde ont permis aux loups gris de revenir dans des zones où ils avaient disparu, en particulier en Amérique du Nord. À l'inverse, le chien, sa sous-espèce domestique Canis lupus familiaris, le premier animal à avoir été domestiqué par l'homme il y a au moins 33 000 ans3, s'est mondialement répandu. Avec environ 900 millions d'individus4, il représente aujourd'hui la quasi-totalité de l'effectif mondial de l'espèce. Du chien descendent à leur tour les sous-espèces retournées à la vie sauvage que sont le dingo et le chien chanteur, fruits de milliers d'années d'évolution séparée. Parmi les canidés proches n'appartenant pas à l'espèce Canis lupus mais également appelés « loups », on peut citer le loup à crinière (Chrysocyon brachyurus), le loup des Malouines (Dusicyon australis), le loup de l'Est (Canis lycaon), le loup rouge (Canis rufus), le loup d'Abyssinie (Canis simensis), le loup des Indes (Canis lupus pallipes), etc. Les loups sauvages ont toujours fasciné l'espèce humaine au cours de l'histoire, alimentant tous les domaines de la culture : la mythologie, la littérature, les arts mais aussi les peurs et les fantasmes collectifs. Le loup gris est ainsi l'un des animaux les plus connus et les plus étudiés au monde, avec probablement plus de livres écrits à son sujet que pour toute autre espèce sauvage5. Il a été méprisé et chassé dans la plupart des communautés pastorales à cause de ses attaques contre le bétail, mais respecté dans certaines sociétés agraires ou de chasseurs-cueilleurs6 dans lesquelles il a noué des associations depuis longtemps. Bien que la peur du loup soit omniprésente dans de nombreuses sociétés, la majorité des attaques enregistrées contre des personnes ont été attribuées à des animaux souffrant de la rage. Les loups sains attaquent rarement l'homme : depuis le début du xxe siècle, on ne dénombre dans le monde entier qu'une ou deux attaques par an7, les victimes étant principalement des enfants loin des agglomérations. La chasse au loup ayant fortement marqué le caractère de l'animal, il est en général craintif et méfiant vis à vis de l'homme8. Étymologie et dénominations Le terme loup /lu/ provient d'une ancienne forme lou /lu/, de l'ancien français leu /lew/, et du latin lupus /ˈlu.pus/ qui est lui-même issu comme le grec λύκος / lúkos de l'indo-européen wĺ̥kʷos, probablement par déformation volontaire liée à un tabou des chasseurs9. Le p final est un ajout savant récent, calqué sur l'étymon latin. Normalement, le mot devrait s'écrire louf, avec un f final qui se transforme en v s'il est suivi d'une voyelle (tel que d'autres couples de mots comme bœuf/bovin) ; ceci explique le fait que la femelle du loup est la louve, son petit le louveteau. Le loup s'est appelé leu jusqu'au xive siècle. On retrouve cette forme de l'ancien français dans des toponymes comme Saint-Leu, dans des hagionymes comme Saint Leu, et dans l'expression à la queue leu-leu, qui désigne à l'origine le mode de déplacement d'une meute de loups en chasse10. Dans les langues germaniques, l'anglais wolf et l'allemand Wolf proviennent du proto-germanique *wulfaz. Le lupus latin est un mot emprunté au sabin6. Les deux dérivent de la racine proto-indo-européenne *wlqwos/*lukwos11. L'espèce a plusieurs noms vernaculaires : loup gris12,1, loup commun1, loup vulgaire1 ou encore loup1. On peut aussi ajouter les chiens, le chien chanteur et le dingo en tant que sous-espèces. Noms locaux et autochtones pour Canis lupus

DUKUNG

empty img

segera hadir

Lebih lanjut tentang buku ini

Lapor