56- Désolé Valérie

« Tes lèvres ont le goût des fraises. Comment se fait-il que je n'ai jamais pu goûter ça avant ? »

« Tu sens tellement bon et la façon dont ton corps doux réagit à mon toucher… la façon dont ton corps fond dans mes mains… je veux juste rester en toi… »

« Chaque fois que je tiens tes seins… ils remplissent si parfaitement mes mains, Fraise, » tous ces murmures continuaient d'interrompre son sommeil.

Tous ces cauchemars étaient de retour parce qu'il l'avait appelée fraise la nuit dernière. 

En conséquence ?

Elle est allée au bureau avec les yeux gonflés. Même le correcteur de maquillage ne pouvait pas cacher les poches et les cernes évidents sur son visage.

C'était vendredi et le week-end allait commencer. Ce soir, Rafael était censé rencontrer les enfants et elle voulait que ce soit le plus simple possible pour lui et pour ses enfants.

Pour un moment, elle a souhaité n'avoir pas accepté cette offre et pouvoir s'enfuir loin de là.