Un Aveu Mortel

Une fois encore, Alice se trouvait à la bibliothèque, chercher un livre. Cependant, cette fois était différente parce qu'elle évitait Guillaume. Elle ne voulait pas, mais elle savait qu'elle devait. Le beau-père de Guillaume avait le cancer et la situation était difficile pour lui. Alice ne savait pas quoi faire.

« Je vais au bar. » Guillaume a dit un jour.

« J'y irai aussi. » elle a dit en retour. Guillaume semblait surpris, mais il n'a pas discuté. Plutôt, il l'a laissée venir avec lui. Alors Alice et Guillaume sont allés au bar. Cependant, la nuit ne va pas finir bien.

Ils sont arrivés à 17h00 et ont commencé à boire. Ça ne prenait pas longtemps pour Alice se soûlait. Mais Guillaume n'a que bu un peu et certainement pas assez pour se soûler. Il n'aimait pas se soûler parce que cela rappelait à Guillaume combien son beau-père buvait.

« Guillaume, allons-y ! Je veux aller à la lune ! C'est tellement belle, n'est-ce pas que tu penses ? »

Guillaume s'est moqué comme il s'est rendu compte qu'Alice était ivre.

« Eh bien, tu dois devenir astronaute si tu veux faire ça. » il a dit. Alice a ri. « Ouais, tu as raison. » elle a continué de rire comme elle buvait plus et plus.

Guillaume a essayé de l'arrêter pour qu'elle ne se fît pas mal. Elle n'aimait pas ça.

« N'est-ce pas que c'étais toi qui voulait venir ici ? Pourquoi est-ce que tu essaies de m'arrêter ? »

« Parce que tu es ivre, alors tu dois t'arrêter de boire. »

« Je m'arrêterai quand je veux ! »

« Mais je ne veux pas que tu te fasses mal. »

« Eh bien, tu aurais dû y penser avant tu as blessé mes sentiments ! »

« Tu parles de quoi ? »

« Tu m'as rejeté, souviens ? »

Guillaume lui a donné un regard confus. Cela a mis Alice en colère.

« Es-tu sérieux ? Tu as déjà oublié ? » elle a dit, en très colère maintenant. Mais même qu'elle était en colère, Alice a commencé à pleurer.

Puis Guillaume s'est souvenu. Il l'avait arrêtée de l'embrasser. Il avait voulu aussi embrasser Alice, mais à cette époque-là, il ne pensait pas que c'était approprié.

« Ce n'est pas juste ! » Alice a dit comme elle pleurait.

« Que veux-tu dire ? »

« Parce que je suis l'une qui t'ai donné un lieu de séjour, je suis l'une qui t'ai enseigné comment faire du ski et je suis l'une seulement qui te traite comme un être humain ! »

« Quoi ? Que veux-ça dire ? »

« Tous tes amis sont mauvais ! Ils te traitent comme merde ! » elle s'est exclamée.

« Et Marc ? Il est un bon homme. »

« Oui, je suis d'accord. Mais je suis l'une seulement qui t'aime vraiment, n'est-ce pas ? »

Guillaume a cligné des yeux. Quoi ? Qu'est-ce qu'elle venait de dire ?

« C'est juste, Guillaume. Je t'aime. »

Guillaume a souri comme il l'a entendue dire ça.

« Je suis désolé pour comment je t'ai traité. Mais je pensais que j'étais indigne de ton amour. »

« Pourquoi ? »

« Parce que...je n'ai jamais été assez bon pour l'amour. » Guillaume avait l'air triste comme il a dit ça.

Alice a souri et a mis sa main sur la joue de Guillaume. « Mais tu es assez bon, au moins pour moi. » Guillaume l'a regardée. Il ne s'est jamais rendu compte comment elle était jolie jusqu'à ce qu'il la regarde vraiment.

« Si tu es fini, emmène la pute chez toi et ne me laisse pas la voir encore ici. Je ne vous aime pas. »

Guillaume s'est retourné et il a vu l'homme qui a dit ça. Il a serré le poing comme il se demandait « Qui est-ce que ce gars pense qu'il est ? »