Frère cadet, tu es formidable

Les lèvres de Lu Guo tremblèrent. Il se pencha sans se soucier de son ego et dit, « M. Ji, vous êtes un homme magnanime. Veuillez pardonner à Nuannuan. Nous sommes en faute cette fois-ci... »

« Papa ! » Lu Nuannuan écarquilla les yeux incrédule. Elle se tenait dans la fontaine, trempée. Elle sentit un frisson remonter depuis la plante de ses pieds jusqu'au fond de son cœur. Pourquoi ? Pourquoi son père s'excusait-il devant l'homme qui l'avait tyrannisée et humiliée ?

Madame Lu l'arrêta, « Nuannuan, arrête. Présente des excuses à M. Ji et à Mme Ji correctement. Écoute-moi ! », insista-t-elle.

« Non ! Pourquoi devrais-je m'excuser auprès d'elle ! » Les larmes de Lu Nuannuan continuaient de tomber. Elle ressentait un mélange de grief et de colère. Elle cria, « Je ne m'excuserai jamais auprès d'elle. Jamais je ne m'excuserai ! » Sur ces mots, elle sortit de la fontaine, attrapa sa robe mouillée, et s'enfuit.